URGENT, J'ai besoin d'un résumée du livre de la cantatrice chauve (folio) au moins 20 lignes
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cassandra99
Voila Toute la pièce se déroule dans un intérieur bourgeois de Londres, l’heure est indéterminée parce que l’horloge sonne sans logique mais cela dure environ la soirée. M. et Mme Smith ont invité à dîner M. et Mme Martin, mais ces derniers étant en retard ils ne les ont pas attendus pour dîner. Le couple se répand en propos futiles, souvent saugrenus, voire incohérents. Leurs raisonnements sont surprenants et ils passent sans transition d’un sujet à un autre. La bonne fait ensuite rentrer les époux Martin qui viennent d’arriver tandis que les époux Smith sortent pour s’habiller. Les Martin se rendent comptent qu’un nombre surprenant de coïncidences les lient ce qui les mène à réaliser qu’ils sont mari et femme (--p36) ; Ils s’endorment, la bonne revient et révèle qu’ils ne sont en fait pas mari et femme (car c’est leur fille a les yeux d’une couleur inverse) et qu’elle s’appelle Sherlock Holmes. Les Smith reviennent et ils parlent tous pour ne rien dire. On sonne et ce n’est qu’à la 4e fois qu’il y a quelqu’un, le capitaine des pompiers. Il commence à raconter qu’il n’y a pas assez d’incendies puis évoque des anecdotes étranges (p69) et les autres enchaînent avec des histoires du même genre. La bonne revient, ce qui gêne beaucoup les Smith, mais elle reste malgré leur hostilité car elle est en fait l’ancienne amante du capitaine, elle raconte à son tour une anecdote absurde mais qui est accueillie comme normale. Puis le capitaine doit partir pour un feu qui va se déclarer et avant de sortir il demande des nouvelles de la cantatrice chauve. Les invités ont un silence gêné puis Mme Smith répond : « Elle se coiffe toujours de la même façon ». Les Smith et les Martin reprennent leur place et échangent une série de phrases dépourvues de toute logique. Puis les phrases se font de plus en plus brèves au point de devenir une suite de mots puis d’onomatopées. La situation devient électrique. Ils finissent par tous répéter la même phrase : « C’est pas par là, c’est par ici ! » Ils quittent alors la scène, en hurlant dans l’obscurité. La lumière revient. M. et Mme Martin sont assis à la place des Smith. Ils reprennent les répliques de la première scène. La pièce semble recommencer, comme si les personnages, et plus généralement les individus étaient interchangeables. Puis le rideau se ferme lentement.en espérant t aider
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M. et Mme Smith ont invité à dîner M. et Mme Martin, mais ces derniers étant en retard ils ne les ont pas attendus pour dîner.
Le couple se répand en propos futiles, souvent saugrenus, voire incohérents. Leurs raisonnements sont surprenants et ils passent sans transition d’un sujet à un autre. La bonne fait ensuite rentrer les époux Martin qui viennent d’arriver tandis que les époux Smith sortent pour s’habiller. Les Martin se rendent comptent qu’un nombre surprenant de coïncidences les lient ce qui les mène à réaliser qu’ils sont mari et femme (--p36) ; Ils s’endorment, la bonne revient et révèle qu’ils ne sont en fait pas mari et femme (car c’est leur fille a les yeux d’une couleur inverse) et qu’elle s’appelle Sherlock Holmes. Les Smith reviennent et ils parlent tous pour ne rien dire. On sonne et ce n’est qu’à la 4e fois qu’il y a quelqu’un, le capitaine des pompiers. Il commence à raconter qu’il n’y a pas assez d’incendies puis évoque des anecdotes étranges (p69) et les autres enchaînent avec des histoires du même genre. La bonne revient, ce qui gêne beaucoup les Smith, mais elle reste malgré leur hostilité car elle est en fait l’ancienne amante du capitaine, elle raconte à son tour une anecdote absurde mais qui est accueillie comme normale. Puis le capitaine doit partir pour un feu qui va se déclarer et avant de sortir il demande des nouvelles de la cantatrice chauve. Les invités ont un silence gêné puis Mme Smith répond : « Elle se coiffe toujours de la même façon ». Les Smith et les Martin reprennent leur place et échangent une série de phrases dépourvues de toute logique. Puis les phrases se font de plus en plus brèves au point de devenir une suite de mots puis d’onomatopées. La situation devient électrique. Ils finissent par tous répéter la même phrase : « C’est pas par là, c’est par ici ! »
Ils quittent alors la scène, en hurlant dans l’obscurité.
La lumière revient. M. et Mme Martin sont assis à la place des Smith. Ils reprennent les répliques de la première scène. La pièce semble recommencer, comme si les personnages, et plus généralement les individus étaient interchangeables. Puis le rideau se ferme lentement.en espérant t aider