Regarde en bas. J'ai fait 4 chapitres, si c'est trop tu raccourcis si c'est pas assez tu continus. Désolée si c'est trop long
Explications :
Chapitre 1
La nouvelle
Je marchais dans les couloirs gris et sombres de notre vieux collège, furieux. Le pion qui marchait à côté de moi avançait tel un jaguar. Et, rien que pour l’énerver, je me déplaçais très lentement. Mon idée fonctionnait bien car je l’entendais grommeler quelque chose du genre: «Ah, les jeunes!». Mais, bon, c’est pas de ma faute, pourquoi les surveillants ne peuvent pas nous laisser sécher les cours en paix?
J’étais tranquille en train de fumer ma clope, et un surveillant était sorti comme ça, comme par magie. Il m’avait sourit d’un air narquois avant de déclarer:
-Eh, Gabriel, faudrait que tu changes de planque de temps en temps, à ce qu’il paraît, tu es toujours là!
Et là, la routine avait recommencé : aller à la Vie Scolaire, passer chez le proviseur, coup de fil à ma mère mais, comme d’habitude, le proviseur était tombé sur sa messagerie. Finalement, le pion me raccompagna en cours de… français je crois? Avec madame… Serfi? Frizer? Tout ce dont je me souvenais, c’était que j’étais à côté d’Emy, ma petite amie. Au dernier rang, le bonheur. Le surveillant me poussa en direction d’une porte. La salle 203. Je supposais que c’était ma salle de classe. J’ouvris la porte avec un grognement. Je croisai aussitôt à un regard violet au premier rang.
Ah, une nouvelle? Elle était plutôt belle: ses cheveux roux cascadaient sur ses épaules et tranchaient net sur son teint laiteux. Et elle avait des yeux magnifiques, violets et impénétrables. Côté fringue…
Elle portait un tee-shirt overcise d’un groupe de rock méconnu. Son pantalon s’évasait sur des tennis miteuses. La voix criarde de ma prof me ramena sur Terre:
-Monsieur Gegry, que me vaut l’honneur de votre présence?
Toute la classe s’esclaffa. J’essayais de répondre le plus diplomatiquement possible:
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2siheme2
-Tais-toi et écoute-moi! Te voici dans le monde de Lubs. Je t'ai laissé entrer pour que tu saches la vérité. Je bondis violemment et pointa mon doigt accusateur sur mon interlocutrice: -Ah je le savais c'est toi qui a enlevé ma mère! Mais je suis plus dur à cuire que tu ne le penses! Je…. Bo...Bon sang de bois!
2siheme2
Je venais de crier parce que cette saleté de Boubi venait de sauter sur mon épaule. Boubi s'exclama: -Ce n'est pas elle qui l'a enlevé, c'est la SML! -La SML? C'est quoi? demandai-je d’un ton interrogateur.
2siheme2
-La Société Maléfique de Lubs, murmura-t-elle, tel un chat effrayé. -La quoi?!? -Chut! Plus bas! C'est une organisation qui a pour but de conquérir le monde. Leur chef est Mogiser. Ses manières sont violentes et brutales et puis il… Sa voix se brisa, comme incapable de soutenir son chagrin. Une unique larme coula sur sa joue et tomba au sol comme une goutte de pluie. J’étais désemparé: c'est la première fois que je voyais une fille pleurer. Elle trouva la force de continuer:
2siheme2
-Il…a tué mes parents! Je suis allée sur terre pour finir ma formation de Psinnoë. -De psychopathe? -Tu es sourd! J'ai dit Psinnoë. C’est l'équivalent des espions chez vous. Les Psinnoës sont formés pour éliminer la SML. J’intervins: -C’est bien beau de me raconter des contes de fées, mais c’est quoi le rapport avec ma mère? -Justement! dit Soniia en s’éclaircissant la gorge, Mogiser a une habitude peu catholique… deux fois par an, il enlève une femme terrienne pour… Voilà, t’as compris!
2siheme2
Maintenant que j’y pense c’est vrai que plus je pensais à Soniia plus je la trouvais belle… -Afin d’éviter toute pensée gênante, poursuivit Soniia, embarrassée, il faut que je t’emmène chez Etussous. -Etu quoi?!? -C’est le chef des Lubs, ce sera lui qui tranchera pour ton cas. En attendant, tu peux un peu te promener.» Et elle disparut Je rêvais là où elle venait de me laisser en plan?
2siheme2
Les mains dans les poches, le regard au ciel, j’avançais rêveusement. Tout ce qui bougeait autour de moi semblait irréel. Je voyais des poissons volants et étincelant comme une couronne sertit de joyaux. Je marchais plusieurs mètres et tombai nez-à-nez avec un grand cristal orangeâtre et lisse. Il s’y dégageait un aura chaleureuse.
