Pour créer une atmosphère inquiétante, les romans fantastiques utilisent souvent des mots ou des constructions qui expriment l’indéfini ou le vague :
- des déterminants et des pronoms indéfinis (quelques, plusieurs, quelqu'un, personne...) ; des propositions subordonnées relatives indéfinies (ce qui s'avançait~ ce qu'il voyait...) ou parfois le pronom démonstratif ça de sens indéfini (ça frappait~ ça soufflait. . .) ;
- des noms de sens général (une chose, une personne, un animal…) ;
- des adjectifs exprimant une sensation indéfinie (inexprimable, indistinct, indicible…) ou une perception floue (étrange, vague, mystérieux, trouble...) ;
- des constructions passives sans complément d'agent (la fenêtre avait été ouverte) ;
- des verbes à sujet inanimé ( La fenêtre s'ouvrit)
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Pour créer une atmosphère inquiétante, les romans fantastiques utilisent souvent des mots ou des constructions qui expriment l’indéfini ou le vague :
- des déterminants et des pronoms indéfinis (quelques, plusieurs, quelqu'un, personne...) ; des propositions subordonnées relatives indéfinies (ce qui s'avançait~ ce qu'il voyait...) ou parfois le pronom démonstratif ça de sens indéfini (ça frappait~ ça soufflait. . .) ;
- des noms de sens général (une chose, une personne, un animal…) ;
- des adjectifs exprimant une sensation indéfinie (inexprimable, indistinct, indicible…) ou une perception floue (étrange, vague, mystérieux, trouble...) ;
- des constructions passives sans complément d'agent (la fenêtre avait été ouverte) ;
- des verbes à sujet inanimé ( La fenêtre s'ouvrit)