"Raconte l'attaque d'une tranchée par ton groupe de soldats du point de vue d'un Poilu (je). Raconte l'attaque à travers les 5 sens (vue, odorat, toucher, ouïe, goût).
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louann388382
Je suis un Poilu, un simple soldat dans l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Je me souviens de l'attaque d'une tranchée ennemie comme si c'était hier.
Nous avancions vers la ligne de front, les soldats de mon groupe avec des visages fatigués et inquiets. La tranchée ennemie était juste en face de nous, à quelques centaines de mètres. Nous pouvions voir les silhouettes des soldats ennemis qui nous regardaient avec méfiance et hostilité.
L'odeur était insupportable, mélange de pourriture, de gaz et de fumée. Mes yeux étaient aveuglés par les nuages de poussière qui s'élevaient de l'explosion de nos obus. Je pouvais sentir la terre trembler sous mes pieds à chaque détonation.
Quand l'ordre d'attaquer est arrivé, tout s'est passé très vite. Nous avons couru vers la tranchée ennemie, nos fusils à la main. Le sol boueux glissait sous mes bottes, mes genoux heurtaient les parois de la tranchée. Des cris, des râles, des éclats de rire nerveux résonnaient dans mes oreilles.
Une fois dans la tranchée, tout est devenu flou. Des coups de feu ont retenti tout autour de moi, des explosions ont secoué le sol, des grenades ont explosé à quelques mètres de moi. Je pouvais sentir les balles siffler à mes oreilles et les éclats de métal me frôler le visage.
Le goût du sang mêlé à la terre me remplissait la bouche. J'ai trébuché sur un corps inanimé et glissant, j'ai marché sur quelque chose de mou et de chaud. Je ne sais pas si c'était un cadavre ou une flaque de boue mêlée de sang.
Finalement, nous avons pris la tranchée ennemie. Mais à quel prix ! Mes yeux se sont posés sur les corps mutilés de mes camarades, allongés dans la boue, dans une atmosphère chargée d'une odeur de mort.
Cette attaque m'a laissé des cicatrices physiques et psychologiques. Je n'oublierai jamais la terreur et l'horreur de cette guerre. La guerre où les sens sont soumis à une torture insoutenable. j’espère avoir pu t’aider, bonne chance
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Nous avancions vers la ligne de front, les soldats de mon groupe avec des visages fatigués et inquiets. La tranchée ennemie était juste en face de nous, à quelques centaines de mètres. Nous pouvions voir les silhouettes des soldats ennemis qui nous regardaient avec méfiance et hostilité.
L'odeur était insupportable, mélange de pourriture, de gaz et de fumée. Mes yeux étaient aveuglés par les nuages de poussière qui s'élevaient de l'explosion de nos obus. Je pouvais sentir la terre trembler sous mes pieds à chaque détonation.
Quand l'ordre d'attaquer est arrivé, tout s'est passé très vite. Nous avons couru vers la tranchée ennemie, nos fusils à la main. Le sol boueux glissait sous mes bottes, mes genoux heurtaient les parois de la tranchée. Des cris, des râles, des éclats de rire nerveux résonnaient dans mes oreilles.
Une fois dans la tranchée, tout est devenu flou. Des coups de feu ont retenti tout autour de moi, des explosions ont secoué le sol, des grenades ont explosé à quelques mètres de moi. Je pouvais sentir les balles siffler à mes oreilles et les éclats de métal me frôler le visage.
Le goût du sang mêlé à la terre me remplissait la bouche. J'ai trébuché sur un corps inanimé et glissant, j'ai marché sur quelque chose de mou et de chaud. Je ne sais pas si c'était un cadavre ou une flaque de boue mêlée de sang.
Finalement, nous avons pris la tranchée ennemie. Mais à quel prix ! Mes yeux se sont posés sur les corps mutilés de mes camarades, allongés dans la boue, dans une atmosphère chargée d'une odeur de mort.
Cette attaque m'a laissé des cicatrices physiques et psychologiques. Je n'oublierai jamais la terreur et l'horreur de cette guerre. La guerre où les sens sont soumis à une torture insoutenable.
j’espère avoir pu t’aider,
bonne chance