A Oran, en Algérie, dans les années 1940, de plus en plus de personnes meurent jour après jour mais de quoi ? Difficile de lutter contre un fléau sans nom car on ignore contre quoi on se bat. Le docteur Rieux se fera un point d'honneur à appeler les choses par leur nom. Font-elles moins peur alors ? Non, mais on peut alors mettre tente de l'enrayer. Ce fléau qui fait rage se nomme Peste.
Le docteur Rieux, accompagné de ses amis et de nombreuses personnes du corps médical ou de volontaires vont lutter de toutes leurs forces afin de vaincre la maladie. Après avoir pris des mesures drastiques comme fermer les portes de la ville et empêcher tout envoi de courrier et tout moyen, de transport et d'utiliser l'électricité, les habitants, en quarantaine dans leur propre foyer, doivent vivre coupés du monde, en dépit des séparations déchirantes dans certaines familles ou entre deux amants, les habitants d'Oran, indifférents, qui se méfient d'abord les uns des autres, vont voir naître en eux un sentiment nouveau : celui de l'entraide. Ils se rendent compte que les hommes sont tous égaux face à la mort : ils doivent se liguer contre une telle injustice comme celle qui vient frapper les plus jeunes ou les plus faibles. Le docteur Rieux, quant à lui, reste froidement attendri par les effusions sentimentales faces aux situations pourtant désespérées. Le détachement lui semble salvateur. Il ne se laisse jamais abuser par les états d'âme de chacun. Et de par sa profession, il connaîtra mieux les hommes, les malades, mais aussi le père Paneloux et sa théorie du fléau divin, Raymond Rambert et ses désirs d'évasion, Joseph Grand et son intérêt monomaniaque pour la grammaire.
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A Oran, en Algérie, dans les années 1940, de plus en plus de personnes meurent jour après jour mais de quoi ? Difficile de lutter contre un fléau sans nom car on ignore contre quoi on se bat. Le docteur Rieux se fera un point d'honneur à appeler les choses par leur nom. Font-elles moins peur alors ? Non, mais on peut alors mettre tente de l'enrayer. Ce fléau qui fait rage se nomme Peste.
Le docteur Rieux, accompagné de ses amis et de nombreuses personnes du corps médical ou de volontaires vont lutter de toutes leurs forces afin de vaincre la maladie. Après avoir pris des mesures drastiques comme fermer les portes de la ville et empêcher tout envoi de courrier et tout moyen, de transport et d'utiliser l'électricité, les habitants, en quarantaine dans leur propre foyer, doivent vivre coupés du monde, en dépit des séparations déchirantes dans certaines familles ou entre deux amants, les habitants d'Oran, indifférents, qui se méfient d'abord les uns des autres, vont voir naître en eux un sentiment nouveau : celui de l'entraide. Ils se rendent compte que les hommes sont tous égaux face à la mort : ils doivent se liguer contre une telle injustice comme celle qui vient frapper les plus jeunes ou les plus faibles. Le docteur Rieux, quant à lui, reste froidement attendri par les effusions sentimentales faces aux situations pourtant désespérées. Le détachement lui semble salvateur. Il ne se laisse jamais abuser par les états d'âme de chacun. Et de par sa profession, il connaîtra mieux les hommes, les malades, mais aussi le père Paneloux et sa théorie du fléau divin, Raymond Rambert et ses désirs d'évasion, Joseph Grand et son intérêt monomaniaque pour la grammaire.
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