S'il vous plait j'ai besoin de la rédaction de se sujet""la violence contre les jeunes""
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lnmb
Tu peut t'aider de sa si tu veut :Le droit des enfants d'être protégés contre la violence et la maltraitance est reconnu et inscrit dans des lois et conventions nationales et internationales. Le Canada, à titre d'État membre des Nations Unies ayant ratifié la Convention relative aux droits de t, reconnaît à tous les enfants et les jeunes le droit à l'éventail complet des droits de la personne, y compris celui de recevoir les soins nécessaires et d'être protégés contre toutes les formes de violence aux mains de leurs parents ou d'autres fournisseurs de soins
Note1. Le Code criminel du Canada et les lois provinciales et territoriales sur la protection de l'enfance sont les deux mécanismes juridiques qui assurent le respect de ces droits au Canada.
Bien qu'il puisse y avoir chevauchement des types de préjudices couverts par le droit pénal et le droit civil, ensemble le Code criminel et les lois provinciales et territoriales sur la protection de l'enfance prévoient une vaste gamme de mauvais traitements et d'actes de violence contre les enfants et les jeunes, qu'il s'agisse de négligence, d'exposition à la violence familiale, de violence physique, de violence sexuelle, d'homicide ou d'autres types de crimes violents. Certaines formes de mauvais traitements envers les enfants, comme la violence psychologique ou l'exposition à la violence conjugale, peuvent ne jamais atteindre le seuil de l'acte criminel et donc ne pas entraîner d'intervention policière ou le dépôt d'accusations en vertu du Code criminel. Dans de nombreux cas, cependant, ces incidents sont tout de même considérés comme des événements graves qui exigent l'intervention des services provinciaux ou territoriaux de protection de l'enfance (Trocmé et autres, 2010).
La mesure exacte de l'étendue et la nature véritables de la violence contre les enfants et les jeunes présente de très grands défis Note2. Les données sur les mauvais traitements à l'égard des enfants ne proviennent que de sources d'information officielles, soit les services de police et de protection de l'enfance. Contrairement aux victimes plus âgées, qui sont visées par des enquêtes auprès de la population, comme l'Enquête sociale générale (ESG) sur la victimisation, laquelle fournit des indicateurs de la victimisation autodéclarée et des taux de déclaration à la police, les enfants et les jeunes ne font l'objet d'aucune enquête nationale équivalenteNote3, Note4. L'étendue et la nature véritables de la violence contre les enfants et les jeunes ne sont donc pas connues. Certaines auteures ont laissé entendre que la violence contre les enfants est moins souvent signalée aux sources officielles que la violence à l'égard de victimes plus âgées (AuCoin, 2005; Ogrodnik, 2010)Note5. Les enfants peuvent être incapables de parler de leur victimisation, ou peuvent hésiter à le faire, en raison de leur âge et du stade de leur développement physique, mental ou cognitif, ou de leur peur des conséquences (Organisation des Nations Unies, 2011; AuCoin, 2005; ministère de la Justice Canada, 2001). Ajoutons à ces facteurs le caractère caché de la violence, qui peut réduire le taux de détection, puis du signalement, par d'autres personnes (Kesner, Bingham et Kwon, 2009; Lazenbatt et Freeman, 2006).
Cela étant dit, on a mis en place un certain nombre d'initiatives visant à faciliter le signalement des crimes violents perpétrés contre des enfants et des jeunes à la police et aux autorités de la protection de l'enfance (AuCoin, 2005). Il faut surtout mentionner que l'ensemble des provinces et les trois territoires ont adopté des lois en vertu desquelles les professionnels qui travaillent avec des enfants, et souvent les simples citoyens, sont tenus de signaler aux autorités policières ou aux organismes de protection de l'enfance les situations qui font naître leurs soupçons (Trocmé et autres, 2010). Les taux de signalement peuvent toutefois varier beaucoup en raison des attitudes des personnes et des différences d'ordre juridique à propos de ce qui constitue de la maltraitance soupçonnée et de la façon de définir un enfant ou un jeuneNote6 (Levi et Portwood, 2011).
