Réécrivez le passage suivant à l’imparfait. (7 points) « Elle sent la graine et le grain. Les culasses de blé s'affaissent et se tassent comme des endormis […]. Il y a dans l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'est ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui font le pain, viennent s'approvisionner. »
Merci
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angeeliina
Elle sentait la graine et le grain. Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis. Il y avait l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisait le pain, venaient s'approvisionner.
Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis [...]. Il y avait dans l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisaient le pain, venaient s'approvisionner. "
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N
noham ben m barek
La nuit tombe. Il commence à faire froid. Les premiers ne tardent pas à apparaitre. Une grappe d'hommes épuisés qui marchent lentement
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Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis. Il y avait l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisait le pain, venaient s'approvisionner.
Réponse:
" Elle sentais la graine et le grain.
Les culasses de blé s'affaissaient et se tassaient comme des endormis [...]. Il y avait dans l'air la poussière fine de la farine et le tapage des marchés joyeux. C'était ici que les boulangers ou les meuniers, ceux qui faisaient le pain, venaient s'approvisionner. "