2siheme2
Je continuais mon chemin à la recherche de nourriture. J’aperçus une taverne du nom de « Mr FILZ » J’y entrais, méfiant. Mes narines furent assaillit par des effluves inconnues. Un jeune homme m’installa à une table isolée. Il me donna une choppe remplie d’une substance visqueuse qui faisait mal aux yeux. Elle était surmontée d’une mousse liégeoise. Je bus d’abord prudemment puis sans retenue.
2siheme2
Ce breuvage avait un goût de guimauve fondue mélangé à une sorte de lait d’amandes. Les clients qui étaient agglutinés au comptoir parlaient bruyamment. Ils buvaient la même chose que moi. C’était à ce moment-là que tous les bavardages se turent. On n’entendait ni les borborygmes ni les rires bruyants. La serrure de la porte s’ouvrit en un clic et une silhouette apparut.
2siheme2
Je te met le chapitre 3 et 4 demain, parce que là je suis fatiguée
farah41
Mais je te remercie énormément c’est tellement gentil de ta part c’est la première fois que je reçois une réponse comme sa
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Réponse :
Regarde en bas. J'ai fait 4 chapitres, si c'est trop tu raccourcis si c'est pas assez tu continus. Désolée si c'est trop long
Explications :
Chapitre 1
La nouvelle
Je marchais dans les couloirs gris et sombres de notre vieux collège, furieux. Le pion qui marchait à côté de moi avançait tel un jaguar. Et, rien que pour l’énerver, je me déplaçais très lentement. Mon idée fonctionnait bien car je l’entendais grommeler quelque chose du genre: «Ah, les jeunes!». Mais, bon, c’est pas de ma faute, pourquoi les surveillants ne peuvent pas nous laisser sécher les cours en paix?
J’étais tranquille en train de fumer ma clope, et un surveillant était sorti comme ça, comme par magie. Il m’avait sourit d’un air narquois avant de déclarer:
-Eh, Gabriel, faudrait que tu changes de planque de temps en temps, à ce qu’il paraît, tu es toujours là!
Et là, la routine avait recommencé : aller à la Vie Scolaire, passer chez le proviseur, coup de fil à ma mère mais, comme d’habitude, le proviseur était tombé sur sa messagerie. Finalement, le pion me raccompagna en cours de… français je crois? Avec madame… Serfi? Frizer? Tout ce dont je me souvenais, c’était que j’étais à côté d’Emy, ma petite amie. Au dernier rang, le bonheur. Le surveillant me poussa en direction d’une porte. La salle 203. Je supposais que c’était ma salle de classe. J’ouvris la porte avec un grognement. Je croisai aussitôt à un regard violet au premier rang.
Ah, une nouvelle? Elle était plutôt belle: ses cheveux roux cascadaient sur ses épaules et tranchaient net sur son teint laiteux. Et elle avait des yeux magnifiques, violets et impénétrables. Côté fringue…
Elle portait un tee-shirt overcise d’un groupe de rock méconnu. Son pantalon s’évasait sur des tennis miteuses. La voix criarde de ma prof me ramena sur Terre:
-Monsieur Gegry, que me vaut l’honneur de votre présence?
Toute la classe s’esclaffa. J’essayais de répondre le plus diplomatiquement possible:
Je bondis violemment et pointa mon doigt accusateur sur mon interlocutrice:
-Ah je le savais c'est toi qui a enlevé ma mère! Mais je suis plus dur à cuire que tu ne le penses! Je…. Bo...Bon sang de bois!
-Ce n'est pas elle qui l'a enlevé, c'est la SML!
-La SML? C'est quoi? demandai-je d’un ton interrogateur.
-La quoi?!?
-Chut! Plus bas! C'est une organisation qui a pour but de conquérir le monde. Leur chef est Mogiser. Ses manières sont violentes et brutales et puis il…
Sa voix se brisa, comme incapable de soutenir son chagrin. Une unique larme coula sur sa joue et tomba au sol comme une goutte de pluie. J’étais désemparé: c'est la première fois que je voyais une fille pleurer. Elle trouva la force de continuer:
-De psychopathe?
-Tu es sourd! J'ai dit Psinnoë. C’est l'équivalent des espions chez vous. Les Psinnoës sont formés pour éliminer la SML.
J’intervins:
-C’est bien beau de me raconter des contes de fées, mais c’est quoi le rapport avec ma mère?
-Justement! dit Soniia en s’éclaircissant la gorge, Mogiser a une habitude peu catholique… deux fois par an, il enlève une femme terrienne pour… Voilà, t’as compris!
-Afin d’éviter toute pensée gênante, poursuivit Soniia, embarrassée, il faut que je t’emmène chez Etussous.
-Etu quoi?!?
-C’est le chef des Lubs, ce sera lui qui tranchera pour ton cas. En attendant, tu peux un peu te promener.»
Et elle disparut
Je rêvais là où elle venait de me laisser en plan?
C’était à ce moment-là que tous les bavardages se turent. On n’entendait ni les borborygmes ni les rires bruyants.
La serrure de la porte s’ouvrit en un clic et une silhouette apparut.