Le poème "La petite auto" d'Apollinaire et "À New York" de Senghor partagent un thème commun : celui du voyage en voiture à travers une ville moderne. Toutefois, la façon dont les deux poètes abordent ce thème est très différente.
Dans "La petite auto", Apollinaire décrit son trajet en voiture à travers Paris, en faisant la promotion de la modernité et de la rapidité offertes par la voiture. Le poète se montre enthousiaste à l'idée de découvrir la ville sous un nouveau jour et de profiter de sa liberté de mouvement. La voiture est présentée comme un symbole de l'avenir et de la modernité.
En revanche, dans "À New York", Senghor aborde la voiture comme un moyen de s'échapper de la ville et de retrouver la nature. Il décrit son trajet en voiture à travers New York comme oppressant et chaotique, et se réjouit de sortir de la ville pour rejoindre la campagne environnante. La voiture est présentée comme un moyen de se libérer des contraintes de la ville et de retrouver un rapport plus authentique à la nature.
Ainsi, bien que les deux poètes abordent le thème du voyage en voiture à travers une ville moderne, leurs attitudes et leurs perceptions sont très différentes. Alors qu'Apollinaire célèbre la modernité et la liberté de mouvement offertes par la voiture, Senghor préfère s'échapper de la ville et retrouver la nature. Ces différences illustrent la diversité des expériences et des perspectives poétiques offertes par la poésie.
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Le poème "La petite auto" d'Apollinaire et "À New York" de Senghor partagent un thème commun : celui du voyage en voiture à travers une ville moderne. Toutefois, la façon dont les deux poètes abordent ce thème est très différente.
Dans "La petite auto", Apollinaire décrit son trajet en voiture à travers Paris, en faisant la promotion de la modernité et de la rapidité offertes par la voiture. Le poète se montre enthousiaste à l'idée de découvrir la ville sous un nouveau jour et de profiter de sa liberté de mouvement. La voiture est présentée comme un symbole de l'avenir et de la modernité.
En revanche, dans "À New York", Senghor aborde la voiture comme un moyen de s'échapper de la ville et de retrouver la nature. Il décrit son trajet en voiture à travers New York comme oppressant et chaotique, et se réjouit de sortir de la ville pour rejoindre la campagne environnante. La voiture est présentée comme un moyen de se libérer des contraintes de la ville et de retrouver un rapport plus authentique à la nature.
Ainsi, bien que les deux poètes abordent le thème du voyage en voiture à travers une ville moderne, leurs attitudes et leurs perceptions sont très différentes. Alors qu'Apollinaire célèbre la modernité et la liberté de mouvement offertes par la voiture, Senghor préfère s'échapper de la ville et retrouver la nature. Ces différences illustrent la diversité des expériences et des perspectives poétiques offertes par la poésie.