S'il vous plait, il me faut ce devoir dans 25min. Les contes de la Bécasse: Comme les convives du Baron des ravots, vous racontez à votre tour, une aventure amusante. Le recit se fera a la premiere personne "Je" La redaction se fera en 3 paragraphe Minimun 15 ligne et maximun 20 lignes. Vous pouvez raconter une histoire reel.
Les convives se tournèrent vers moi, comme si naturellement, c'était mon tour de raconter mon histoire. Je pris la parole "Mes amis, Monsieur le baron, enfant, j'étais assez turbulent, vous le savez déjà. Une fois par mois, mon grand-père bien-aimé venait nous rendre visite dans notre maison de campagne, et je chassais avec lui. Mon grand-père était un homme passioné de chasse, il connaissait le nom de tous les animaux de la forêt, leurs cachettes, et leurs habitudes. Cet homme n'était pourtant pas chasseur, il avait été médecin, et j'admirais, à l'époque, sa grande culture et sa connaissance de tous ce qui m'entourait. Je lui vouait une admration sans bornes. Un jour, donc, j'avais onze ans, je savais depuis peu monter à cheval, mon grand-père vint me rendre visite, à moi et ma famille. Mais cette fois ci, pour son habituelle partie de chasse, il me proposa de l'accompagner pour une vraie chasse. A l'habitude, nous cpturions un animal et nous le relachions après l'avoir admirer. J'acceptais avec empressement, je me sentais comme un homme, et que mon grand-père m'ai proposé cela à moi, plutôt qu'à mon frêre, de deux ans mon aîné, m'amplit de fierté.
Le lendemain, nous préparâmes donc deux chevaux, le mien était une jument racée grise, ma monture préférée. Nius allâmes à travers les bois pendant plusieurs heures, sans rien trouver. Mon grand-père avait son fusil à la main, je m'étais muni d'une petite arbalète, un jouet, n'ayant pas le droit de porter une arme à feu.
Lista de comentários
Réponse :
Les convives se tournèrent vers moi, comme si naturellement, c'était mon tour de raconter mon histoire. Je pris la parole "Mes amis, Monsieur le baron, enfant, j'étais assez turbulent, vous le savez déjà. Une fois par mois, mon grand-père bien-aimé venait nous rendre visite dans notre maison de campagne, et je chassais avec lui. Mon grand-père était un homme passioné de chasse, il connaissait le nom de tous les animaux de la forêt, leurs cachettes, et leurs habitudes. Cet homme n'était pourtant pas chasseur, il avait été médecin, et j'admirais, à l'époque, sa grande culture et sa connaissance de tous ce qui m'entourait. Je lui vouait une admration sans bornes. Un jour, donc, j'avais onze ans, je savais depuis peu monter à cheval, mon grand-père vint me rendre visite, à moi et ma famille. Mais cette fois ci, pour son habituelle partie de chasse, il me proposa de l'accompagner pour une vraie chasse. A l'habitude, nous cpturions un animal et nous le relachions après l'avoir admirer. J'acceptais avec empressement, je me sentais comme un homme, et que mon grand-père m'ai proposé cela à moi, plutôt qu'à mon frêre, de deux ans mon aîné, m'amplit de fierté.
Le lendemain, nous préparâmes donc deux chevaux, le mien était une jument racée grise, ma monture préférée. Nius allâmes à travers les bois pendant plusieurs heures, sans rien trouver. Mon grand-père avait son fusil à la main, je m'étais muni d'une petite arbalète, un jouet, n'ayant pas le droit de porter une arme à feu.
Soudain, vers 5h de l'après-midi...
Explications :
Je te laisse continuer... Bon courage !