Bonsoir, Voilà un résumé succinct de cette nouvelle que j'ai lu il y a déjà une moment... -------------------------------------------------- Le narrateur est un jeune bourgeois normand. Il écrit dans son journal intime toutes ses pensées ainsi que l’histoire très très bizarre qui lui arrive. Il ressent une présence invisible qui se fait de plus en plus pesante et menaçante. Le narrateur semble devenir fou face à cet événement. Mais cet être invisible est-il réel ? Imaginaire ? le narrateur est-il peu à peu envahi par une forme de folie ? L’écriture de son journal semble être le seul moment de lucidité qui l'attache à la réalité mais là encore l’écriture finit par échapper à son contrôle. N’en pouvant plus, ne sachant plus comment gérer cette situation, à bout de souffrance, il va essayer de tuer cette "force" impalpable mais si présente, le Horla. Puis, de sa chambre d’hôtel à Rouen, le narrateur évoque l’incendie qu’il a provoqué dans sa propre maison la veille. Ses domestiques sont morts brûlés vifs, mais il pense que la nature surhumaine du Horla lui a permis de survivre aux flammes. Il sombre dans une spirale cauchemardesque qui l'entraîne inexorablement dans les abîmes insondables de la folie où le suicide lui semble la seule issue, la seule délivrance possible.
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Bonsoir,Voilà un résumé succinct de cette nouvelle que j'ai lu il y a déjà une moment...
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Le narrateur est un jeune bourgeois normand.
Il écrit dans son journal intime toutes ses pensées ainsi que l’histoire très très bizarre qui lui arrive. Il ressent une présence invisible qui se fait de plus en plus pesante et menaçante. Le narrateur semble devenir fou face à cet événement. Mais cet être invisible est-il réel ? Imaginaire ? le narrateur est-il peu à peu envahi par une forme de folie ? L’écriture de son journal semble être le seul moment de lucidité qui l'attache à la réalité mais là encore l’écriture finit par échapper à son contrôle. N’en pouvant plus, ne sachant plus comment gérer cette situation, à bout de souffrance, il va essayer de tuer cette "force" impalpable mais si présente, le Horla.
Puis, de sa chambre d’hôtel à Rouen, le narrateur évoque l’incendie qu’il a provoqué dans sa propre maison la veille. Ses domestiques sont morts brûlés vifs, mais il pense que la nature surhumaine du Horla lui a permis de survivre aux flammes. Il sombre dans une spirale cauchemardesque qui l'entraîne inexorablement dans les abîmes insondables de la folie où le suicide lui semble la seule issue, la seule délivrance possible.