Réécriture a la deuxième personne du singulier. merci
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PAU64Tu n'as réclamé la gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Tu t'étais servi simplement de tes armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans
Tu avaistes portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuits hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer tes noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants
23Marie
Tu n'as réclamé la gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Tu t'étais servis simplement de tes armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans
Tu avais ton portrait sur le mur de ta ville Noirs de barbe et de nuit hirsute menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'a pronnoncer ton nom est difficile Y cherchait un effets de peur sur les passants
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Ni l'orgue ni la prière aux agonisants
Onze ans déjà que cela passe vite onze ans
Tu t'étais servi simplement de tes armes
La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans
Tu avaistes portraits sur les murs de nos villes
Noirs de barbe et de nuits hirsutes menaçants
L'affiche qui semblait une tache de sang
Parce qu'à prononcer tes noms sont difficiles
Y cherchait un effet de peur sur les passants
Ni l'orgue ni la prière aux agonisants
Onze ans déjà que cela passe vite onze ans
Tu t'étais servis simplement de tes armes
La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans
Tu avais ton portrait sur le mur de ta ville
Noirs de barbe et de nuit hirsute menaçants
L'affiche qui semblait une tache de sang
Parce qu'a pronnoncer ton nom est difficile
Y cherchait un effets de peur sur les passants