salut tout le mande, j'ai fait un poème et je ne sais pas comment continuer. pouvez vous faire des petit correction si c'est possible et essayer de continuer si vous pouvez, en sachant que c'est un poème avec des vers libre. merci a l'avance et veillez faire vite, car je doit le rendre demain pour la prof. et sa va me servir aussi de révision pour le "brevet blanc 2" qui aura lieu demain. souhaitez moi une bonne chance merci.bay
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touteouie
Bonsoir, Voici déjà ton poème avec certaines fautes corrigés ainsi qu'une petite suite et des compléments : A paris, Même la nuit, elle m'éblouit, et aujourd'hui Je la trouve particulièrement jolie Quand elle surgit
Des lumières larges vers les pieds Qui se rétrécit au sommet Elles broute les nuages Sans faire aucun ravage
Comme des fourmis se baladent en dessous ses pieds Et montant sur les cotés, Les visiteurs se souviendront tout leur vie de cette tour de ferraille qui s’éclate la nuit et les trois étages bien alignés Au début quatre tunnels formés par les pieds
Les jardins d’à côté étincelles de leur surface verte Jardins pour toujours, Sans détour nous y passons, restons, rêvons comme des belles de jour Et nous sommes en alerte
Immortel Paris, nul en est aguerri éternel Paris, tu nous envahi, De ton souffle de vie, Aux terrasses des brasseries
Elle veille et attend, Depuis plus de cent ans, Le jour du nouvel an, Son habit étincelant.
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Voici déjà ton poème avec certaines fautes corrigés ainsi qu'une petite suite et des compléments :
A paris,
Même la nuit, elle m'éblouit, et aujourd'hui
Je la trouve particulièrement jolie
Quand elle surgit
Des lumières larges vers les pieds
Qui se rétrécit au sommet
Elles broute les nuages
Sans faire aucun ravage
Comme des fourmis se baladent en dessous ses pieds
Et montant sur les cotés,
Les visiteurs se souviendront tout leur vie
de cette tour de ferraille qui s’éclate la nuit
et les trois étages bien alignés
Au début quatre tunnels formés par les pieds
Les jardins d’à côté étincelles de leur surface verte
Jardins pour toujours,
Sans détour nous y passons, restons, rêvons comme des belles de jour
Et nous sommes en alerte
Immortel Paris, nul en est aguerri
éternel Paris, tu nous envahi,
De ton souffle de vie,
Aux terrasses des brasseries
Elle veille et attend,
Depuis plus de cent ans,
Le jour du nouvel an,
Son habit étincelant.