S'il vout plaît pouvez-vous m'aider Tu as réalisé un exploit qui a laissé ta famille et ton quartier très fier de toi (tu as secourir deux personnes d'une noyade avec ton chien) _Raconte ce qui est passé en insistant sur l'exploit et en décrivant la siruation dangereuse MERCI D'AVANCE (30 lignes) c'est pour une heure après aidez moi s'il vous plaît
Hier soir, alors que j'étais tranquillement en train de rentrer du collège, accompagné de Rufus, mon chien, il s'est passé quelque chose dont je me souviendrai toute ma vie. Alors que je changeais de rue pour prendre le chemin menant jusqu'à ma maison, j'entendis, soudainement, des cris de personnes appelant à l'aide. Je décidai de revenir sur mes pas et de courir à l'endroit d'où provenaient ces cris, suivi par Rufus. J'arrivai dans un petit sentier longé par un ruisseau dans lequel se trouvait deux personnes, une jeune femme et un petit garçon, emportés par le courant. Lorsqu'ils me virent, ils crièrent de plus belle et me demandèrent de les secourir. La pression de l'eau était si forte qu'ils n'arrivaient pas à nager. Il fallait à tout prix les aider. Pas une seule seconde d'hésitation, il n'y avait pas de temps à perdre. J'attrapai un bout de bois trouvé par terre et le tendis à la jeune femme. Cette dernière attrapa la main de l'enfant avant de s'aggriper au bâton. Je tirai de toutes mes forces pour les tirer de là, soutenu par les aboiements de Rufus. Finalement, je réussis à les sortir de l'eau. Cette pauvre femme et son enfant étaient épuisés et tremblaient de froid. J'enlevai alors ma veste pour la déposer sur les épaules de l'enfant espérant ainsi le réchauffer. Je sortis aussi de mon sac le goûter que ma mère m'avait préparé ce matin avant que je m'en aille au collège et le lui donnai. Après toutes ces émotions, il en avait sûrement beaucoup plus besoin que moi. Il parut touché et me remercia. La femme aussi, elle me dit que sans moi ils ne s'en seraient sûrement pas sortis vivants et que j'avais été très courageux. Je lui répondis que c'était bien normal de les avoir aidés. Elle me remercia encore et ajouta qu'elle ne m'oublierait jamais, qu'elle tâcherait bien à ce que tout le quartier connaisse cette histoire et que si j'avais besoin un jour de quoi que ce soit elle serait toujours là pour m'aider. Je la remerciai à mon tour, puis, leur dis au revoir car il était temps pour moi de rentrer. Je ne voulais pas que mes parents s'inquiètent. Arrivé à la maison, je racontais à ma famille toute cette histoire. Ma mère et mon père parurent impressionnés et me félicitèrent. Ils étaient très fiers de moi et de ce que je venais d'accomplir ce qui me toucha beaucoup. Le lendemain, quand je retournai au collège, tous mes camarades de classe et mes professeurs, m'acclamèrent. La jeune femme n'avait donc pas menti, tout le quartier était à présent au courant de ce qu'il s'était passé la veille.
Lista de comentários
Réponse :
Hier soir, alors que j'étais tranquillement en train de rentrer du collège, accompagné de Rufus, mon chien, il s'est passé quelque chose dont je me souviendrai toute ma vie. Alors que je changeais de rue pour prendre le chemin menant jusqu'à ma maison, j'entendis, soudainement, des cris de personnes appelant à l'aide. Je décidai de revenir sur mes pas et de courir à l'endroit d'où provenaient ces cris, suivi par Rufus. J'arrivai dans un petit sentier longé par un ruisseau dans lequel se trouvait deux personnes, une jeune femme et un petit garçon, emportés par le courant. Lorsqu'ils me virent, ils crièrent de plus belle et me demandèrent de les secourir. La pression de l'eau était si forte qu'ils n'arrivaient pas à nager. Il fallait à tout prix les aider. Pas une seule seconde d'hésitation, il n'y avait pas de temps à perdre. J'attrapai un bout de bois trouvé par terre et le tendis à la jeune femme. Cette dernière attrapa la main de l'enfant avant de s'aggriper au bâton. Je tirai de toutes mes forces pour les tirer de là, soutenu par les aboiements de Rufus. Finalement, je réussis à les sortir de l'eau. Cette pauvre femme et son enfant étaient épuisés et tremblaient de froid. J'enlevai alors ma veste pour la déposer sur les épaules de l'enfant espérant ainsi le réchauffer. Je sortis aussi de mon sac le goûter que ma mère m'avait préparé ce matin avant que je m'en aille au collège et le lui donnai. Après toutes ces émotions, il en avait sûrement beaucoup plus besoin que moi. Il parut touché et me remercia. La femme aussi, elle me dit que sans moi ils ne s'en seraient sûrement pas sortis vivants et que j'avais été très courageux. Je lui répondis que c'était bien normal de les avoir aidés. Elle me remercia encore et ajouta qu'elle ne m'oublierait jamais, qu'elle tâcherait bien à ce que tout le quartier connaisse cette histoire et que si j'avais besoin un jour de quoi que ce soit elle serait toujours là pour m'aider. Je la remerciai à mon tour, puis, leur dis au revoir car il était temps pour moi de rentrer. Je ne voulais pas que mes parents s'inquiètent. Arrivé à la maison, je racontais à ma famille toute cette histoire. Ma mère et mon père parurent impressionnés et me félicitèrent. Ils étaient très fiers de moi et de ce que je venais d'accomplir ce qui me toucha beaucoup. Le lendemain, quand je retournai au collège, tous mes camarades de classe et mes professeurs, m'acclamèrent. La jeune femme n'avait donc pas menti, tout le quartier était à présent au courant de ce qu'il s'était passé la veille.
Explications :