Sujet rédaction 3° Bonjours j'ai un sujet de rédaction en littérature pour vendredi pouvez vous m'aidez s'il vous plait ,merci d'avance.
Racontez un épisode de votre vie où vous avez du prendre une décision en vous opposant à l’avis de vos parents. Vous avez réussi ou échoué.
Penser à :
Bien construire le devoir Uniquement du récit. Pas de dialogue Eviter les événements qui se répètent Exprimer clairement les émotions Construire en 5 paragraphes Donner du rythme au récit : ne pas se perdre dans les détails
"En début 2017, j'avais pour projet de partir vivre à Barcelone pour y continuer mes études; mon rêve était de faire un master en psychologie dans une universitée bien précise. Ma famille s'y était opposer de toutes ses forces, ils m'avaient tous énormément déçu. J'avais 15 ans et étant donné que j'avais sauté deux classes, ils me trouvaient bien trop jeunes pour partir à Barcelone. Alors que la ville se trouvait à à peine plus de deux cents kilomètres de ma ville. J'en ai pleuré des nuits entières, mais ma famille n'avait pas réfléchie à ce que quand je voulais quelque chose, je faisais tout pour l'avoir et on ne m'arretait pas si facilement.
Ma mère était la seule à être de mon côté, son père lui avait interdit de partir faire ses études à l'étranger et donc elle comprenait très bien ce que je ressentais. Toute cette haine que j'avais en moi, ainsi que toute cette tristesse… Le sujet de cette faculté à Barcelone était très risqué, c'est-à-dire que rien qu'en l'évocant, mon père se bloquait et ne voulait plus me parler pendant des jours et des jours. À chaque fois que je parvenais à en lui parler, il m'évoquait les dangers, les possibles agressions, viols… Absolument rien de positif. Et quand je lui demandais si je pouvais partir là-bas, il me répondait évidemment "non".
Le 27 octobre 2018, moins d'un an avant d'aller à la fac, je décida de parler de cette universitée. Et j'expliqua à mon père que, certes il y avait de nombreux risques mais que là-bas ou ailleurs ça serait toujours pareil. Que d'accord, ça n'allait pas toujours être évident, mais qu'il n'y avait aucune raison que je n'y arrive pas vu ma détermination. Et surtout, qu'il devrait plus penser à un avenir heureux pour sa fille, qu'à un avenir sans risque mais incroyablement ennuyeux pour moi.
Mes paroles l'avaient fais réfléchir, et suite à ça, il ne parlait plus beaucoup et avait l'air de beaucoup réfléchir. Ça a duré neuf jour.
Suite à ces neuf jours, il m'a dit que j'avais finalement raison et que si j'y arrivais, je pourrais partir. J'étais tellement heureuse.
Motivée plus que jamais, je repris mes cours à fond pour avoir le bac bien qu'il soit dans longtemps; je ne pouvais me permettre d'échouer. À partir de fin décembre, j'ai commencé les démarches pour aller à cette fac, j'ai appelé la gérante des licences de psychologies afin de voir si mon inscription était possible malgrès mon âge, j'ai aussi appelé le gérant de la villa universitaire pour la mêmes raisons. En février, je suis allée aux portes-ouvertes de l'université, et j'étais plus que ravie et charmée par celle-ci.
Le temps passait et le bac approchait, l'angoisse aussi. Les jours des épreuves du bac, j'y suis allée pleine de confiance malgrès la peur qui stagnait au fond de moi. Cette technique a marché, j'ai eu le bac avec 14,87 et la mention bien. Cette mention et cette moyenne m'était inutile, j'avais uniquement besoin de ce bac.
Et une semaine après les résultats, je suis allée à Barcelone m'inscrire.
Le mardi 03 septembre 2019, je rentrais à la fac en première année de licence en psychologie. L'angoisse était plus que présente, mais mes colocatrices qui sont devenues mes meilleures amies m'ont bien aidé à la faire passer. Les cours ont commencé le jeudi matin, et je les ai adoré. Mes parents sont contents que tout cela me plaise énormément, mon père regrette un peu mon absence mais est tout de même heureux pour moi.
