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rictusimpraMalabar ne voyait plus ses amis Il regarda encore une fois par la lucarne, si l’un des ses compagnons l’avait suivi mais il n’y avait personne. Il se mit dans un coin du fourgon et laissa son esprit s’envoler vers le passé. Comme il avait été heureux avec Douce ,Benjamin et les autres. Douce , elle était si belle , surtout quand sa crinière volait au vent. Comme c’était bon de courir avec elle à travers champs, même si ce n’était pas très facile pour des cheveux de traits, nous ne sommes pas des étalons. Le matin je me levais heureux de vivre de travailler comme mes parents, comme on me l’avait enseigné .Je passais dans la basse-cour, je disais bonjour en baissant mon cou ,à tous mes amis, les poussins, les coqs, les poules . Mes parents avaient travaillé la terre ,moi aussi avec Douce .Grâce à nous , la charrue avançait, et elle faisait des sillons, pour que l’homme puisse planter du blé, du maïs. Le soir après le travail, j’allais boire à l’abreuvoir et manger un peu d’herbes dans le bois d’à côté .Puis je me couchais dans la paille de l’étable , comme c’était doux, comme c’était bon. .J’étais si fort moi, le cheval de la ferme. Les hommes de la ferme enfuis , j’en profitais pour travailler encore plus et montrer ma force, à tous mes amis, pour leur prouver qu’ils pouvaient compter sur moi. Que je porte bien mon nom Malabar , ce n’est pas un mon pour les minus . Mais un jour je me suis blessé.Pourtant Napoléon avait été gentil avec moi, il m'avait dit que je partirais à l’hôpital, et que l'on me soignerait très bien.J'avais confiance.Je ne comprends pas ce qui s'est passé.J'ai pourtant travaillé si vite, si bien, si longtemps.Alors on n'a pas le droit d'être malade, blessé à la ferme? Avec les hommes ou sans eux, la vie avait été presque pareille, Napoléon était le chef suprême, comme un deux pattes .Mais je ne me souviens que des bons moments de ma vie. Car J ‘ai peur, peur .Je ne dois pas penser à l’avenir sans eux mais à mon passé .Tout le monde comptait sur moi, sur ma résistance. Je vieillissais ,hé alors tout le monde vieillit. Napoléon a pris la place de l’homme , il a choisi la mort pour moi. Je ne les reverrais plus mes amis, mes tendres amis adieu. Et que Dieu vous garde.
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Comme il avait été heureux avec Douce ,Benjamin et les autres. Douce , elle était si belle , surtout quand sa crinière volait au vent. Comme c’était bon de courir avec elle à travers champs, même si ce n’était pas très facile pour des cheveux de traits, nous ne sommes pas des étalons.
Le matin je me levais heureux de vivre de travailler comme mes parents, comme on me l’avait enseigné .Je passais dans la basse-cour, je disais bonjour en baissant mon cou ,à tous mes amis, les poussins, les coqs, les poules . Mes parents avaient travaillé la terre ,moi aussi avec Douce .Grâce à nous , la charrue avançait, et elle faisait des sillons, pour que l’homme puisse planter du blé, du maïs. Le soir après le travail, j’allais boire à l’abreuvoir et manger un peu d’herbes dans le bois d’à côté .Puis je me couchais dans la paille de l’étable , comme c’était doux, comme c’était bon. .J’étais si fort moi, le cheval de la ferme. Les hommes de la ferme enfuis , j’en profitais pour travailler encore plus et montrer ma force, à tous mes amis, pour leur prouver qu’ils pouvaient compter sur moi. Que je porte bien mon nom Malabar , ce n’est pas un mon pour les minus . Mais un jour je me suis blessé.Pourtant Napoléon avait été gentil avec moi, il m'avait dit que je partirais à l’hôpital, et que l'on me soignerait très bien.J'avais confiance.Je ne comprends pas ce qui s'est passé.J'ai pourtant travaillé si vite, si bien, si longtemps.Alors on n'a pas le droit d'être malade, blessé à la ferme?
Avec les hommes ou sans eux, la vie avait été presque pareille, Napoléon était le chef suprême, comme un deux pattes .Mais je ne me souviens que des bons moments de ma vie. Car J ‘ai peur, peur .Je ne dois pas penser à l’avenir sans eux mais à mon passé .Tout le monde comptait sur moi, sur ma résistance. Je vieillissais ,hé alors tout le monde vieillit.
Napoléon a pris la place de l’homme , il a choisi la mort pour moi. Je ne les reverrais plus mes amis, mes tendres amis adieu.
Et que Dieu vous garde.
voilà une idée.A plus.