Rédaction. Sujet: Racontez une rencontre incroyable qui a marqué votre existence.c'est urgent !!! svp aidez moi ! c'est pour demain ! et metci d'avance !
mon idée tu peut dire que tu te balader dans un parc et que a apperçu une jeune fille quia vais l air trise sur un banc donc tu aller lui parler et la elle ta di que tu lui disais quelque chose donc tu a appris a la connaitre et elle ta di que elle avais eu un passer tres difficile et la elle t avoue que sais quelqu'un que tu avais rencontrer quans tu était petite ...
4 votes Thanks 7
LaLegende
merci beaucoup c vraiment originale comme idée ! j'essayerai de mieux l’interpréter
apaul
derien jai pas eu trop d idee jai fais de mon mieux :)
belletille
alors j'ai commencé le début et je peux encore continuer si sa te va je suis inspiré :)
LaLegende
si tu peux continuer c sera super ! :) c vraiment tres gentil de ta part et encore merciiii !!! ;)
LaLegende
merci infiniment ! je suis vraiment reconnaissante ! j'ai deja une petite idée de la suite mais c comme tu veux ! :))))
belletille
Désolée de pas t'avoir répondu plus tôt :), alors pour moi il y a pas de souci, si tu veux je continue demain !!!
belletille
Je sors du lycée comme tous les jours, la peur au ventre ... comme tous les jours Je cherche du regard les hommes terrorisants qui ont pris l'habitude depuis maintenant plusieurs jours de m'attendre à la sortie, appuyés contre le capot de leur voiture grise amochée, le regard fixant, le regard noir, le regard menaçant et comme tous les jours je cherche d'un regard affolé une quelconque aide qui pourrait peut être me sauver ... Alors, la solitude m'envahit, tout le monde m'ignore mais surtout tout le monde les ignore, ce ne sont que de simples mecs sans importance, mais pour moi ils en ont plus que tout, ils me détruisent la vie... Alors j'essaye de me frayer un passage tout en passant inaperçu, mais c'est peine perdu comme tous les jours ... Ils s'avancent alors vers moi, m'encadrent comme un malfaiteur tout en prenant soin de m'empêcher tout geste ou toute parole qui pourrait les trahir, je suis alors comme tous les jours, embarqués dans cette voiture que je déteste, qui m'emmène vers l'enfer. On roule pendant quelques minutes, mais je connais déjà ce chemin, c'est toujours le même, je compte les secondes avant de devoir descendre de la voiture, de devoir subir le même traitement. On s'arrête dans un grand crissement de pneus, je descends en trébuchant et vais me recroqueviller contre le mur, je ne pare plus les coups, la douleur je ne la sens plus, je veux juste mourir... et là je pense à mes erreurs qui me font regretter de vivre. C'est enfin fini, mais je n'ai pas vu le temps passer, je ne sens plus les blessures sur mon corps meurtri, je puise dans mes dernières forces pour me relever et aller le plus loin possible, pour oublier le passé, oublier le présent et l'avenir incertain. Je marche sans me retourner de peur qu’on me rattrape, qu'on me frappe, de mourir. Je cours presque sans regarder devant moi si bien que je manque renverser un homme, je balbutie quelques excuses, sens les larmes monter; il me retient par l'épaule avec une telle puissance que je n'arrive pas a me dégager. Je veux partir, cacher mes cicatrices et mes bleus, mais il me force à le regarder et découvrant l'état lamentable ou je suis, il me regarde d'un air plein de compassion, mais étrangement n'a pas l'air étonné de me voir dans un état pareil, il me force à m'asseoir sur le trottoir et fait de même. Je me laisse faire, il me semble que c'est bien la première se souciant de mois depuis au moins plusieurs semaines, alors je pleure, comme je n'avais jamais pleuré, comme un garçon n'a jamais autant pleuré et même si en temps normal j'aurais eu honte, je n'en peux plus, toute la pression accumulée ces dernières semaines, tout ce désespoir semble se déverser sur moi sous forme de larmes. Après, je commence à me sentir mieux, alors il commence à me parler d'une voix lente et douce sans me presser et je lui raconte tout, tout ce que je n'osais pas dire, tout ce qui me faisait honte et qui m'empêchait d'avancer, il me dit alors qu'il est policer,j'ai alors comme par réflexe un mouvement de recul, mais je lui accorde le bénéfice de doute, je le lui dois bien.
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mon idée tu peut dire que tu te balader dans un parc et que a apperçu une jeune fille quia vais l air trise sur un banc donc tu aller lui parler et la elle ta di que tu lui disais quelque chose donc tu a appris a la connaitre et elle ta di que elle avais eu un passer tres difficile et la elle t avoue que sais quelqu'un que tu avais rencontrer quans tu était petite ...
Alors j'essaye de me frayer un passage tout en passant inaperçu, mais c'est peine perdu comme tous les jours ... Ils s'avancent alors vers moi, m'encadrent comme un malfaiteur tout en prenant soin de m'empêcher tout geste ou toute parole qui pourrait les trahir, je suis alors comme tous les jours, embarqués dans cette voiture que je déteste, qui m'emmène vers l'enfer. On roule pendant quelques minutes, mais je connais déjà ce chemin, c'est toujours le même, je compte les secondes avant de devoir descendre de la voiture, de devoir subir le même traitement. On s'arrête dans un grand crissement de pneus, je descends en trébuchant et vais me recroqueviller contre le mur, je ne pare plus les coups, la douleur je ne la sens plus, je veux juste mourir... et là je pense à mes erreurs qui me font regretter de vivre. C'est enfin fini, mais je n'ai pas vu le temps passer, je ne sens plus les blessures sur mon corps meurtri, je puise dans mes dernières forces pour me relever et aller le plus loin possible, pour oublier le passé, oublier le présent et l'avenir incertain. Je marche sans me retourner de peur qu’on me rattrape, qu'on me frappe, de mourir. Je cours presque sans regarder devant moi si bien que je manque renverser un homme, je balbutie quelques excuses, sens les larmes monter; il me retient par l'épaule avec une telle puissance que je n'arrive pas a me dégager. Je veux partir, cacher mes cicatrices et mes bleus, mais il me force à le regarder et découvrant l'état lamentable ou je suis, il me regarde d'un air plein de compassion, mais étrangement n'a pas l'air étonné de me voir dans un état pareil, il me force à m'asseoir sur le trottoir et fait de même. Je me laisse faire, il me semble que c'est bien la première se souciant de mois depuis au moins plusieurs semaines, alors je pleure, comme je n'avais jamais pleuré, comme un garçon n'a jamais autant pleuré et même si en temps normal j'aurais eu honte, je n'en peux plus, toute la pression accumulée ces dernières semaines, tout ce désespoir semble se déverser sur moi sous forme de larmes. Après, je commence à me sentir mieux, alors il commence à me parler d'une voix lente et douce sans me presser et je lui raconte tout, tout ce que je n'osais pas dire, tout ce qui me faisait honte et qui m'empêchait d'avancer, il me dit alors qu'il est policer,j'ai alors comme par réflexe un mouvement de recul, mais je lui accorde le bénéfice de doute, je le lui dois bien.