Dans la présente analyse, on examine les infractions avec violence au Code criminel dont les enfants et les jeunes sont la cible à l'aide des données déclarées par la police, ainsi qu'une forme de mauvais traitements, soit les enfants témoins de violence conjugale, au moyen des données de l'ESG de 2009 sur la victimisation.
je me suis aider de quelque site a toi maintenant de prendre des élements et d'essayer de rédigez
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winner123
à mon avis beaucoup trop compliqué mais tu as le mérite des recherches
lnmb
a mon avis les élements les plus important et les moins compliquer sont au début
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Note1. Le Code criminel du Canada et les lois provinciales et territoriales sur la protection de l'enfance sont les deux mécanismes juridiques qui assurent le respect de ces droits au Canada.
Bien qu'il puisse y avoir chevauchement des types de préjudices couverts par le droit pénal et le droit civil, ensemble le Code criminel et les lois provinciales et territoriales sur la protection de l'enfance prévoient une vaste gamme de mauvais traitements et d'actes de violence contre les enfants et les jeunes, qu'il s'agisse de négligence, d'exposition à la violence familiale, de violence physique, de violence sexuelle, d'homicide ou d'autres types de crimes violents. Certaines formes de mauvais traitements envers les enfants, comme la violence psychologique ou l'exposition à la violence conjugale, peuvent ne jamais atteindre le seuil de l'acte criminel et donc ne pas entraîner d'intervention policière ou le dépôt d'accusations en vertu du Code criminel. Dans de nombreux cas, cependant, ces incidents sont tout de même considérés comme des événements graves qui exigent l'intervention des services provinciaux ou territoriaux de protection de l'enfance (Trocmé et autres, 2010).
La mesure exacte de l'étendue et la nature véritables de la violence contre les enfants et les jeunes présente de très grands défis Note2. Les données sur les mauvais traitements à l'égard des enfants ne proviennent que de sources d'information officielles, soit les services de police et de protection de l'enfance. Contrairement aux victimes plus âgées, qui sont visées par des enquêtes auprès de la population, comme l'Enquête sociale générale (ESG) sur la victimisation, laquelle fournit des indicateurs de la victimisation autodéclarée et des taux de déclaration à la police, les enfants et les jeunes ne font l'objet d'aucune enquête nationale équivalenteNote3, Note4. L'étendue et la nature véritables de la violence contre les enfants et les jeunes ne sont donc pas connues. Certaines auteures ont laissé entendre que la violence contre les enfants est moins souvent signalée aux sources officielles que la violence à l'égard de victimes plus âgées (AuCoin, 2005; Ogrodnik, 2010)Note5. Les enfants peuvent être incapables de parler de leur victimisation, ou peuvent hésiter à le faire, en raison de leur âge et du stade de leur développement physique, mental ou cognitif, ou de leur peur des conséquences (Organisation des Nations Unies, 2011; AuCoin, 2005; ministère de la Justice Canada, 2001). Ajoutons à ces facteurs le caractère caché de la violence, qui peut réduire le taux de détection, puis du signalement, par d'autres personnes (Kesner, Bingham et Kwon, 2009; Lazenbatt et Freeman, 2006).
Cela étant dit, on a mis en place un certain nombre d'initiatives visant à faciliter le signalement des crimes violents perpétrés contre des enfants et des jeunes à la police et aux autorités de la protection de l'enfance (AuCoin, 2005). Il faut surtout mentionner que l'ensemble des provinces et les trois territoires ont adopté des lois en vertu desquelles les professionnels qui travaillent avec des enfants, et souvent les simples citoyens, sont tenus de signaler aux autorités policières ou aux organismes de protection de l'enfance les situations qui font naître leurs soupçons (Trocmé et autres, 2010). Les taux de signalement peuvent toutefois varier beaucoup en raison des attitudes des personnes et des différences d'ordre juridique à propos de ce qui constitue de la maltraitance soupçonnée et de la façon de définir un enfant ou un jeuneNote6 (Levi et Portwood, 2011).
Dans la présente analyse, on examine les infractions avec violence au Code criminel dont les enfants et les jeunes sont la cible à l'aide des données déclarées par la police, ainsi qu'une forme de mauvais traitements, soit les enfants témoins de violence conjugale, au moyen des données de l'ESG de 2009 sur la victimisation.
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