Salut ! Svp aidez-moi j'ai fait une production écrite sur le bonheur mais je pense qu'elle est mal écrite . Je veux qu'un exemple pour m'aider Pouvez vous m'aider Mrc d'avance
Le devoir d'obtenir le bonheur suggère d'abord qu'il y ait une possibilité d'être heureux. Le bonheur n'est pas un devoir moral, mais il est tout de même possible d'être heureux. Or plusieurs philosophes se sont penchés sur cette énigme et plusieurs analyses sur les façons de parvenir au bonheur ont ainsi été faites. D'un point de vue personnel, son approche est complexe et les critères de bonheur différents. Ainsi, l'ataraxie est un critère de sagesse qui au départ pour les grecs, signifiait que l'on était calme selon toutes circonstances. Pourtant, cette notion s'est étendue parmi les philosophes et chacun a développé sa propre définition de l'ataraxie. Pour Socrate la sagesse coïncide avec la recherche de la vertu. Or la recherche de la vertu mène, et même peut être assimilée à la recherche du bonheur. Il disait ainsi : "Une vie sans examen ne vaut pas d'être vécue".
L'homme pour être vertueux et ainsi accéder au bonheur (selon la définition de l'ataraxie, qui prône ce côté-là de la sagesse), doit sans cesse se poser des questions sur lui-même et sur sa vie. Il est essentiel selon Socrate de suivre cette démarche pour ne pas vivre en dessous de son humanité. La recherche de la vertu est donc nécessaire, et par ce biais, en se posant donc des questions et en se plaçant sans cesse en situation "d'examen de soi-même", on atteindrait le bonheur. Être heureux est donc une forme de moralité.
D'après Épicure, le simple fait d'exister serait suffisant à nous rendre heureux. Pour lui, les désirs auxquels nous sommes soumis sont ceux qui sont nécessaires à notre survie. De plus, sa définition, qui s'affine cependant davantage chez les Stoïciens, suggère le fait que notre bonheur s'acquiert par la vertu. Il existe un détachement entre le plaisir d'exister et la vertu, qui permet ainsi d'atteindre une autarcie. La connaissance est ainsi le moteur, la voie qui nous permet d'accéder au bonheur. Cette idée s'est d'ailleurs fait ressentir chez Antisthène d'une autre manière. Il prônait en effet le fait de pouvoir se contenter de soi-même. Les Cyniques, qui comme les Stoïciens, ont été largement inspirés et guidés philosophiquement par Antisthène, ont poussé cette ataraxie au plus loin en admettant qu'en renonçant à tout il était possible de devenir vertueux et donc heureux. La sagesse indique ainsi un bonheur dans le sentiment, car les sentiments permettent d'empêcher les émotions de troubler l'âme. Le bonheur peut ainsi être coloré par des désirs et des émotions qui le rendraient illusoire. Le véritable bonheur ne serait donc pas atteint.
Pour Plotin, le bonheur doit se conformer à une vie de l'intelligence, qui ne se résume pas à un profit du monde matériel, auquel le corps est rattaché. Il différencie bien le corps et l'âme car selon lui, les plaisirs du corps ne sont qu'éphémères et n'assurent pas le bonheur absolu. Il ne se préoccupe donc pas des plaisirs de son corps, bien qu'il faille l'entretenir. La vie sur terre n'est qu'une étape avant l'élévation de l'esprit, et plus précisément de notre âme à chacun, vers le bien, vers l'Un.
Sa conception du bonheur est ainsi en accord avec celle de Platon qui affirme que celle-ci n'est pas possible sur terre, car le corps est dissociable de l'esprit, et seul l'esprit est capable de se tourner vers le bonheur. L'esprit est au-dessus du corps et l'homme vertueux se doit de vivre centré sur l'esprit. La démarche n'est pas la même que pour les Stoïciens ou les Cyniques par exemple, qui résolvent l'énigme du bonheur, en se défaisant, se détachant, de tout ce qui est matériel. Or d'après Plotin ou Platon, les choses matérielles n'ont que peu d'importance. Ainsi d'après lui : "il faut quitter la terre pour s'élever au bien". La vie humaine n'est pas guidée de manière sensée et n'a pas d'intérêt mais l'effort doit être fait afin d'obtenir le bonheur, et cela peut se faire en quittant le corps. Ainsi, Plotin ne craint pas de mourir ou de souffrir, car son but final étant d'atteindre le bonheur, il ne redoute pas de quitter un jour le monde du matériel, pour rejoindre ce qui est au-delà et qui relève de l'intelligence, du monde immatériel. Pour lui, l'esprit se libère de cette « prison » lorsque la « nature en aura marqué le moment ». Cela est sa définition même de la sagesse. Les plaisirs du corps aujourd'hui selon eux, sont un frein à mener cet objectif du bonheur à bout.
