je me promenais sur la chaussée, perdundans mes pensées. Je songeais aux années précédentes, qui m'avaient appris que rien n'était échec, tout était expériences. Je lève le regard, et là ! Oh ! Mince, me voilà au milieu de la route : je n'avais pas remarqué que mon déanchement un peu gauche m'avait amené dans cette position dangereuse. Le danger est palpable, et bientôt il arrive à toute allure sur moi, sous l'apparence d'une BMW rouge et blanche. D'un bond je m'écarte. La fenêtre ouverte du conducteur me laisse entrevoir une tête blonde couverte pas une barbe noire et des lunettes noires. Quand ma tension redescend, je ne peux m'empêcher d'y repenser. Cet homme me disait vaguement quelque chose. Je continuai mon chemin, son visage hantant mes pensées, le mystère s'installant dans mon âme.
Dans cette ballade matinale de lundi matin, c'était mon passé qui l'occupait l'esprit.
Je ressassais encore et encore ces dix dernières années, marchant mollement les mains dans les poches, le menton caché par ma grosse écharpe. Mon béret me tombait devant les yeux, m'obscurcissant momentanément la vue à chaque secousse.
Je le relevai d'un geste de la main, et soudain un frisson me parcouru l'échine à la vue qui s'offrait sous ce nouveau jour. J'étais en plein milieu de route, et une BMW rouge et blanche me fonçait dessus à 80 km/h. Je fis un saut de côté, poussé par l'adrénaline, et j'eus le temps d'apercevoir l'homme qui la conduisait. Un second frisson me parcouru le corps, mais cette fois aucun adrénaline ne suivi. Je restai bloqué là, sans quitter des yeux la voiture qui s'éloignait. Même avec l'épaisse barbe qui recouvrait son visage et les lunettes de soleil posées sur son nez, je le reconnaissais. Enfaite, je l'aurais reconnu entre mille, ce visage. Notamment par le pincement que j'eus au cœur, et les larmes qui vinrent troubler ma vue. Même après tant d'années, mon âme y repensait, y resongeait, y trouvait le moyen de me faire monter les larmes. Car oui tant de fois avais-je imaginer les traits de cette face tant appréciée, les larmes creusant un sillon sur mes joues. Mais c'était il y a si longtemps ! Et même après toutes ces années, cet homme me suscitait ce trop-plein d'émotion. Si longtemps ! Je ne m'en étais donc jamais remis ?! Non, vraisemblablement. Je regarde au loin, mes sanglots restants coincés dans le fond de ma gorge, et redressant la tête, je continue m marché cœur lourd de tant d'états d'âme.
tu peux peut être faire le dernier paragrapheen t'aidant du deuxième que jai fait,et peut-êtret'appuyer plus vers la fin sur son homosexualitérefoulée,et que la vue de cet homme jadis aiméet jadis refouléle pousse carrément au sucide.aprèsvoilàc'est une idée fais en ce que tu veux..
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je me promenais sur la chaussée, perdundans mes pensées. Je songeais aux années précédentes, qui m'avaient appris que rien n'était échec, tout était expériences. Je lève le regard, et là ! Oh ! Mince, me voilà au milieu de la route : je n'avais pas remarqué que mon déanchement un peu gauche m'avait amené dans cette position dangereuse. Le danger est palpable, et bientôt il arrive à toute allure sur moi, sous l'apparence d'une BMW rouge et blanche. D'un bond je m'écarte. La fenêtre ouverte du conducteur me laisse entrevoir une tête blonde couverte pas une barbe noire et des lunettes noires. Quand ma tension redescend, je ne peux m'empêcher d'y repenser. Cet homme me disait vaguement quelque chose. Je continuai mon chemin, son visage hantant mes pensées, le mystère s'installant dans mon âme.
Dans cette ballade matinale de lundi matin, c'était mon passé qui l'occupait l'esprit.
Je ressassais encore et encore ces dix dernières années, marchant mollement les mains dans les poches, le menton caché par ma grosse écharpe. Mon béret me tombait devant les yeux, m'obscurcissant momentanément la vue à chaque secousse.
Je le relevai d'un geste de la main, et soudain un frisson me parcouru l'échine à la vue qui s'offrait sous ce nouveau jour. J'étais en plein milieu de route, et une BMW rouge et blanche me fonçait dessus à 80 km/h. Je fis un saut de côté, poussé par l'adrénaline, et j'eus le temps d'apercevoir l'homme qui la conduisait. Un second frisson me parcouru le corps, mais cette fois aucun adrénaline ne suivi. Je restai bloqué là, sans quitter des yeux la voiture qui s'éloignait. Même avec l'épaisse barbe qui recouvrait son visage et les lunettes de soleil posées sur son nez, je le reconnaissais. Enfaite, je l'aurais reconnu entre mille, ce visage. Notamment par le pincement que j'eus au cœur, et les larmes qui vinrent troubler ma vue. Même après tant d'années, mon âme y repensait, y resongeait, y trouvait le moyen de me faire monter les larmes. Car oui tant de fois avais-je imaginer les traits de cette face tant appréciée, les larmes creusant un sillon sur mes joues. Mais c'était il y a si longtemps ! Et même après toutes ces années, cet homme me suscitait ce trop-plein d'émotion. Si longtemps ! Je ne m'en étais donc jamais remis ?! Non, vraisemblablement. Je regarde au loin, mes sanglots restants coincés dans le fond de ma gorge, et redressant la tête, je continue m marché cœur lourd de tant d'états d'âme.
tu peux peut être faire le dernier paragraphe en t'aidant du deuxième que jai fait, et peut-être t'appuyer plus vers la fin sur son homosexualité refoulée, et que la vue de cet homme jadis aimé et jadis refoulé le pousse carrément au sucide. après voilà c'est une idée fais en ce que tu veux..
bon courage !