Dans l'incipit de Thérèse Raquin, Zola décrit la rue comme étant sombre, humide et déserte, avec des trottoirs étroits et des maisons hautes et sombres qui semblent s'abattre sur la chaussée. Il décrit également l'atmosphère de la rue comme étant étouffante, étant donné l'absence de circulation d'air et la présence de gaz d'éclairage. Zola insiste sur le caractère malsain et oppressant de l'environnement urbain dans lequel évoluent les personnages de son roman, soulignant l'importance de l'influence de l'environnement sur la psychologie des individus.
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Dans l'incipit de Thérèse Raquin, Zola décrit la rue comme étant sombre, humide et déserte, avec des trottoirs étroits et des maisons hautes et sombres qui semblent s'abattre sur la chaussée. Il décrit également l'atmosphère de la rue comme étant étouffante, étant donné l'absence de circulation d'air et la présence de gaz d'éclairage. Zola insiste sur le caractère malsain et oppressant de l'environnement urbain dans lequel évoluent les personnages de son roman, soulignant l'importance de l'influence de l'environnement sur la psychologie des individus.