Quand j’étais petite, tout mon temps libre, je le passais chez mes grands-parents. Ils vivaient dans un dommaine agricole en campagne entouré de vignes et d’arbres: j’adorais être la bas car je m’amusais beaucoup à grimper aux arbres et à cueillir des fleurs. J’allais dans les vignes et je coupais le raisin que je dégustais . Pas loin de la maison de mes grand-parent, il y’avait une rivière lumineuse. Je m’amusais à jeter des galets dans l’eau. Il y’avait des têtards et des grenouilles qui sautaient. Près de cette rivière il y’avait un arbre que j’adorais « le sol pleureur ». Ses branches et ses feuilles vertes touchaient le sol et moi je me réfugiais a l’intérieur de lui. C’était comme ma maison, mon endroit secret. À côté de l’arbre, il y’avait une balançoire où mon frère et moi jouions. C’était une enfance heureuse et insouciante au milieu de la nature mais je ne regrette pas non plu ma vie d’aujourd’hui car la ville a aussi ses avantages .