Le narrateur est un homme de quarante-deux ans qui coule des jours paisibles dans sa propriété rouennaise située au bord de la Seine.Un jour il voit passer devant sa maison un trois-mâts brésilien. A compter de ce jour, il est victime d'étranges sensations,de malaises et de fièvre. Il en vint à se qu'il n'était pas seul, qu'on le suivait quoi qu'il fasse, qu'il était pourchassé par un être qu'il ne pouvait voir.
Le narrateur nous décrit son anxiété et le trouble qui l’habite. Il évoque ce jour, où il s’est endormi en laissant près de son lit une carafe remplie d'eau. A son réveil , alors qu’il était sûr que personne n’avait pu s’introduire dans sa chambre, qu'elle ne fut pas sa surprise de retouver la carafe vide.
De plus en plus souffrant, il ressent des phénomènes étranges et a l’impression qu’une force mystérieuse le menace. Il décide de se rendre au Mont-Saint-Michel et parle avec un moine de l'existence de choses invisibles. Ce dernier lui raconte de vielles légendes qui évoquent la présence sur cette terre d’autres êtres que les hommes. Il rentre chez lui, et très rapidement sa « folie » le reprend. Ne sachant plus quoi penser , et se demandant s’il devient fou, il décide de réaliser quelques expériences : la nuit avant de se coucher, il place divers aliments et boissons à coté de son lit. « On » boit la carafe d’eau, puis le lait. Il en arrive à la conclusion effrayante que quelqu'un est présent dans sa chambre chaque nuit et que celui-ci boit son eau et mange ses aliments.
Il décide de se rendre à Paris où il reste trois semaines. Il assiste à une séance d'hypnotisme qui le trouble profondément . Une question lancinante l’angoisse : Existe-t-il des forces invisibles ? Rentré chez lui, il est à nouveau saisi par la peur. Il ne paraît plus maître de ses actes.
Un jour alors qu’il se promène dans le jardin il voit devant lui une rose se casser et s'élever dans les airs. Inquiet par ce qu'il vient de voir, il s'assied dans un fauteuil. C'est alors qu'il voit une page de son livre qu'il avait auparavant posé, se tourner comme si une personne était là en train de le lire.
Maintenant, l'homme en est sûr, un être invisible est à quelques pas de lui, l'envahissant de sa présence pesante ; il baptisa cet être « le horla ». Un soir il se retourne vers son miroir comme il a l'habitude de faire. Il est surpris de ne plus apercevoir son reflet. Celui-ci a disparu. Puis lentement il réapparait comme si quelqu’un ou quelque chose était passé devant lui...
Le narrateur finit par mettre le feu à sa maison pour tuer « le horla ». Mais il doute du succès de son action. Sera-t-il obligé de se tuer lui aussi ?
Lista de comentários
Bonsoir voilà le résumé j'ai trouvé:
Le narrateur est un homme de quarante-deux ans qui coule des jours paisibles dans sa propriété rouennaise située au bord de la Seine.Un jour il voit passer devant sa maison un trois-mâts brésilien. A compter de ce jour, il est victime d'étranges sensations,de malaises et de fièvre. Il en vint à se qu'il n'était pas seul, qu'on le suivait quoi qu'il fasse, qu'il était pourchassé par un être qu'il ne pouvait voir.
Le narrateur nous décrit son anxiété et le trouble qui l’habite. Il évoque ce jour, où il s’est endormi en laissant près de son lit une carafe remplie d'eau. A son réveil , alors qu’il était sûr que personne n’avait pu s’introduire dans sa chambre, qu'elle ne fut pas sa surprise de retouver la carafe vide.
De plus en plus souffrant, il ressent des phénomènes étranges et a l’impression qu’une force mystérieuse le menace. Il décide de se rendre au Mont-Saint-Michel et parle avec un moine de l'existence de choses invisibles. Ce dernier lui raconte de vielles légendes qui évoquent la présence sur cette terre d’autres êtres que les hommes. Il rentre chez lui, et très rapidement sa « folie » le reprend. Ne sachant plus quoi penser , et se demandant s’il devient fou, il décide de réaliser quelques expériences : la nuit avant de se coucher, il place divers aliments et boissons à coté de son lit. « On » boit la carafe d’eau, puis le lait. Il en arrive à la conclusion effrayante que quelqu'un est présent dans sa chambre chaque nuit et que celui-ci boit son eau et mange ses aliments.
Il décide de se rendre à Paris où il reste trois semaines. Il assiste à une séance d'hypnotisme qui le trouble profondément . Une question lancinante l’angoisse : Existe-t-il des forces invisibles ? Rentré chez lui, il est à nouveau saisi par la peur. Il ne paraît plus maître de ses actes.
Un jour alors qu’il se promène dans le jardin il voit devant lui une rose se casser et s'élever dans les airs. Inquiet par ce qu'il vient de voir, il s'assied dans un fauteuil. C'est alors qu'il voit une page de son livre qu'il avait auparavant posé, se tourner comme si une personne était là en train de le lire.
Maintenant, l'homme en est sûr, un être invisible est à quelques pas de lui, l'envahissant de sa présence pesante ; il baptisa cet être « le horla ». Un soir il se retourne vers son miroir comme il a l'habitude de faire. Il est surpris de ne plus apercevoir son reflet. Celui-ci a disparu. Puis lentement il réapparait comme si quelqu’un ou quelque chose était passé devant lui...
Le narrateur finit par mettre le feu à sa maison pour tuer « le horla ». Mais il doute du succès de son action. Sera-t-il obligé de se tuer lui aussi ?