Au 19ème siècle, les ouvriers d'usines et de mines travaillent dans des conditions très difficiles avec des 6 jours de travail de 12 à 15 heures dans la semaine, des usines bruyantes, mal aérées, discipline dure, aucunes règles d'hygiène ou de sécurité n'existe, ils ne touchent rien en cas d'accidents ou de maladies.
Ses maladies se développent vite comme la bronchite,
rhumatismes, tuberculose, ... .
Les aides sociales sont créées progressivement car les salaires sont insuffisants. Les ouvriers s'organisent et s'entraident.
Pour améliorer leur condition, les ouvriers ne tardent pas à s'organiser. Dès la fin du xviiie siècle, ils mettent en place leur propre système d'assistance : les sociétés de secours mutuels. Les ouvriers cotisent dans ces sociétés qui leur apportent une aide financière en cas de détresse.
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Au 19ème siècle, les ouvriers d'usines et de mines travaillent dans des conditions très difficiles avec des 6 jours de travail de 12 à 15 heures dans la semaine, des usines bruyantes, mal aérées, discipline dure, aucunes règles d'hygiène ou de sécurité n'existe, ils ne touchent rien en cas d'accidents ou de maladies.
Ses maladies se développent vite comme la bronchite,
rhumatismes, tuberculose, ... .
Les aides sociales sont créées progressivement car les salaires sont insuffisants. Les ouvriers s'organisent et s'entraident.
Pour améliorer leur condition, les ouvriers ne tardent pas à s'organiser. Dès la fin du xviiie siècle, ils mettent en place leur propre système d'assistance : les sociétés de secours mutuels. Les ouvriers cotisent dans ces sociétés qui leur apportent une aide financière en cas de détresse.