. le pote a croisé une femme dans une rue bruyante de la ville. Elle lui est apparue fascinante de beauté comme une beauté de statue, mais cette beauté est insaisissable Dans les deux tercets , cette rencontre a passé le temps d'un éclair, d'un éblouissement. Elle a été FUGITIVE. Il en est ainsi de la beauté poétique que recherche le poète : il l'entrevoit, voudrait la retenir mais elle disparaît. la beauté est donc un idéal vers lequel il tend mais qui reste inaccessible. Tous ces regrets sont exprimés par des exclamatives parfois nominales.
Les deux dernières strophes sont des tercets, c'est à dire des strophes de trois vers, avec des rimes croisées ("beauté", "renaitre", "éternité", "être", "vais"). Les vers sont des alexandrins, c'est à dire des vers à 12 syllabes ("Un / é/clair / puis / la / nuit / Fu/gi/ti/ve / beau/té").
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Le titre "A une passante" donne déjà une piste
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le pote a croisé une femme dans une rue bruyante de la ville. Elle lui est apparue fascinante de beauté comme une beauté de statue, mais cette beauté est insaisissable Dans les deux tercets , cette rencontre a passé le temps d'un éclair, d'un éblouissement. Elle a été FUGITIVE. Il en est ainsi de la beauté poétique que recherche le poète : il l'entrevoit, voudrait la retenir mais elle disparaît. la beauté est donc un idéal vers lequel il tend mais qui reste inaccessible. Tous ces regrets sont exprimés par des exclamatives parfois nominales.
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Bonjour
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Les deux dernières strophes sont des tercets, c'est à dire des strophes de trois vers, avec des rimes croisées ("beauté", "renaitre", "éternité", "être", "vais"). Les vers sont des alexandrins, c'est à dire des vers à 12 syllabes ("Un / é/clair / puis / la / nuit / Fu/gi/ti/ve / beau/té").