La loi Hadopi est une loi française qui a été votée en 2007 et mise en place le 12 mai 2009 dans le but de diminuer, voir d'arrêter les téléchargements illégaux par le biais d'internet. Cette loi est cependant censurée en 2009 pour redémarrer sous un autre nom tel que Hadopi2 en septembre 2010. Elle vient en compément de la première loi pour tenter d'annuler la censure effectuée par le conseil constitutionnel qui a permis à nouveau le téléchargement illégal. Télécharger illégalement sont passibles de peine qui sont effectives au bout de deux avertissements transmis par mail. Cette peine est une amende qui peut aller de 1500 à 3000 €uros, avec bien sûr une impossibilité de se connecter à internet pour une durée limitée ne dépassant pas un an. Cette peine est adaptée en fonction du degré de piratage, et les piratages à haute dose sont passibles de régler 300000 €uros d'amende accompagnés de prison. 1) Qu'en pense l'utilisateur ? Les consommateurs sont très diversifiés dans leur choix, il y en a qui sont pour la loi et d'autres contre. Il est normal pour beaucoup de payer un service afin de permettre la continuité du processus règlement auteur, producteur, etc... Ils ne sont pourtant pas tous d'accord avec les peines encourues. D'autres, sont contre et estiment que le téléchargement illégal ne permet pas d'être puni, vu la banalité de la chose. Certains même n'imaginent pas que ce qu'ils font n'est pas permis par la loi française. De plus, après avoir eu des avertissements, les consommateurs préfèrent ne plus avoir accès à internet à cause des pénalités encourues, donc ils ont esquivé la punition.
2) Qu'en pense l'auteur lésé ? La plupart des artistes sont pour la loi Hadopi, considérant qu’elle à l’avantage de leur permettre de vivre du fruit de leur travail. Ainsi, un chanteur guitariste explique que lorsque l’on vol un jean dans un magasin, on se fait réprimander, alors que lorsqu’on vol un disque sur internet, on n’a rien, d’où la nécessité de cette loi. Un producteur, quant à lui, dénonce le fait que des productions peuvent ne plus avoir de rendements financier, ce qui n’est pas acceptable. Une chanteuse déclare que son métier est de moins en moins considéré comme un travail professionnel, ce qui fait que les plus petits pratiquants se retrouvent vite sans argent. Leur but est surtout de mettre en avant la défense du droit d’auteur. Leur avis diffère donc en partie de celui du consommateur. Etant les premiers concernés, ils pensent qu’écouter de la musique sur internet est considéré comme du vol et une perte d’argent pour eux. Ils revendiquent le droit aux artistes mineurs de posséder des rendements, car contrairement aux plus gros, ils ne résisteraient pas aux téléchargements. Dans ces artistes contre, on trouve Jean Claude Carrière, Renan Luce et Christophe Maé. Bien que n’ayant pas à se plaindre de leur revenu, ils partagent le point de vue de leurs confrères. En revanche, il existe quelques artistes qui prétendent que la musique est faite pour être écoutée avant d’être consommée, et qu’elle n’est pas la même chose que le disque. Ces opposants, au nombre de 86, ne représentent cependant qu’une minorité et désirent pouvoir être téléchargé. Conclusion : L’avis des français sur la loi Hadopi est très partagé, aussi bien chez les artistes que chez les consommateurs. On retrouve à chaque fois des pour (13% de la population) et des contres (plus de 47%). Si les contre jugent cette loi absurde, les pour la trouvent tout à fait juste et équitable. L’efficacité de cette loi créée le 12 mai 2009 est cependant très faible et des nombreux défauts sont reprochés à l’Etat. Il est vrai que l’on peut de demander s’il existe des moyens d’empêcher les français de télécharger illégalement.
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La loi HadopiLa loi Hadopi est une loi française qui a été votée en 2007 et mise en place le 12 mai 2009 dans le but de diminuer, voir d'arrêter les téléchargements illégaux par le biais d'internet.
Cette loi est cependant censurée en 2009 pour redémarrer sous un autre nom tel que Hadopi2 en septembre 2010. Elle vient en compément de la première loi pour tenter d'annuler la censure effectuée par le conseil constitutionnel qui a permis à nouveau le téléchargement illégal.
Télécharger illégalement sont passibles de peine qui sont effectives au bout de deux avertissements transmis par mail. Cette peine est une amende qui peut aller de 1500 à 3000 €uros, avec bien sûr une impossibilité de se connecter à internet pour une durée limitée ne dépassant pas un an. Cette peine est adaptée en fonction du degré de piratage, et les piratages à haute dose sont passibles de régler 300000 €uros d'amende accompagnés de prison.
1) Qu'en pense l'utilisateur ?
Les consommateurs sont très diversifiés dans leur choix, il y en a qui sont pour la loi et d'autres contre. Il est normal pour beaucoup de payer un service afin de permettre la continuité du processus règlement auteur, producteur, etc... Ils ne sont pourtant pas tous d'accord avec les peines encourues. D'autres, sont contre et estiment que le téléchargement illégal ne permet pas d'être puni, vu la banalité de la chose. Certains même n'imaginent pas que ce qu'ils font n'est pas permis par la loi française. De plus, après avoir eu des avertissements, les consommateurs préfèrent ne plus avoir accès à internet à cause des pénalités encourues, donc ils ont esquivé la punition.
2) Qu'en pense l'auteur lésé ?
La plupart des artistes sont pour la loi Hadopi, considérant qu’elle à l’avantage de leur permettre de vivre du fruit de leur travail. Ainsi, un chanteur guitariste explique que lorsque l’on vol un jean dans un magasin, on se fait réprimander, alors que lorsqu’on vol un disque sur internet, on n’a rien, d’où la nécessité de cette loi. Un producteur, quant à lui, dénonce le fait que des productions peuvent ne plus avoir de rendements financier, ce qui n’est pas acceptable. Une chanteuse déclare que son métier est de moins en moins considéré comme un travail professionnel, ce qui fait que les plus petits pratiquants se retrouvent vite sans argent.
Leur but est surtout de mettre en avant la défense du droit d’auteur. Leur avis diffère donc en partie de celui du consommateur. Etant les premiers concernés, ils pensent qu’écouter de la musique sur internet est considéré comme du vol et une perte d’argent pour eux. Ils revendiquent le droit aux artistes mineurs de posséder des rendements, car contrairement aux plus gros, ils ne résisteraient pas aux téléchargements.
Dans ces artistes contre, on trouve Jean Claude Carrière, Renan Luce et Christophe Maé. Bien que n’ayant pas à se plaindre de leur revenu, ils partagent le point de vue de leurs confrères.
En revanche, il existe quelques artistes qui prétendent que la musique est faite pour être écoutée avant d’être consommée, et qu’elle n’est pas la même chose que le disque. Ces opposants, au nombre de 86, ne représentent cependant qu’une minorité et désirent pouvoir être téléchargé.
Conclusion :
L’avis des français sur la loi Hadopi est très partagé, aussi bien chez les artistes que chez les consommateurs. On retrouve à chaque fois des pour (13% de la population) et des contres (plus de 47%). Si les contre jugent cette loi absurde, les pour la trouvent tout à fait juste et équitable. L’efficacité de cette loi créée le 12 mai 2009 est cependant très faible et des nombreux défauts sont reprochés à l’Etat. Il est vrai que l’on peut de demander s’il existe des moyens d’empêcher les français de télécharger illégalement.