Pouvez vous m’aider svp j’ai un exposé à envoyer à ma prof mais je n’ai pas lu le livre.Un long résumé du livre « le château de ma mère » de Marcel Pagnol. Merci!
« Après l'épopée cynégétique des bartavelles, je fus d'emblée admis au rang des chasseurs, mais en qualité de rabatteur, et de chien rapporteur. Tous les matins, vers quatre heures, mon père ouvrait la porte de ma chambre, et chuchotait : « Veux-tu venir ? » »
Ce deuxième tome est dans le prolongement chronologique de La Gloire de mon père. Les familles Pagnol et Jaubert passent toujours leurs vacances au pied du Garlaban. Le jeune Marcel Pagnol se lie d'amitié avec un jeune paysan, Lili des Bellons. Il évoque le parcours des deux garçons pour poser des pièges à oiseaux dans les collines. De leur côté, Joseph et l'oncle Jules rapportent tant de gibier qu'ils peuvent pour payer la location de la « Bastide Neuve ».
La fin de l'été est un drame pour Marcel, qui décide de fuir pour vivre dans les collines avec l'aide de Lili. Il renonce finalement à ce projet.
La famille décide de monter chaque samedi à La Treille, mais le trajet est long. Heureusement, Bouzigue, piqueur du canal de Marseille et ancien élève de Joseph, leur remet une clé permettant de suivre le cours d'eau à travers des propriétés privées et de gagner un temps précieux par ce raccourci. Mais traverser les châteaux est une épreuve angoissante, particulièrement pour Augustine, la mère de Marcel. Un jour, un garde les surprend, et Joseph humilié sera dans la crainte de se voir infliger un blâme ou d'être révoqué par l'inspecteur d'Académie. Heureusement, les choses s'arrangent grâce à Bouzigue.
Marcel achève son récit en passant du souvenir d'un mémorable dîner de cette période à l'évocation de la mort de sa mère cinq ans plus tard, puis de celle de son propre frère Paul, devenu chevrier ; et enfin celle de son ami Lili, tombé au front durant la Première Guerre mondiale « sur des touffes de plantes froides dont il ne savait pas les noms ».
« Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants. »
Puis l'auteur raconte comment, lorsqu'il aura pour projet de monter des studios de cinéma près de Marseille, le hasard le rendra propriétaire du château de la Buzine, celui « de la peur de sa mère ». Marcel imagine alors Augustine : « Elle entendait les cris du garde, et le souffle rauque du chien. Blême, tremblante, et pour jamais inconsolable, elle ne savait pas qu'elle était chez son fils. »
Ce livre raconte essentiellement la chasse d'oiseaux, entre amis (avec Lili des Bellons) mais également en famille (avec l'oncle, le père...).
Explications :
Je ne sais pas si sa pourra t'aider.
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wangchloe061807
Merci mais est ce que ça vient d’internet ??
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Réponse :
« Après l'épopée cynégétique des bartavelles, je fus d'emblée admis au rang des chasseurs, mais en qualité de rabatteur, et de chien rapporteur. Tous les matins, vers quatre heures, mon père ouvrait la porte de ma chambre, et chuchotait : « Veux-tu venir ? » »
Ce deuxième tome est dans le prolongement chronologique de La Gloire de mon père. Les familles Pagnol et Jaubert passent toujours leurs vacances au pied du Garlaban. Le jeune Marcel Pagnol se lie d'amitié avec un jeune paysan, Lili des Bellons. Il évoque le parcours des deux garçons pour poser des pièges à oiseaux dans les collines. De leur côté, Joseph et l'oncle Jules rapportent tant de gibier qu'ils peuvent pour payer la location de la « Bastide Neuve ».
La fin de l'été est un drame pour Marcel, qui décide de fuir pour vivre dans les collines avec l'aide de Lili. Il renonce finalement à ce projet.
La famille décide de monter chaque samedi à La Treille, mais le trajet est long. Heureusement, Bouzigue, piqueur du canal de Marseille et ancien élève de Joseph, leur remet une clé permettant de suivre le cours d'eau à travers des propriétés privées et de gagner un temps précieux par ce raccourci. Mais traverser les châteaux est une épreuve angoissante, particulièrement pour Augustine, la mère de Marcel. Un jour, un garde les surprend, et Joseph humilié sera dans la crainte de se voir infliger un blâme ou d'être révoqué par l'inspecteur d'Académie. Heureusement, les choses s'arrangent grâce à Bouzigue.
Marcel achève son récit en passant du souvenir d'un mémorable dîner de cette période à l'évocation de la mort de sa mère cinq ans plus tard, puis de celle de son propre frère Paul, devenu chevrier ; et enfin celle de son ami Lili, tombé au front durant la Première Guerre mondiale « sur des touffes de plantes froides dont il ne savait pas les noms ».
« Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants. »
Puis l'auteur raconte comment, lorsqu'il aura pour projet de monter des studios de cinéma près de Marseille, le hasard le rendra propriétaire du château de la Buzine, celui « de la peur de sa mère ». Marcel imagine alors Augustine : « Elle entendait les cris du garde, et le souffle rauque du chien. Blême, tremblante, et pour jamais inconsolable, elle ne savait pas qu'elle était chez son fils. »
Ce livre raconte essentiellement la chasse d'oiseaux, entre amis (avec Lili des Bellons) mais également en famille (avec l'oncle, le père...).
Explications :
Je ne sais pas si sa pourra t'aider.