Salut j'ais vraiment besoin d'aide sur ce travaille. C'est du Francais et je le trouve trep complique.
Voici le texte:


Questions
A. La grande inauguration (5 points)
1- Quel nom porte la toute nouvelle rue ? (0,5 point)
2- Quelle partie du bâtiment du « Bonheur des Dames » est inaugurée ce jour-là ?
Recopie entre guillemets dans ta réponse l’expression qui l’indique. (0,5 point)
3- Quel évènement est organisé dans le magasin lors de cette inauguration ?
Recopie entre guillemets l’expression qui l’indique. (0,5 point)
4- Dans le deuxième paragraphe, recopie entre guillemets quatre métaphores et
une comparaison employées pour caractériser le « Bonheur des Dames ».
(2,5 points : 0,5 point par métaphore et 0,5 point pour la comparaison)
5- Quelles caractéristiques du « Bonheur des Dames » ces métaphores mettent-elles en
valeur ?

B. Le vieux commerce (6 points)
1- Qu’est devenu Baudu, l’oncle de Denise ? (1 point)
2- Le « Vieil Elbeuf » ne présente plus qu’une « devanture morte » (l. 18-19).
Quelle comparaison est employée par le narrateur entre les lignes 15 à 20
pour exprimer la mort de ce petit magasin ? (1 point)
3- « Cette verrue ancienne » (l. 13)
a) Quel élément est désigné par cette expression ? (1 point)
b) Comment s’appelle cette figure de style ? (1 point)
c) Retrouve dans les lignes 11 et 12 un nom et un participe passé qui
préparent cette image et recopie-les. (1 point)
4- « la dernière pelletée de terre jetée sur le vieux commerce » (l. 18)
À quel événement étudié dans un extrait de la séquence cette expression
te fait-elle penser ?

C. Un Paris rapetissé (5 points)
1- Sur quel support, décrit à partir de la ligne 20, le grand magasin et la ville
de Paris sont-ils dessinés ? (0,5 point)
2- Sur ce dessin, le « Bonheur des Dames » semble écraser la ville et le paysage alentour.
Dans les sept dernières lignes du texte, recopie trois expressions qui traduisent
ce phénomène de rapetissement. (1,5 point)

II - ÉTUDE DE LA LANGUE (4 points)
1- Recopie les adjectifs qualificatifs suivants et sépare leur préfixe du radical par un trait
vertical :
ensoleillé - engraissé - indistinctes - démesuré (1 point)
2- Voici quelques noms choisis dans l’extrait. Réécris-les en leur ajoutant un suffixe
diminutif :
maison - affiche - cour - face (1 point)
3- « Déjà, la plaie, laissée à son flanc par la démolition de la masure de Bourras,
se trouvait si bien cicatrisée, qu’on aurait vainement cherché la place de cette verrue
ancienne…» (l. 11-13)
a) Recopie le passage ci-dessus et souligne la proposition subordonnée conjonctive.
(1 point)
b) Encadre la conjonction de subordination. (0,5 point)
c) Précise la circonstance exprimée par la proposition subordonnée
(cause, conséquence ou but).

Merci
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Bonjour Je m'appelle Dario et j'ais un probleme avec une question de francais. Vous pouriez m'aider s'il vous plait. La chambre du jeune homme, au cinquième étage, donnait, comme sur un abîme profond, sur l’immense tranchée du chemin de fer de l’Ouest, juste au-dessus de la sortie du tunnel, près de la gare des Batignolles. Duroy ouvrit sa fenêtre et s’accouda sur l’appui de fer rouillé. Au-dessous de lui, dans le fond du trou sombre, trois signaux rouges immobiles avaient l’air de gros yeux de bête ; et plus loin on en voyait d’autres, et encore d’autres, encore plus loin. À tout instant des coups de sifflets prolongés ou courts passaient dans la nuit, les uns proches, les autres à peine perceptibles, venus de là-bas, du côté d’Asnières. Ils avaient des modulations comme des appels de voix. Un d’eux se rapprochait, poussant toujours son cri plaintif qui grandissait de seconde en seconde, et bientôt une grosse lumière jaune apparut, courant avec un grand bruit ; et Duroy regarda le long chapelet de wagons1 s’engouffrer sous le tunnel. Puis il se dit : « Allons au travail ! » Il posa sa lumière sur la table ; mais au moment de se mettre à écrire, il s’aperçut qu’il n’avait chez lui qu’un cahier de papier à lettres. Tant pis, il l’utiliserait en ouvrant la feuille dans toute sa grandeur. Il trempa sa plume dans l’encre et écrivit en tête, de sa plus belle écriture : Souvenir d’un chasseur d’Afrique Puis il chercha le commencement de la première phrase. Il restait le front dans sa main, les yeux fixés sur le carré blanc déployé devant lui. Qu’allait-il dire ? Il ne trouvait plus rien maintenant de ce qu’il avait raconté tout à l’heure, pas une anecdote, pas un fait. Tout à coup, il pensa : « Il faut que je débute par mon départ. » Il écrivit : « C’était en 1874, aux environs du 15 mai, alors que la France épuisée se reposait après les catastrophes de l’année terrible2 … » Et il s’arrêta net, ne sachant comment amener ce qui suivrait, son embarquement, son voyage, ses premières émotions. Après dix minutes de réflexion il se décida à remettre au lendemain la page précédente du début, et à faire tout de suite une description d’Alger. Et il traça sur son papier : « Alger est une ville toute blanche… » sans parvenir à énoncer autre chose. Il revoyait en souvenir la jolie cité claire, dégringolant, comme une cascade de maisons plates, du haut de sa montagne dans la mer, mais il ne trouvait plus un mot pour exprimer ce qu’il avait vu, ce qu’il avait senti. Après un grand effort, il ajouta : « Elle est habitée en partie par des Arabes … » Puis il jeta sa plume et se leva. Sur son petit lit de fer, où la place de son corps avait fait un creux, il aperçut ses habits de tous les jours, jetés là, vides, fatigués, flasques, vilains comme des hardes3 de la Morgue. Et, sur une chaise de paille, son chapeau de soie, son unique chapeau, semblait ouvert pour recevoir l’aumône. À ton avis, le narrateur donne-t-il dans le texte une image positive ou négative de la ville où habite le personnage ? Justifie ta réponse en recopiant entre guillemets deux éléments du texte.
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