Quelqu'un peux coriger ce texte:
Seulement, personne aux alentours ne se doutait de ce qu'il se passait réellement dans cette villa, très peu étant ceux à l'avoir approchée. En effet, M. Jean, journaliste en mal de reportages, à reçu comme consigne de découvrir si la femme de Charles est bien enceinte comme les rumeurs portaient à le croire il y a quelques temps. Il se glissait donc le long d'un mur des jardins et observait à travers les planches de bois qui condamnaient se qui ressemblait à une chambre, plongée dans le noir. Il découvrit quelque chose qui resta gravé dans les esprits pendant de longues années. Derrière, ces lattes, une jeune fille était couchée sur un matelas de fortune, les cheveux en bataille, le drap déchiqueté, ses habits éparpillés. Soudain, à gauche, la porte s'ouvrit et vint claquer contre le mur effrité. La fille, apeurée, se leva, trop tard malheureusement, l'homme vint sur elle, la faisant hurler de terreur, lui hurla de rage. Il lui disait qu'elle allait payer pour tous les ennuis qu'elle avait causé. La fille, se refusant à se laisser frapper, se débattit continuellement violemment, pendant que l'homme la battait sans aucuns remords. La poussant froidement contre le mur, il ne se rendit pas de suite compte que la violence du choc avait conduit sa fille au bord du coma. Se ne fut que lorsqu'il lui cria dessus puissamment et qu'aucune réaction ne survient, qu'il se décida à appeler les secours. M. Jean, ayant tout vu, témoigna et M. Boucher, essayant de se justifier, invoquant les soucis de santé de sa femme suite à l'accouchement de cette fille, ne put rien faire face la brutale décision du juge et fut condamné. La jeune fille, Lyse, survécut et fut placé en famille d'accueil sans séquelles apparentes.
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est = etait
glissait : glissa
pour eviter les repetition "elle refusa de se laisser frappée puis se debattit"