La lecture est je pense un bon moyen pour s'évader. Grâce à elle, le monde extérieur n'a plus autant d'importance et on n'oublie la réalité parfois terne et morose. Elle nous fait rêver le temps d'un instant.
Lorsque l'on est propulsé dans une autre vie, on s'imagine que tout est possible, qu'enfin nos rêves les plus fous peuvent se réaliser.
La lecture permet également de résister à l’oppression et la barbarie de certain régime politique. Elle explique au lecteur différentes façons de voir les choses et de ne pas s’enfermer dans une seule idée, celle que généralement on nous force à croire.
On peut également affirmer que la lecture est une ouverture sur la culture. La culture permettant elle-même d’avoir ses propres idées, le savoir et les choix propres à la façon d’être et de penser de chacun, on se sent ainsi libre.
Cela se confirme particulièrement dans Balzac et la Petite Tailleuse chinoise, où la lecture a métamorphosé chacun des personnages, ce qui a par exemple mené la Petite Tailleuse a s’émanciper lorsqu’elle s’est rendue compte qu’elle était libre de faire sa vie comme elle le pensait sans suivre les idées du régime Maoïste qui ne lui laissait le droit de vivre sa vie librement.
Mais la lecture d’autres livres comme par exemple des livres scientifiques ou basés sur la littérature permettent au lecteur d’enrichir sa culture personnelle, ce qui lui permet par la suite de se sentir libre de penser et de croire en ses propres idées sans être manipulé par des idées extérieures contraires aux siennes.
Le livre est donc avant tout un outil de liberté dans de nombreuses situations, mais parfois, n’est-il pas contraire à cette idée de liberté et ne laisse-t-il pas place à l’oppression ?
La lecture mène à la pression. Par la lecture, le lecteur peut aussi être aveuglé et manipulé par des histoires ou des textes de propagandes, mais aussi par de simples histoires aveuglantes. On peut dire que de nombreuses fois, les livres on été des cibles utilisées pour de la propagande, pour répandre une idée qui s’oppose aux principes de la lecture : la liberté.
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Bonjour,
La lecture est je pense un bon moyen pour s'évader. Grâce à elle, le monde extérieur n'a plus autant d'importance et on n'oublie la réalité parfois terne et morose. Elle nous fait rêver le temps d'un instant.
Lorsque l'on est propulsé dans une autre vie, on s'imagine que tout est possible, qu'enfin nos rêves les plus fous peuvent se réaliser.
La lecture permet également de résister à l’oppression et la barbarie de certain régime politique. Elle explique au lecteur différentes façons de voir les choses et de ne pas s’enfermer dans une seule idée, celle que généralement on nous force à croire.
On peut également affirmer que la lecture est une ouverture sur la culture. La culture permettant elle-même d’avoir ses propres idées, le savoir et les choix propres à la façon d’être et de penser de chacun, on se sent ainsi libre.
Cela se confirme particulièrement dans Balzac et la Petite Tailleuse chinoise, où la lecture a métamorphosé chacun des personnages, ce qui a par exemple mené la Petite Tailleuse a s’émanciper lorsqu’elle s’est rendue compte qu’elle était libre de faire sa vie comme elle le pensait sans suivre les idées du régime Maoïste qui ne lui laissait le droit de vivre sa vie librement.
Mais la lecture d’autres livres comme par exemple des livres scientifiques ou basés sur la littérature permettent au lecteur d’enrichir sa culture personnelle, ce qui lui permet par la suite de se sentir libre de penser et de croire en ses propres idées sans être manipulé par des idées extérieures contraires aux siennes.
Le livre est donc avant tout un outil de liberté dans de nombreuses situations, mais parfois, n’est-il pas contraire à cette idée de liberté et ne laisse-t-il pas place à l’oppression ?
La lecture mène à la pression. Par la lecture, le lecteur peut aussi être aveuglé et manipulé par des histoires ou des textes de propagandes, mais aussi par de simples histoires aveuglantes. On peut dire que de nombreuses fois, les livres on été des cibles utilisées pour de la propagande, pour répandre une idée qui s’oppose aux principes de la lecture : la liberté.
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