Svp aidez moi pour ma rédaction en français sur le livre le dieu du carnage. Le salon des houllié se transforme en tribunal. Alain et Véronique se font les avocats de leur propre fils. Alain pense qu’il s’agit d’une erreur excusable par la jeunesse de Ferdinand. Véronique pense que la jeunesse n’excuse pas la violence. Développez ces deux tirades en précisant dans des didascalies le décor, le ton, le gestes, les déplacements des personnages
Voici une proposition de développement pour votre rédaction :
Dans le livre "Le dieu du carnage" de Yasmina Reza, le salon des Houllié se transforme en tribunal lorsque les deux couples commencent à débattre de la bagarre entre leurs fils respectifs. Alain et Véronique se font les avocats de leur propre fils respectif, Ferdinand et Bruno. Leurs points de vue sont différents, ce qui crée une tension dramatique.
Dans un premier temps, Alain estime que la bagarre était excusable en raison de la jeunesse de Ferdinand. Le décor est celui d'un salon bourgeois, avec des canapés en cuir et des objets d'art sur les étagères. Alain est assis sur le canapé, avec une attitude détendue, les jambes croisées et un verre de whisky à la main. Il parle d'une voix calme et posée, sans gestes agités. Cependant, il a parfois un sourire ironique sur les lèvres, ce qui montre qu'il n'est pas tout à fait convaincu de ce qu'il dit. Les didascalies pourraient préciser : "Alain est assis sur le canapé, un verre à la main, ses gestes sont mesurés mais il rit parfois, son sourire ironique trahit son scepticisme."
D'un autre côté, Véronique a une vision plus stricte de la question. Pour elle, la violence ne peut jamais être excusée, même si les auteurs sont jeunes. Le décor est toujours le même, mais Véronique se tient debout, les bras croisés, devant les étagères. Son ton est plus fort que celui d'Alain, ses gestes sont plus intenses, elle bouge parfois d'un pied sur l'autre pour marquer son point de vue. Les didascalies pourraient préciser : "Véronique se tient devant les étagères, elle est crispée et a les bras croisés. Elle parle plus fort que d'habitude et prend des gestes plus fermes pour faire passer son message."
Enfin, les déplacements des personnages peuvent également être décrits : Alain se lève parfois pour aller chercher une cigarette ou un autre verre, tandis que Véronique reste immobile. Cela montre leur personnalité respective et leur positionnement dans le débat.
En somme, dans "Le dieu du carnage", la transformation du salon en tribunal est mise en avant par les arguments d'Alain et de Véronique, qui défendent leur fils avec des points de vue différents. Les didascalies permettent de donner des indications sur le ton, le geste et les déplacements des personnages, ce qui renforce leur caractérisation et l'ambiance dramatique du Passage.
si cela n'est pas bon je vous prie de m'excuser. Bonne soirée.
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Voici une proposition de développement pour votre rédaction :
Dans le livre "Le dieu du carnage" de Yasmina Reza, le salon des Houllié se transforme en tribunal lorsque les deux couples commencent à débattre de la bagarre entre leurs fils respectifs. Alain et Véronique se font les avocats de leur propre fils respectif, Ferdinand et Bruno. Leurs points de vue sont différents, ce qui crée une tension dramatique.
Dans un premier temps, Alain estime que la bagarre était excusable en raison de la jeunesse de Ferdinand. Le décor est celui d'un salon bourgeois, avec des canapés en cuir et des objets d'art sur les étagères. Alain est assis sur le canapé, avec une attitude détendue, les jambes croisées et un verre de whisky à la main. Il parle d'une voix calme et posée, sans gestes agités. Cependant, il a parfois un sourire ironique sur les lèvres, ce qui montre qu'il n'est pas tout à fait convaincu de ce qu'il dit. Les didascalies pourraient préciser : "Alain est assis sur le canapé, un verre à la main, ses gestes sont mesurés mais il rit parfois, son sourire ironique trahit son scepticisme."
D'un autre côté, Véronique a une vision plus stricte de la question. Pour elle, la violence ne peut jamais être excusée, même si les auteurs sont jeunes. Le décor est toujours le même, mais Véronique se tient debout, les bras croisés, devant les étagères. Son ton est plus fort que celui d'Alain, ses gestes sont plus intenses, elle bouge parfois d'un pied sur l'autre pour marquer son point de vue. Les didascalies pourraient préciser : "Véronique se tient devant les étagères, elle est crispée et a les bras croisés. Elle parle plus fort que d'habitude et prend des gestes plus fermes pour faire passer son message."
Enfin, les déplacements des personnages peuvent également être décrits : Alain se lève parfois pour aller chercher une cigarette ou un autre verre, tandis que Véronique reste immobile. Cela montre leur personnalité respective et leur positionnement dans le débat.
En somme, dans "Le dieu du carnage", la transformation du salon en tribunal est mise en avant par les arguments d'Alain et de Véronique, qui défendent leur fils avec des points de vue différents. Les didascalies permettent de donner des indications sur le ton, le geste et les déplacements des personnages, ce qui renforce leur caractérisation et l'ambiance dramatique du Passage.
si cela n'est pas bon je vous prie de m'excuser. Bonne soirée.