Bonjour aidez mon fils s'il vous plait à faire cette rédaction c'est pour lundi ci
Racontez l'arrivée d'Ulysse et de ses hommes au pays des Lestrygons du point de vue de leur roi Antiphatès.Vous raconterez l'aventure jusqu'à la fuite d'Ulysse sur son navire. Pour réussir cet exercice on doit Ecrire le texte comme si le roi racontait cette histoire . Le pronom << je >> désignera le roi des Lestrygons et le pronom << nous >> désignera les Lestrygons ensemble. Respecter les étapes de l'histoire : - L'approche d'Ulysse et de ses compagnons - La rencontre avec sa femme - Les pensées qui lui viennet à l'esprit ( notamment , l'envie de dévorer ces hommes ) - L'alarme qui sonne pour prévenir le peuple de géants de la venue des hommess - Et le carnage qui s'ensuit. Vous imaginerez dans le détail ce qu'Antiphatès le roi des Lestrygons voit , entend , pense et fait. Votre récit sera constitué de 5 paragraphes qui correspondront aux étapes de l'histoire et devra compter une vingtaine de lignes. Attention à soigner le vocabulaire , la construction des phrases et de l'orthographe ( accords sujet /verbes et accords dans les GN). Merci d'avance
Alors que j'étais dans mon palais, une douzaine de navires s’approchèrent de nos côtes. Un seul vaisseau resta en éloigné du port. Ma fille qui se promenait non loin, fit la rencontre de trois minuscules hommes qui demandèrent à me parler. Là, elle les conduisit au palais.
Ils virent ma femme aussi haute qu’une montagne et ils furent apeurés par sa taille gigantesque. Ma femme m'appela en hurlant. Elle sait bien que je déteste que l'on me dérange et que cela me mets de très mauvaise humeur.
En arrivant dans la salle du trône, je sentis une odeur de chair fraîche me chatouiller les narines. Là, je vis quatre petits hommes tous très appétissants. Alors qu’ils commençaient à me parler, je n'avais qu'une idée en tête : dévorer ses petits êtres, n'en faire qu'une bouchée. La tentation était si forte que j’attrapai l’un d’eux, le serra si fort que j’entendis ses petits os se broyer et le dévora en un instant. Aussitôt, pris de panique les deux autres prirent la fuite.
En colère, je poussai mon cri de guerre et je sonnai l’alerte pour prévenir mes plus braves guerriers de la venue des petits hommes. J’étais déterminé à ne pas les laisser repartir vivants, je voulais que nous fassions un bon dîner. Là, avant que les navires eurent le temps de repartir, nous nous plaçâmes en haut des falaises , arrachâmes de gros blocs de roches et les jetâmes violemment sur les navires en bas du port.
Les vaisseaux se brisèrent en deux et coulèrent rapidement tandis que nous embrochions ces petits hommes qui hurlaient de douleur. Nous détruisîmes onze navires. Le douzième avec à son bord Ulysse réussit à nous échapper. Peu importe, nous avions de quoi faire un bon festin avec les milliers d’hommes embrochés sur nos lances et harpons. Certains d’entre nous affamés, croquèrent deux à trois hommes. En un instant, la flotte d’Ulysse avec ses compagnons furent détruits.
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Alors que j'étais dans mon palais, une douzaine de navires s’approchèrent de nos côtes. Un seul vaisseau resta en éloigné du port. Ma fille qui se promenait non loin, fit la rencontre de trois minuscules hommes qui demandèrent à me parler. Là, elle les conduisit au palais.
Ils virent ma femme aussi haute qu’une montagne et ils furent apeurés par sa taille gigantesque. Ma femme m'appela en hurlant. Elle sait bien que je déteste que l'on me dérange et que cela me mets de très mauvaise humeur.
En arrivant dans la salle du trône, je sentis une odeur de chair fraîche me chatouiller les narines. Là, je vis quatre petits hommes tous très appétissants. Alors qu’ils commençaient à me parler, je n'avais qu'une idée en tête : dévorer ses petits êtres, n'en faire qu'une bouchée. La tentation était si forte que j’attrapai l’un d’eux, le serra si fort que j’entendis ses petits os se broyer et le dévora en un instant. Aussitôt, pris de panique les deux autres prirent la fuite.
En colère, je poussai mon cri de guerre et je sonnai l’alerte pour prévenir mes plus braves guerriers de la venue des petits hommes. J’étais déterminé à ne pas les laisser repartir vivants, je voulais que nous fassions un bon dîner. Là, avant que les navires eurent le temps de repartir, nous nous plaçâmes en haut des falaises , arrachâmes de gros blocs de roches et les jetâmes violemment sur les navires en bas du port.
Les vaisseaux se brisèrent en deux et coulèrent rapidement tandis que nous embrochions ces petits hommes qui hurlaient de douleur. Nous détruisîmes onze navires. Le douzième avec à son bord Ulysse réussit à nous échapper. Peu importe, nous avions de quoi faire un bon festin avec les milliers d’hommes embrochés sur nos lances et harpons. Certains d’entre nous affamés, croquèrent deux à trois hommes. En un instant, la flotte d’Ulysse avec ses compagnons furent détruits.