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Présentation du roman Ce roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97 pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il s’opposait Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine : « L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaît à Dieu, elle partira en boitant, car nous tâcherons de lui porter de rudes coups. » La peine de mort fut abolie seulement en 1981 « La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ». (Paroles du 15 septembre 1848). En 1851, il l’a dénoncée en plein tribunal : « Cette vieille et inintelligente loi du talion(…) » je la combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de tous mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de la peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! ( il montre le Christ sur la croix ). Je le jure devant ce gibet où, il y a deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi humaine a cloué la loi divine ! » ( Paroles du 11 juin 1851 ).
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Ce roman a été écrit par Victor HUGO en 1829, il est composé de 49 chapitres et il a 97 pages.Victor HUGO traite différents thèmes dans cette œuvre comme la liberté ou l’absence de liberté et la peine de mort à laquelle il s’opposait
Victor HUGO parlait ainsi de la guillotine : « L’infâme machine partira de France, nous y comptons, et s’il plaît à Dieu, elle partira en boitant, car nous tâcherons de lui porter de rudes coups. »
La peine de mort fut abolie seulement en 1981
« La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie ». (Paroles du 15 septembre 1848). En 1851, il l’a dénoncée en plein tribunal : « Cette vieille et inintelligente loi du talion(…) » je la combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes de tous mes votes comme législateur, je le déclare devant cette victime de la peine de mort qui est là, qui nous regarde et qui nous entend ! ( il montre le Christ sur la croix ). Je le jure devant ce gibet où, il y a deux mille ans, pour l’éternel enseignement des générations, la loi humaine a cloué la loi divine ! » ( Paroles du 11 juin 1851 ).