Raconter au passé l'engloutissement d'un college, (vous pouvez inventer le nom) a cause d'un cataclysme. ( min 40 lignes) : 2 metaphores, 2 comparaison, 2 hyperboles et 2 accumulations svp j'ai besoin d'aide.
je regardait autour de moi. je ne reconnaissait plus mon collège. les murs qui quelques heures plus tôt se tenaient devant moi n'étaient désormais que des débris, empilés les un sur les autres. Cette situation était comme celles que je voyais à la télé, dans les séries américaines, lors des tremblements de terre ou de tsunami. le silence régnait. Seuls les pompiers qui, dehors essayaient de pénétrer dans mon collège, enfin ce qu'il en restait rompaient ce silence, un silence macabre qui me faisait peur, il me terrifiais même. Mais je ne pouvais bouger, je voulais m'enfuir mais mon corps ne me répondait plus. Je fermais les yeux essayant de me rappeler ce qui quelques heures plus tôt avait frapper mon petit collège Jean Jaurès.
Je me revoyais, assise, dans ma salle de classe, la numéro seize, en train de dessiner dans mon cahier d'anglais.
Mais ou(y a un accent) étaient ils tous passés? En l'espace de quelques minutes ma vie avait changée, et, je savais bien que rien ne serait plus jamais la même.
Ma tête me jouait des tours: des serpents de fumée noires me tournaient autour, riant et terrifiant mon corps déjà si faible. Je levais doucement les yeux en direction du plafond et je vis ce que je voulais le moins voir au monde au monde:
J'étais là...assise, à ma table dessinant comme toujours. Ma professeur, mademoiselle Flammarion et toute ma classe, Louka, Camille, Romain Juliette, Hugo et les vingt-quatre autres se tenaient là eux aussi comme colorés de violet, de rouge et de blanc à se déformer et comme des quilles, se mirent à trembler, je me voyais ,apeurée, dans les bras de mon voisin qui lui aussi voyait son visage se décomposer passant du beige au blanc.
En voyant cette scène, je vis tout mon sang se retirer de mon corps formant des petits nuages de sang. Je me l'étais pourtant promis des milliers de fois mais s'était plus fort que moi: tous mes sentiments étaient supérieurs et me faisaient perdre la tête . Je me sentais pleurer et partir...En bas, l'horreur continuaient et les murs n'étaient plus que poussière d'où la vie se réduisait à néant à chaque seconde qui passaient.
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Réponse :
je regardait autour de moi. je ne reconnaissait plus mon collège. les murs qui quelques heures plus tôt se tenaient devant moi n'étaient désormais que des débris, empilés les un sur les autres. Cette situation était comme celles que je voyais à la télé, dans les séries américaines, lors des tremblements de terre ou de tsunami. le silence régnait. Seuls les pompiers qui, dehors essayaient de pénétrer dans mon collège, enfin ce qu'il en restait rompaient ce silence, un silence macabre qui me faisait peur, il me terrifiais même. Mais je ne pouvais bouger, je voulais m'enfuir mais mon corps ne me répondait plus. Je fermais les yeux essayant de me rappeler ce qui quelques heures plus tôt avait frapper mon petit collège Jean Jaurès.
Je me revoyais, assise, dans ma salle de classe, la numéro seize, en train de dessiner dans mon cahier d'anglais.
Mais ou(y a un accent) étaient ils tous passés? En l'espace de quelques minutes ma vie avait changée, et, je savais bien que rien ne serait plus jamais la même.
Ma tête me jouait des tours: des serpents de fumée noires me tournaient autour, riant et terrifiant mon corps déjà si faible. Je levais doucement les yeux en direction du plafond et je vis ce que je voulais le moins voir au monde au monde:
J'étais là...assise, à ma table dessinant comme toujours. Ma professeur, mademoiselle Flammarion et toute ma classe, Louka, Camille, Romain Juliette, Hugo et les vingt-quatre autres se tenaient là eux aussi comme colorés de violet, de rouge et de blanc à se déformer et comme des quilles, se mirent à trembler, je me voyais ,apeurée, dans les bras de mon voisin qui lui aussi voyait son visage se décomposer passant du beige au blanc.
En voyant cette scène, je vis tout mon sang se retirer de mon corps formant des petits nuages de sang. Je me l'étais pourtant promis des milliers de fois mais s'était plus fort que moi: tous mes sentiments étaient supérieurs et me faisaient perdre la tête . Je me sentais pleurer et partir...En bas, l'horreur continuaient et les murs n'étaient plus que poussière d'où la vie se réduisait à néant à chaque seconde qui passaient.
Gris, Rouge, Beige…
Cris, Sang, Mort …
12 janvier 2010,Haïti...
Explications :