La scène se déroule un dimanche d’avril 1813. Les troupes de Napoléon, à la veille de partir en campagne, viennent effectuer une parade au milieu de la cour des Tuileries à Paris. Napoléon en personne assiste aux manœuvres. Parmi la foule de spectateurs se trouve Julie, accompagnée de son vieux père. Elle est éprise de l’officier Victor, comte d’Aiglemont.              Les manœuvres commencèrent. Si jusqu’alors la jeune personne avait partagé son attention entre la figure impassible de Napoléon et les lignes bleues, vertes et rouges des troupes, en ce moment elle s’occupa presque exclusivement, au milieu des mouvements rapides et réguliers exécutés par ces vieux soldats, d’un jeune officier qui courait à cheval parmi les lignes mouvantes, et revenait avec une infatigable activité vers le groupe à la tête duquel brillait le simple Napoléon. Cet officier montait un superbe cheval noir, et se faisait distinguer, au sein de cette multitude chamarrée, par le bel uniforme bleu de ciel des officiers d’ordonnance de l’empereur. Ses broderies pétillaient si vivement au soleil, et l’aigrette de son schako étroit et long en recevait de si fortes lueurs, que les spectateurs durent le comparer à un feu follet […]            Quand les manœuvres furent terminées, l’officier d’ordonnance accourut à bride abattue, et s’arrêta devant l’empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en face du groupe impérial, dans une attitude assez semblable à celle que Gérard [1][4] a donnée au général Rapp dans le tableau de la Bataille d’Austerlitz. Il fut permis alors à la jeune fille d’admirer son amant dans toute sa splendeur militaire. Le colonel Victor d’Aiglemont à peine âgé de trente ans, était grand, bien fait, svelte ; et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui. Sa figure mâle et brune possédait ce charme inexplicable qu’une parfaite régularité de traits communique à de jeunes visages. Son front était large et haut, ses yeux de feu, ombragés de sourcils épais et bordés de longs cils, se dessinaient comme deux ovales blancs entre deux lignes noires. Son nez offrait la gracieuse courbe d’un bec d’aigle. La pourpre de ses lèvres était rehaussée par les sinuosités de l’inévitable moustache noire. Ses joues larges et fortement colorées offraient des tons bruns et jaunes qui dénotaient une vigueur extraordinaire. Sa figure, une de celles que la bravoure a marquées de son cachet, offrait le type que cherche aujourd’hui l’artiste quand il songe à représenter un des héros de la France impériale. Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie ; et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur. En voyant son amant si occupé de saisir les regards de Napoléon, Julie éprouva un moment de jalousie en pensant qu’il ne l’avait pas encore regardée.   RELEVER LES COMMENTAIRES du narrateur. A  quelle discipline artistique font-ils référence ?quel est le cadre  
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La scène se déroule un dimanche d’avril 1813. Les troupes de Napoléon, à la veille de partir en campagne, viennent effectuer une parade au milieu de la cour des Tuileries à Paris. Napoléon en personne assiste aux manœuvres. Parmi la foule de spectateurs se trouve Julie, accompagnée de son vieux père. Elle est éprise de l’officier Victor, comte d’Aiglemont.              Les manœuvres commencèrent. Si jusqu’alors la jeune personne avait partagé son attention entre la figure impassible de Napoléon et les lignes bleues, vertes et rouges des troupes, en ce moment elle s’occupa presque exclusivement, au milieu des mouvements rapides et réguliers exécutés par ces vieux soldats, d’un jeune officier qui courait à cheval parmi les lignes mouvantes, et revenait avec une infatigable activité vers le groupe à la tête duquel brillait le simple Napoléon. Cet officier montait un superbe cheval noir, et se faisait distinguer, au sein de cette multitude chamarrée, par le bel uniforme bleu de ciel des officiers d’ordonnance de l’empereur. Ses broderies pétillaient si vivement au soleil, et l’aigrette de son schako étroit et long en recevait de si fortes lueurs, que les spectateurs durent le comparer à un feu follet […]            Quand les manœuvres furent terminées, l’officier d’ordonnance accourut à bride abattue, et s’arrêta devant l’empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en face du groupe impérial, dans une attitude assez semblable à celle que Gérard [1][4] a donnée