Sujet : une nuit, alors que tu es seul(e) chez toi. Tu es réveillé(e ) par des bruits étranges. Fais le récit de cet évènement en utilisant le vocabulaire de la peur Tu utiliseras la 1ere personne et les temps du passé le lecteur dois rester dans le doute
Cette soirée là, je ne suis pas prêt(e) de l'oublier. J'habite une belle maison, entourée d'un parc rempli d'arbres centenaires. C'est génial, lorsque c'est l'été. Mes parents sont partis passer une soirée rien que pour eux, comme ils disent. Je pris ma douche, allai regarder que tout était bien fermé, l'alarme mise et je courrai dans ma chambre. Une soirée rien que pour moi. J'avais pris la précaution de me préparer, un plateau avec des chips, des gaufrettes aux fraises, mais mince, il me manquait un grand verre de jus de pommes. Prestement, je me dirigeai vers la cuisine, lorsque je vis une ombre sur le mur blanc. Mon coeur se serra, paniqué(e) je ne bougeai plus. Quand, un bruit de frôlement me saisit. Je sentis monter en moi, une sueur froide. Pétrifié(e) je respirai un bon coup et hurlai, "il y a quelqu'un". Aucune réponse, connaissant la maison, je n'avais pas allumé les pièces. Seule ma chambre, indiquait ma présence. Je posai mon doigt sur l'interrupteur, mais paralysé(e) je ne pus allumer. Il me semblait voir cette ombre sur le mur, qui ne bougeait plus. Je remontai dans ma chambre, fermai la porte et écoutai. figé(e) . Je ne pus plus rien faire, une douleur me traversa la poitrine, je regardai à travers les volets de ma chambre et cela ne me rassura pas. En effet, à l'extérieur, les branches des arbres semblaient faire une danse, elles se soulevaient, et la lune les éclairait. Le bruit de la bise devenait plus fort et je me mis à imaginer tout plein de chose. Minuit, j'entendis les clés dans la porte, mes parents rentraient. je bondis de mon lit et m'effondrai en larmes. Mon père allumai puis éteignit pour me montrer qu'aucune ombre n'était présente. Ma mère me fit un chocolat chaud et me promis de ne plus me laisser seul(e). Un tour de ton imagination, chantonna mon père. A ce moment là, la pression retomba.
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Bonjour
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Cette soirée là, je ne suis pas prêt(e) de l'oublier. J'habite une belle maison, entourée d'un parc rempli d'arbres centenaires. C'est génial, lorsque c'est l'été. Mes parents sont partis passer une soirée rien que pour eux, comme ils disent. Je pris ma douche, allai regarder que tout était bien fermé, l'alarme mise et je courrai dans ma chambre. Une soirée rien que pour moi. J'avais pris la précaution de me préparer, un plateau avec des chips, des gaufrettes aux fraises, mais mince, il me manquait un grand verre de jus de pommes. Prestement, je me dirigeai vers la cuisine, lorsque je vis une ombre sur le mur blanc. Mon coeur se serra, paniqué(e) je ne bougeai plus. Quand, un bruit de frôlement me saisit. Je sentis monter en moi, une sueur froide. Pétrifié(e) je respirai un bon coup et hurlai, "il y a quelqu'un". Aucune réponse, connaissant la maison, je n'avais pas allumé les pièces. Seule ma chambre, indiquait ma présence. Je posai mon doigt sur l'interrupteur, mais paralysé(e) je ne pus allumer. Il me semblait voir cette ombre sur le mur, qui ne bougeait plus. Je remontai dans ma chambre, fermai la porte et écoutai. figé(e) . Je ne pus plus rien faire, une douleur me traversa la poitrine, je regardai à travers les volets de ma chambre et cela ne me rassura pas. En effet, à l'extérieur, les branches des arbres semblaient faire une danse, elles se soulevaient, et la lune les éclairait. Le bruit de la bise devenait plus fort et je me mis à imaginer tout plein de chose. Minuit, j'entendis les clés dans la porte, mes parents rentraient. je bondis de mon lit et m'effondrai en larmes. Mon père allumai puis éteignit pour me montrer qu'aucune ombre n'était présente. Ma mère me fit un chocolat chaud et me promis de ne plus me laisser seul(e). Un tour de ton imagination, chantonna mon père. A ce moment là, la pression retomba.