Texte1) charlotte se définit par cette phrase ; elle a treize ans, ce qu’on appelle l’âge ingrat. Pour elle, les vacances s’annoncent sans charme ; elle va rester dans le petit village ou son père est artisan avant de l’accompagner dans le Doubs. Elle s’ennuie et parfois, l’adolescente timide explose et passe sa mauvaise humeur sur son père, veuf et un peu dépassé, sur son frère, sur la bonne et même sur sa copine lulu. Elle n’est ni odieuse ni foncièrement méchante, mais elle rêve d’autre chose, d’une autre vie Il y a 3 sortes de thématiques dans un texte: le thème constant, le thème linéaire ; et le thème éclaté, ou dérivé Texte 1= il s’agit d’une progression à thème constant, toutes les phrases ont le même point de départ, le même thème .Dans ce texte le thème est ELLE. Elle a treize ans ; elle va rester, Elle s’ennuie et parfois
Texte 2 il s’agit de la progression linéaire. Il s’agit d’un texte descriptif .on procède par petites touches, on passe d’un détail à l’autre.
Texte 3 progression a thème dérivé. Il Ya le super thème qui est « l’homme » et puis des sous thèmes : sa figure, ses cheveux, son crane etc. Texte2) elle portait cet affreux petit sac en taffetas noir avec lequel les veilles femmes s’enveloppent l’occiput, et qui dépassait son bonnet de nuit relevé par des mouvements du sommeil. Ce désordre donnait à cette tête l’air menaçant que les peintres prêtent aux sorcières. Les tempes, les oreilles et la nuque, assez peu cachées, laissaient voir leur caractère aride et sec ; leurs rides âpres se recommandaient par des tons rouges peu agréables à œil et que faisait encore ressortir la couleur quasi blanche de la camisole nouée au cou par des cordons vrillés. Les bâillements de cette camisole entr’ ouverte montraient une poitrine comparable à celle d’une vieille paysanne peu soucieuse de sa laideur. Texte3) l’homme était impressionnant. « Sa figure était d’un blanc sale, et son crane ridé, dégarni de cheveux, avait une vague ressemblance avec un quartier de granit. Quelques mèches plates et grises, placées de chaque côté de sa tête, descendaient sur le collet de son habit crasseux et boutonné jusqu’au cou(…) sa barbe était longue. Sa méchante cravate noire tout usée, déchirée, laissait voir un cou protubérant, fortement sillonné. Composé de veines grosses comme des cordes. Un large cercle brun, meurtri, se dessinait sous chacun de ses yeux. » pouver vous me corriger