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Bonsoir,
Le devoir d'obtenir le bonheur suggère d'abord qu'il y ait une possibilité d'être heureux. Le bonheur n'est pas un devoir moral, mais il est tout de même possible d'être heureux. Or plusieurs philosophes se sont penchés sur cette énigme et plusieurs analyses sur les façons de parvenir au bonheur ont ainsi été faites. D'un point de vue personnel, son approche est complexe et les critères de bonheur différents. Ainsi, l'ataraxie est un critère de sagesse qui au départ pour les grecs, signifiait que l'on était calme selon toutes circonstances. Pourtant, cette notion s'est étendue parmi les philosophes et chacun a développé sa propre définition de l'ataraxie. Pour Socrate la sagesse coïncide avec la recherche de la vertu. Or la recherche de la vertu mène, et même peut être assimilée à la recherche du bonheur. Il disait ainsi : "Une vie sans examen ne vaut pas d'être vécue".
L'homme pour être vertueux et ainsi accéder au bonheur (selon la définition de l'ataraxie, qui prône ce côté-là de la sagesse), doit sans cesse se poser des questions sur lui-même et sur sa vie. Il est essentiel selon Socrate de suivre cette démarche pour ne pas vivre en dessous de son humanité. La recherche de la vertu est donc nécessaire, et par ce biais, en se posant donc des questions et en se plaçant sans cesse en situation "d'examen de soi-même", on atteindrait le bonheur. Être heureux est donc une forme de moralité.
D'après Épicure, le simple fait d'exister serait suffisant à nous rendre heureux. Pour lui, les désirs auxquels nous sommes soumis sont ceux qui sont nécessaires à notre survie. De plus, sa définition, qui s'affine cependant davantage chez les Stoïciens, suggère le fait que notre bonheur s'acquiert par la vertu. Il existe un détachement entre le plaisir d'exister et la vertu, qui permet ainsi d'atteindre une autarcie. La connaissance est ainsi le moteur, la voie qui nous permet d'accéder au bonheur. Cette idée s'est d'ailleurs fait ressentir chez Antisthène d'une autre manière. Il prônait en effet le fait de pouvoir se contenter de soi-même. Les Cyniques, qui comme les Stoïciens, ont été largement inspirés et guidés philosophiquement par Antisthène, ont poussé cette ataraxie au plus loin en admettant qu'en renonçant à tout il était possible de devenir vertueux et donc heureux. La sagesse indique ainsi un bonheur dans le sentiment, car les sentiments permettent d'empêcher les émotions de troubler l'âme. Le bonheur peut ainsi être coloré par des désirs et des émotions qui le rendraient illusoire. Le véritable bonheur ne serait donc pas atteint.
Pour Plotin, le bonheur doit se conformer à une vie de l'intelligence, qui ne se résume pas à un profit du monde matériel, auquel le corps est rattaché. Il différencie bien le corps et l'âme car selon lui, les plaisirs du corps ne sont qu'éphémères et n'assurent pas le bonheur absolu. Il ne se préoccupe donc pas des plaisirs de son corps, bien qu'il faille l'entretenir. La vie sur terre n'est qu'une étape avant l'élévation de l'esprit, et plus précisément de notre âme à chacun, vers le bien, vers l'Un.
Sa conception du bonheur est ainsi en accord avec celle de Platon qui affirme que celle-ci n'est pas possible sur terre, car le corps est dissociable de l'esprit, et seul l'esprit est capable de se tourner vers le bonheur. L'esprit est au-dessus du corps et l'homme vertueux se doit de vivre centré sur l'esprit. La démarche n'est pas la même que pour les Stoïciens ou les Cyniques par exemple, qui résolvent l'énigme du bonheur, en se défaisant, se détachant, de tout ce qui est matériel. Or d'après Plotin ou Platon, les choses matérielles n'ont que peu d'importance. Ainsi d'après lui : "il faut quitter la terre pour s'élever au bien". La vie humaine n'est pas guidée de manière sensée et n'a pas d'intérêt mais l'effort doit être fait afin d'obtenir le bonheur, et cela peut se faire en quittant le corps. Ainsi, Plotin ne craint pas de mourir ou de souffrir, car son but final étant d'atteindre le bonheur, il ne redoute pas de quitter un jour le monde du matériel, pour rejoindre ce qui est au-delà et qui relève de l'intelligence, du monde immatériel. Pour lui, l'esprit se libère de cette « prison » lorsque la « nature en aura marqué le moment ». Cela est sa définition même de la sagesse. Les plaisirs du corps aujourd'hui selon eux, sont un frein à mener cet objectif du bonheur à bout.
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