au général Rapp dans le tableau de la Bataille d’Austerlitz. Il fut permis alors à la jeune fille d’admirer son amant dans toute sa splendeur militaire. Le colonel Victor d’Aiglemont à peine âgé de trente ans, était grand, bien fait, svelte ; et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui. Sa figure mâle et brune possédait ce charme inexplicable qu’une parfaite régularité de traits communique à de jeunes visages. Son front était large et haut, ses yeux de feu, ombragés de sourcils épais et bordés de longs cils, se dessinaient comme deux ovales blancs entre deux lignes noires. Son nez offrait la gracieuse courbe d’un bec d’aigle. La pourpre de ses lèvres était rehaussée par les sinuosités de l’inévitable moustache noire. Ses joues larges et fortement colorées offraient des tons bruns et jaunes qui dénotaient une vigueur extraordinaire. Sa figure, une de celles que la bravoure a marquées de son cachet, offrait le type que cherche aujourd’hui l’artiste quand il songe à représenter un des héros de la France impériale. Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie ; et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur. En voyant son amant si occupé de saisir les regards de Napoléon, Julie éprouva un moment de jalousie en pensant qu’il ne l’avait pas encore regardée.  Identifiez le statut du narrateur.      En quoi  adopte- t- il  un point de vue omniscient ?VOUS JUSTIFIEZ  vos réponse a l aide d indices précis  
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Ce fut comme une apparition ;Elle était assise,  au milieu du  banc, tout seule ; ou du moins il ne distingua personne, dans l’éblouissement------- En même temps qu’il passait, elle  leva la tête ; il fléchit involontaire les épaules ; et   quand il se fut mis plus loin, du même côté, il regarda.Elle avait un ------------chapeau----------, avec desrubans------------, ---------------Ses bandeaux-----, contournant la pointe de ses--------sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure. Sa robe-----+-------- se répandait a plis  nombreux. Elle était en train de  broder quelque chose ; et son   nez------- ; son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l’air bleu.Comme elle gardait la même attitude, il  fit plusieurs tours de droite et de gauche pour dissimuler sa  manouvre ; puis il se planta tout  près de son ombrelle-------------, et il affectait d’observer une chaloupe sur la  rivière.Jamais il n’avait vu  cette splendeur de sa  peau brune, la séduction de sa taille, ni cette finesse-----------------il considérait son panier----------- avec ébahissement, comme une chose extraordinaire. Quels étaient son nom, sa  demeure, sa vie, son passé ?il souhaitait connaitre les meubles-----------, toutes les robes-------------, les gens---------------    Réécrivez le texte ci- dessous en enrichissant les noms soulignés au moyen d'expansions du nom diverses et variées attention; veillez à ce que votre texte ait un sens!
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 a)Réécrivez chaque phrase en mettant les verbes  entres parenthèses a la forme demandée entre parenthèses.b)  Soulignez ensuite dans chacune de ces phrases les sujets des verbes complétés.  1.      C’était une large toiture de hangar, faite de planches solides, que les eaux (arracher, indicatif plus-que-parfait) toute entière, et qui (flotter, imparfait) pareille a un radeau.2.      Debout sur les plages désolées, des voyageurs que (réchauffer, imparfait) les derniers rayons du soleil avaient regardé la masse sombre s’avancer sur la mer.3.       Après manger, je me détendais en participant aux tournois de ping-pong, de fléchettes, de pétanques qu’ (organiser, imparfait) les deux garçons.4.       Du chevet de cette église part un joli cimetière de campagne que (borner, présent) à droite la haie d’une grande ferme et, à gauche, le mur du presbytère.5.      Nous avons du récemment agrandir les étables, ou (se trouver, imparfait) près de cent têtes de bétail, des vaches, des moutons surtout, sans compter les chevaux.6.      parfois passe une charrette et les mules, d’elles-mêmes, prennent sur la droite sans que (bouger, subjonctif présent) le muletier endormi.7.      Il n’y avait pas de nouvelles, sinom celles qu’ (apporter, indicatif imparfait) chaque heure dans chaque foyer.8.      Quand il eut fini, il resta immobile, tourné vers la mer, ou (courir, imparfait) déjà, d’un bout à l’autre de l’horizon, le rapide crépuscule.  
