Réponse :

Explications :

Bonjour,

les propositions subordonnées commencent par un pronom relatif. ce pronom doit remplacer le nom qui le précède immédiatement ( = antécéden). Si ce n'est pas le cas, alors il ne s'agit pas d'une proposition subordonnée relative mais sans doute d'une complétive.

Ainsi, si je relève les propositions subordonnées de ton texte : (Avec entre parenthèses, les antécédents entre guillemets)

"qu'il dit" (il dit ces "choses")

"dont il parle" ( il parle de ce "ton" )

"qu'on a pour lui" (on a de la "déférence" pour lui > antécédent de "qu'")

"qui donne le repas" ("Euthydème" donne le repas)

"qui perd" (c'est "celui" qui perd)

"qu'on ne lui passe" (on lui passe "sorte de fatuités")

" qui le souffrent" (ce sont "ceux" qui le souffrent)

Les propositions subordonnées circonstancielles indiquent dans quelles circonstances s'est déroulée l'action décrite par le verbe de la proposition principale (temps, conséquence, manière, but, cause ...) Cette proposition peut être supprimée sans que la phrase perde de son sens ; la proposition n'est là que pour apporter une précision.

Donc, avec la fonction de la proposition :

" à mesure qu'il approche" > Je dirais CCT du verbe grossit" (complément circonstanciel de temps)

"que par le ton dont il parle" > CCComparaison du verbe "est"

"que pour bredouiller des vanités et des sottises" > CCB du verbe "revient"

" que chacun a son fait" > CCConséquence du verbe "a"

"sans qu'il ait eu l'intention de le lui donner" < CCCmanière du verbe "a"

"qu'il a, à son insu, désobligé toute l'assemblée" >

" qu'à la lui disputer" > CCComparaison du verbe "a"

" Si l'on joue" > CCT du verbe "gagne"