Réponse :

Monsieur le Président de la République,

       Permettez-moi de vous adresser cette lettre pour exprimer mon indignation face aux nombreuses fautes d'orthographe commises par les ministres de votre gouvernement. En tant que citoyen français attaché à la langue de Molière, je ne peux rester silencieux face à cette situation qui nuit grandement à l'image de notre pays et à sa réputation culturelle.

       Il est inadmissible que des ministres chargés de représenter notre pays à l'échelle internationale ne soient pas en mesure d'écrire correctement en français. Les fautes d'orthographe et de grammaire sont non seulement laids, mais ils peuvent aussi induire des malentendus ou des erreurs de compréhension qui peuvent avoir des conséquences désastreuses dans des domaines aussi variés que la diplomatie, la politique ou l'économie.

         Je suis convaincu que la solution à ce problème réside dans la création d'un ministère de la Langue française, dont la mission principale serait de veiller au respect des règles orthographiques dans toutes les sphères de la vie publique. Ce ministère serait doté de pouvoirs réglementaires et d'une équipe d'experts linguistiques qualifiés pour assurer la qualité de la langue française utilisée par le gouvernement.

          Je suis conscient que la création d'un tel ministère représenterait un investissement important pour l'État, mais je crois fermement que cet investissement serait rentable à long terme. Il renforcerait la qualité de l'éducation et de la culture dans notre pays, améliorerait la qualité de la communication publique et donnerait à la France une image de pays sérieux et respectueux de la langue française.

          En conclusion, Monsieur le Président, je vous demande de prendre en considération ma proposition de création d'un ministère de la Langue française et de prendre les mesures nécessaires pour remédier à cette situation désastreuse. Je suis convaincu que vous partagez mon attachement à la langue française et que vous agirez en conséquence.

              Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes salutations les plus respectueuses.

                                 Maxime Dieuze.

Explications :