salut tout le monde je besoin d'aide sur mon devoir de français si ,quelqu'un peux m'aider merci d'avance
il faut juste corriger mes faute d’orthographe :
Je leur avait pour-temps prévenues qu'il allaient être surpris mais il sont pas voulus me croire alors je raconta l'histoire il étais 18h30 il voulais le faire mais cette fois j'allais pas me laisser faire il a allais pas le toucher j’étais déterminer a ne pas me le laisser faire on ça se voyait en lui qu'il étais en colère mais moi aussi j’étais en colère. J'avais tellement en colère en vers lui mais j'avais de raison de l’être , il était horrible sans cœur effrayant sans pitié r il était déterminer a le faire ont ne pouvais voir dans ses yeux que de la colère javais peur je voulais courir pour m’évader mais je ne pouvais pas y'avais aucune issue possible pour s’enfuie , alors je perdue tout espoirs de pouvoir m’évader . Il a alors tendue en vers moi moi mon cœur se seraient a l’idée de le voir faire sens que je puissent rien faire ,je me suis alors lever a l’idée de ne pas me laisser faire je me suis mise a lui donner de coup partout dans l’œil dans les ventre partout j'avais l'impression qu'il sentais pas le coup que je lui donner alors je me suis mise a pleurer a crier a gigoter de partout pour qu'ont me vienne en aide mais non personne pour me venir en aider , je me suis pas décourager je continuer a crier (au secour , aider moi ) mais ça lui a quand même pas empêcher de le faire de me voler une partie en moi sur la qu'elle je tenais temps que ça il la fait il a couper avec le ciseau cette pauvre papier sur qui je voulais écrire mon prénom
Je les avais pourtant prévenus qu'ils allaient être surpris mais il n'ont pas voulu me croire alors j'ai raconté mon histoire : il était 18 h 30 et cette fois je n'allais pas me laisser faire, il n'a allait pas le toucher j’étais déterminéeà ne pas me le laisser faire, cela se voyait sur lui qu'il était en colère mais moi aussi j’étais en colère !Mais ma colère envers lui était justifiée,car il était horrible, sans cœur, effrayant et sans pitié. Il était déterminé à le faire et on ne pouvaitque voir dans ses yeux cette colère qui me faisait si peur ; je voulais courir pour m’évader mais je ne pouvais pas car il n'y avait aucune issue possible pour s’enfuir, alors je perdais tout espoir de possibilité de m’évader. Il s'estensuite tenu vers moi, mais mon cœur se serrait à l’idée de le voir faire sans que je ne puisseme défendre, puis je me suis levée pour me débattreet je lui ai donné des coups partout, dans l’œil, dans le ventre,et pourtant j'avais l'impression qu'il ne sentait pas les coups que je lui donnais alors je me suis mise à pleurer,à crier, à gigoter pour qu'on me vienne en aide, mais non, personne n'intervenait , je ne me suis cependant pas découragée, j'ai continué à crier : "Au-secours!Aidez-moi !" mais cela ne l'a quand même pas empêché de faire ce qu'il avait décidé, de me voler cette partie de moi sur laquelle je tenais tant, il a coupé avec une paire de ciseaux ce pauvre bout de papier sur lequel je voulais simplement écrire mon prénom.
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Bonsoir,Je les avais pourtant prévenus qu'ils allaient être surpris mais il n'ont pas voulu me croire alors j'ai raconté mon histoire : il était 18 h 30 et cette fois je n'allais pas me laisser faire, il n'a allait pas le toucher j’étais déterminée à ne pas me le laisser faire, cela se voyait sur lui qu'il était en colère mais moi aussi j’étais en colère ! Mais ma colère envers lui était justifiée, car il était horrible, sans cœur, effrayant et sans pitié. Il était déterminé à le faire et on ne pouvait que voir dans ses yeux cette colère qui me faisait si peur ; je voulais courir pour m’évader mais je ne pouvais pas car il n'y avait aucune issue possible pour s’enfuir, alors je perdais tout espoir de possibilité de m’évader. Il s'est ensuite tenu vers moi, mais mon cœur se serrait à l’idée de le voir faire sans que je ne puisse me défendre, puis je me suis levée pour me débattre et je lui ai donné des coups partout, dans l’œil, dans le ventre, et pourtant j'avais l'impression qu'il ne sentait pas les coups que je lui donnais alors je me suis mise à pleurer, à crier, à gigoter pour qu'on me vienne en aide, mais non, personne n'intervenait , je ne me suis cependant pas découragée, j'ai continué à crier : "Au-secours ! Aidez-moi !" mais cela ne l'a quand même pas empêché de faire ce qu'il avait décidé, de me voler cette partie de moi sur laquelle je tenais tant, il a coupé avec une paire de ciseaux ce pauvre bout de papier sur lequel je voulais simplement écrire mon prénom.