Redaction : Écrivez la suite de ce récit, en une trentaine de lignes, en suivant la logique pessimiste exprimée par la dernière phrase. Vous respecterez l'ordre d'un schéma narratif en faisant des paragraphes pour chaque moment du récit ( 10pts) (Je ne vous demande pas de faire une rédaction mais de me donner des idée pour que je puisse la faire toute seule car je sais pas ce que c'est qu'une logique pessimiste et ou elle se trouve dans la dernière phrase merci d'avance...)
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rictusimpraLes deux gendarmes qui l’avaient trouvé mort, se regardèrent étonnés, mort ? Que c’était il donc passé. Est-ce qu’il s’était suicidé ? c’était vraiment bizarre. On fit appel au médecin du village pour qu’il vienne l’examiner. Celui-ci fit une grimace. - il sent mauvais, il est sale, plein de sang, des bleus……….Voyons un peu, il ne s’est pas suicidé en tous les cas et n’est pas mort de ses blessures, je vais le faire transporter à la morgue , je pourrais l’observer minutieusement, faire une autopsie pour en savoir plus.
La nouvelle se répandit assez vite dans les villages aux alentours à Saint-Hilaire, Varville, les Billettes, à Tournolles. Quoi de plus normal, tout le monde se connait et les nouvelles vont vite. L’estropié, le gueux, cloche était mort. Pour les plus jeunes c’était normal, il était vieux , il avait une jambe tordue et un pied bot , il devait mourir .Pour les plus âgés , il n’avait pas supporté le froid glacial du mois de décembre , il ne s’habillait pas assez, il avait dû attraper froid. Quoi de plus légitime, à déambuler comme cela de village en village il fallait être fou , pour se promener en loque.
Quelques jours plus tard, la nouvelle tomba, Cloche était mort de faim, les villageois demeurèrent interdits. Mort de faim, ce n’était pas possible, il était toujours là à mendier un peu de nourriture si ce n’était pas nous, c’était un autre qui lui donnait à manger, depuis toutes ces années , depuis qu’il était tout jeune. Il faisait parti du paysage. Non, disait l’un des villageois, je ne suis pas coupable, moi non plus, disait maitre Chiquet . Quel était le problème ? Aucune âme ne voulait pas être responsable de la mort d’un humain, chacun avait honte de ne pas avoir vu la souffrance de l’estropié , de ne pas avoir compris ce qu’il endurait , qu’il était abandonné de ceux qui l’avait connu dès sa plus tendre enfance.- Mort, oui mais pas à cause de nous, disaient les villageois. La culpabilité gagnait la population, les femmes, les hommes des villages aux alentours.
Le jour de l’enterrement arriva. Il y eu beaucoup de monde pour ce pauvre homme, De nombreuses fleurs avaient été achetées et furent déposées sur son cercueil. Tout le monde baissait la tête, tous avait honte. Du ciel, Cloche les regardait et se disait dommage, que votre argent ait servi à couvrir mon cercueil , plutôt que remplir ma main
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La nouvelle se répandit assez vite dans les villages aux alentours à Saint-Hilaire, Varville, les Billettes, à Tournolles. Quoi de plus normal, tout le monde se connait et les nouvelles vont vite. L’estropié, le gueux, cloche était mort. Pour les plus jeunes c’était normal, il était vieux , il avait une jambe tordue et un pied bot , il devait mourir .Pour les plus âgés , il n’avait pas supporté le froid glacial du mois de décembre , il ne s’habillait pas assez, il avait dû attraper froid. Quoi de plus légitime, à déambuler comme cela de village en village il fallait être fou , pour se promener en loque.
Quelques jours plus tard, la nouvelle tomba, Cloche était mort de faim, les villageois demeurèrent interdits. Mort de faim, ce n’était pas possible, il était toujours là à mendier un peu de nourriture si ce n’était pas nous, c’était un autre qui lui donnait à manger, depuis toutes ces années , depuis qu’il était tout jeune. Il faisait parti du paysage. Non, disait l’un des villageois, je ne suis pas coupable, moi non plus, disait maitre Chiquet . Quel était le problème ? Aucune âme ne voulait pas être responsable de la mort d’un humain, chacun avait honte de ne pas avoir vu la souffrance de l’estropié , de ne pas avoir compris ce qu’il endurait , qu’il était abandonné de ceux qui l’avait connu dès sa plus tendre enfance. - Mort, oui mais pas à cause de nous, disaient les villageois. La culpabilité gagnait la population, les femmes, les hommes des villages aux alentours.
Le jour de l’enterrement arriva. Il y eu beaucoup de monde pour ce pauvre homme, De nombreuses fleurs avaient été achetées et furent déposées sur son cercueil. Tout le monde baissait la tête, tous avait honte. Du ciel, Cloche les regardait et se disait dommage, que votre argent ait servi à couvrir mon cercueil , plutôt que remplir ma main
voilà , à plus.