Moi je m'éclate ! Je me sens magnifiquement bien ici, et je suis enfin heureuse. Je fais ce qu'il me plait, et j'adore ça.
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Bonjour,
"En début 2017, j'avais pour projet de partir vivre à Barcelone pour y continuer mes études; mon rêve était de faire un master en psychologie dans une universitée bien précise. Ma famille s'y était opposer de toutes ses forces, ils m'avaient tous énormément déçu. J'avais 15 ans et étant donné que j'avais sauté deux classes, ils me trouvaient bien trop jeunes pour partir à Barcelone. Alors que la ville se trouvait à à peine plus de deux cents kilomètres de ma ville. J'en ai pleuré des nuits entières, mais ma famille n'avait pas réfléchie à ce que quand je voulais quelque chose, je faisais tout pour l'avoir et on ne m'arretait pas si facilement.
Ma mère était la seule à être de mon côté, son père lui avait interdit de partir faire ses études à l'étranger et donc elle comprenait très bien ce que je ressentais. Toute cette haine que j'avais en moi, ainsi que toute cette tristesse… Le sujet de cette faculté à Barcelone était très risqué, c'est-à-dire que rien qu'en l'évocant, mon père se bloquait et ne voulait plus me parler pendant des jours et des jours. À chaque fois que je parvenais à en lui parler, il m'évoquait les dangers, les possibles agressions, viols… Absolument rien de positif. Et quand je lui demandais si je pouvais partir là-bas, il me répondait évidemment "non".
Le 27 octobre 2018, moins d'un an avant d'aller à la fac, je décida de parler de cette universitée. Et j'expliqua à mon père que, certes il y avait de nombreux risques mais que là-bas ou ailleurs ça serait toujours pareil. Que d'accord, ça n'allait pas toujours être évident, mais qu'il n'y avait aucune raison que je n'y arrive pas vu ma détermination. Et surtout, qu'il devrait plus penser à un avenir heureux pour sa fille, qu'à un avenir sans risque mais incroyablement ennuyeux pour moi.
Mes paroles l'avaient fais réfléchir, et suite à ça, il ne parlait plus beaucoup et avait l'air de beaucoup réfléchir. Ça a duré neuf jour.
Suite à ces neuf jours, il m'a dit que j'avais finalement raison et que si j'y arrivais, je pourrais partir. J'étais tellement heureuse.
Motivée plus que jamais, je repris mes cours à fond pour avoir le bac bien qu'il soit dans longtemps; je ne pouvais me permettre d'échouer. À partir de fin décembre, j'ai commencé les démarches pour aller à cette fac, j'ai appelé la gérante des licences de psychologies afin de voir si mon inscription était possible malgrès mon âge, j'ai aussi appelé le gérant de la villa universitaire pour la mêmes raisons. En février, je suis allée aux portes-ouvertes de l'université, et j'étais plus que ravie et charmée par celle-ci.
Le temps passait et le bac approchait, l'angoisse aussi. Les jours des épreuves du bac, j'y suis allée pleine de confiance malgrès la peur qui stagnait au fond de moi. Cette technique a marché, j'ai eu le bac avec 14,87 et la mention bien. Cette mention et cette moyenne m'était inutile, j'avais uniquement besoin de ce bac.
Et une semaine après les résultats, je suis allée à Barcelone m'inscrire.
Le mardi 03 septembre 2019, je rentrais à la fac en première année de licence en psychologie. L'angoisse était plus que présente, mais mes colocatrices qui sont devenues mes meilleures amies m'ont bien aidé à la faire passer. Les cours ont commencé le jeudi matin, et je les ai adoré. Mes parents sont contents que tout cela me plaise énormément, mon père regrette un peu mon absence mais est tout de même heureux pour moi.
Moi je m'éclate ! Je me sens magnifiquement bien ici, et je suis enfin heureuse. Je fais ce qu'il me plait, et j'adore ça.
Voilà, j'espère que ça t'as plu, bonne journée