Réécrivez ce texte en remplaçant la 1ère personne du singulier par la 3ème personne du pluriel. Effectuez toutes les modifications nécessaires.
Les prés, les forêts, le monde du dehors ne me limitent par comme ce misérable jardin de cire rouge où je dois dessiner mes barreaux en prenant garde aux vides. Si mes traits étaient plus espacés, je pourrais me faufiler, m'échapper entre les lettres, rêver en plein milieu d'un mot. Mais l'écriture que mon maître m'enseigne est si serrée que l'air n'y entre pas. Il reste dans la marge, là où poussent les drôleries, l'herbe étoilée et les rinceaux.
Les prés, les forêts, le monde du dehors ne les limitent pas comme ce misérable jardin de cire rouge où ils doivent dessiner leurs barreaux en prenant garde aux vides. Si leurs traits étaient plus espacés, ils pourraient se faufiler, s'échapper entre les lettres, rêver en plein milieu d'un mot. Mais l'écriture que leur maître leur enseigne est si serrée que l'air n'y entre pas. Il reste dans la marge, là où poussent les drôleries, l'herbe étoilée et les rinceaux.
Lista de comentários
Bonjour,
Les prés, les forêts, le monde du dehors ne les limitent pas comme ce misérable jardin de cire rouge où ils doivent dessiner leurs barreaux en prenant garde aux vides. Si leurs traits étaient plus espacés, ils pourraient se faufiler, s'échapper entre les lettres, rêver en plein milieu d'un mot. Mais l'écriture que leur maître leur enseigne est si serrée que l'air n'y entre pas. Il reste dans la marge, là où poussent les drôleries, l'herbe étoilée et les rinceaux.