Quelles sont les partis politiques qui critique le front populaire
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bm21
Le Front populaire est une coalition de partis de gauche qui gouverna la France de mai 1936 à avril 1938. Il réunissait les trois principaux partis de la gauche : la SFIO, le Parti radical et le Parti communiste (qui soutenait les deux premiers sans participer directement au gouvernement), mais également toute une nébuleuse d'autres mouvements de gauche et antifascistes[1].
Le gouvernement Léon Blum, premier gouvernement de coalition issu de la nouvelle majorité, fut surtout le premier de la IIIe République dirigé par les socialistes. Il initia plusieurs réformes sociales importantes et constitue encore actuellement une des références incontournables de la mémoire et de l'histoire de la gauche française : les congés payés (15 jours), la réduction du temps de travail avec la semaine de quarante heures et l'établissement des conventions collectives. Il fut suivi de trois autres (deux dirigés par un radical, Camille Chautemps, et un dernier dirigé à nouveau par Léon Blum).
L'assemblée élue lors des élections de mai 1936 demeurera en place jusqu'au début de la Seconde Guerre mondiale, malgré l'arrestation de 49 députés communistes en septembre 1939[2], et se séparera le 10 juillet 1940. Toutefois, la fin du Front populaire arriva en avril 1938 lorsque le radical Édouard Daladier succéda à la présidence du Conseil au socialiste Léon Blum, qui démissionna à la suite de son échec dans l'obtention de moyens lui permettant de mettre en place une politique de grandes réformes financières.
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mimiii4
Merci mais ce n’est pas cela que je demandais
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Le gouvernement Léon Blum, premier gouvernement de coalition issu de la nouvelle majorité, fut surtout le premier de la IIIe République dirigé par les socialistes. Il initia plusieurs réformes sociales importantes et constitue encore actuellement une des références incontournables de la mémoire et de l'histoire de la gauche française : les congés payés (15 jours), la réduction du temps de travail avec la semaine de quarante heures et l'établissement des conventions collectives. Il fut suivi de trois autres (deux dirigés par un radical, Camille Chautemps, et un dernier dirigé à nouveau par Léon Blum).
L'assemblée élue lors des élections de mai 1936 demeurera en place jusqu'au début de la Seconde Guerre mondiale, malgré l'arrestation de 49 députés communistes en septembre 1939[2], et se séparera le 10 juillet 1940. Toutefois, la fin du Front populaire arriva en avril 1938 lorsque le radical Édouard Daladier succéda à la présidence du Conseil au socialiste Léon Blum, qui démissionna à la suite de son échec dans l'obtention de moyens lui permettant de mettre en place une politique de grandes réformes financières.