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3 le point de vue de la famille?4. la conclusion?LES RÉPONSES devront être justifiezDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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1.relevez les marques de personnes de"' mais d' autre part"  a même pas en théorie" que constatez- vous?2. même question pour le passage cité dans la question 1.; il oppose un argument a un autre? il donne une  explication? il reconnait une part de vérité aux arguments d' autrui?3. que pensez- vous de la décision finale de la narratrice? et pourquoi?tous vos réponse devront être justifieDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujourscontesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège jeprenais de très haut toutes les taches ménagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement larelève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe.Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’ avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité a la dernière mode
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 1.quels mots organisateurs introduisent;2 .l' exposé des gouts et aptitudes de la narratrice?.3 le point de vue de la famille?4. la conclusion?LES RÉPONSES devront être justifiezDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’v avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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1.relevez les marques de personnes de"' mais d' autre part"  a même pas en théorie" que constatez- vous?2. même question pour le passage cité dans la question 1.; il oppose un argument a un autre? il donne une  explication? il reconnait une part de vérité aux arguments d' autrui?3. que pensez- vous de la décision finale de la narratrice? et pourquoi?tous vos réponse devront être justifieDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femJ’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologuescolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège jeme au foyer.prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le casd’ une bien improbable catastrophe.Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’v avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité a la dernière mode.
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1.DE " puisque j' étais traaé douée il allait" jusqu’à" et les macaronis saccagés" relevez les marques de  personnes. que constatez- vous?2.  quels role joue, l' argumentation, le passage cité dans la question1; il repousse un argument? il justifie une position? c' est une conclusion?Dans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches ménagères.et a dix-huit adix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari nemeurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’v avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité a la dernière mode.
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1.relevez les marques de personnes de"' mais d' autre part"  a même pas en théorie" que constatez- vous?2. même question pour le passage cité dans la question 1.; il oppose un argument a un autre? il donne une  explication? il reconnait une part de vérité aux arguments d' autrui?3. que pensez- vous de la décision finale de la narratrice? et pourquoi?tous vos réponse devront être justifieDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femJ’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège jeme au foyer.prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe.Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’v avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité a la dernière mode.
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1.quels mots organisateurs introduisent; l' exposé des gouts et aptitudes de la narratrice? le point de vue de la famille?la conclusion?2 DE " puisque j' étais traaé douée il allait" jusqu'a" et les macaronis saccagés" relevez les marques de  personnes. que constatez- vous?3 relevez les marques de personnes de"' mais d' autre part"  a même pas en théorie" que constatez- vous?tous vos réponse devront etre justifiezDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’v avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité a la dernière mode.
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  tous vos réponses devront être justifiez1. quel a été le premier choix de la narratrice quelle était mère au foyer2. quelles aptitudes, quels gouts, quels comportements avaient-elle a dix-huit ans3. quelles paroles extérieures apparaissent dans le discours de la narratrice? a quel endroit? qui parle alors?Dans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa   condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’v avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité a la dernière mode.  
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4. Quels sont les modes et les temps  employés dans le premier paragraphe ? Vous donnerez un exemple du texte pour chaque mode et temps relevés    Cependant je vous vois tous les jours, et je m’aperçois que, sans y songer, vous aggravez innocemment, des maux que  vous ne pouvez plaindre, et que vous devez ignorer.  Il  est vrai, le  parti que dicte en pareil cas la prudence au  défaut de l’espoir ; et je me serais efforcé de le prendre, si je pouvais accorder en cette occasion la prudence avec l’honnêteté ; mais comment me retirer décemment d’une maison dont la maitresse  elle- même m’a offert l’entrée, ou  elle m’accable de bontés, ou elle me croit de quelque utilité à ce qu’elle a de plus cher au monde ?(---) si la commisération naturelle aux âmes bien nées peut vous attendrir sur les peines d’un infortuné auquel vous avez témoigné quelque estime, de  légers changements dans votre conduite rendront sa situation  moins  violente, et lui feront supporter plus paisiblement et son silence et ses maux. Si sa retenue et son  état ne vous touchent pas, et que vous voulez user du droit de le perdre, vous le pouvez sans qu’il murmure ; il aime mieux encore périr par votre ordre que par un transport indiscret qui le rendit coupable un espoir téméraire ; et si vous avez lu cette lettre, vous avez fait tout ce que j’oserai vous demander, quand même je n’aurais point de refus à craindre.  
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