salomegermain63
Aujourd’hui je suis seul à la maison, pour la première fois. Mes parents sont partis faire quelques courses et ne reviendront certainement que deux heures plus tard. Cette situation me met un peu mal à l’aise, c’est vrai que du haut de mes 16 ans je n’ai jamais été dans ce genre de situation. Pour me détendre je décide de lire un livre sur le fauteuil du salon, encadré par de grandes baies vitrées. Tout y est visible, la forêt, le ciel, les oiseaux... Plongé dans mon livre, un bruit de poignet de porte se fait entendre. Je reste immobile, les yeux grands ouverts et j’attends. Un deuxième bruit, je sursaute. D’un pas tremblant je me rapproche de ma porte, le souffle court et coupé... un troisième bruit. Quelque chose gratte à ma porte, essaie de l’ouvrir, les bruits deviennent frénétiques et si insupportables. Mais qu’est-ce que ça peut bien être ?
chadabenbouzid
dans une rue,un homme arracha le sac d'un jeune fille...rédiger la situation initiale et l'élément perturbateur de ce récit
salomegermain63
Oui, je te l’envoie en plusieurs fois puisque c’est l’espace commentaire
salomegermain63
Elle marche, la jeune fille ne cesse de marcher. Pour rentrer chez elle, cette jolie brune doit emprunter un chemin étroit, une ruelle où les débauchés urinent leur alcool brûlant sur les murs, et où les pauvres pleurent un trop grand désespoir. C’est donc la boule au ventre que oui, la jeune fille marche.
salomegermain63
Sa peur réveille tous ses sens, ses yeux bleus tournent frénétiquement de la gauche vers la droite, devant et derrière. Et voilà que dans un moment de relâchement un homme dont le visage se cache sous une capuche noir lui prend son sac et court en la poussant. Tout d’abord elle ne comprend pas, sonnée par ce geste si brusque, si sauvage. La jeunette reprend ses esprits et court comme elle n’a jamais couru, comme ses jambes ne se sont jamais déchaînées.
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Réponse :
situation initiale : Seul à la maison
élément pertubateur : j'entends un bruit
Pour me détendre je décide de lire un livre sur le fauteuil du salon, encadré par de grandes baies vitrées. Tout y est visible, la forêt, le ciel, les oiseaux...
Plongé dans mon livre, un bruit de poignet de porte se fait entendre. Je reste immobile, les yeux grands ouverts et j’attends. Un deuxième bruit, je sursaute. D’un pas tremblant je me rapproche de ma porte, le souffle court et coupé... un troisième bruit. Quelque chose gratte à ma porte, essaie de l’ouvrir, les bruits deviennent frénétiques et si insupportables. Mais qu’est-ce que ça peut bien être ?
Pour rentrer chez elle, cette jolie brune doit emprunter un chemin étroit, une ruelle où les débauchés urinent leur alcool brûlant sur les murs, et où les pauvres pleurent un trop grand désespoir.
C’est donc la boule au ventre que oui, la jeune fille marche.
Tout d’abord elle ne comprend pas, sonnée par ce geste si brusque, si sauvage. La jeunette reprend ses esprits et court comme elle n’a jamais couru, comme ses jambes ne se sont jamais déchaînées.