VITE AIDEZ MOI je dois rediger une redaction sur le sujet est :il vous ai arrives d'etre frustrer et déssus par une interdiction . elle doit faire 15 lignes s'il vous plait il l'a faut avant demain please
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meldan
J'avais l'habitude, lorsque j'étais chez mes parents de faire ce que bon me semblait, quand bon me semblait. Une des choses que j'aimais par dessus tout : manger des bonbons. Une fois que je passais le dimanche chez ma grand-mère, la faim me prit. Mais c'est une faim très spécifique qui cible les enfants en manque de bonbons. Alors, comme à mon habitude lorsque cette irrépressible envie survenait, j'allais dans la cuisine chercher l'objet de tous mes désirs. Ce jour-là, ma grand-mère qui cuisinait me vit me servir dans la boite à bonbons. Avant même que j'en puisse mettre un dans la bouche, ma grand-mère avait attrapé la boite et le bonbon sucré. Elle me regarda avec défi. Regard auquel je répondis en fronçant les sourcils. Elle ne dit qu'un mot : NON. Avec calme mais cependant autorité, elle le répéta : non. Je pris un air outré pour lui répondre que Maman, elle, voulait bien. Ce à quoi elle me répondit avec un léger sourire qu'elle n'était pas Maman. J'en avais presque mal au ventre tant la colère était intense. J'ai eu peur que mes sourcils, à force de les froncer restent comme ça pour toujours. Puis, en signe de désaccord et d'exaspération, je me mis à taper du pied, les bras croisés. Elle ne me rendrait, définitivement pas mon dû ! Avec dégoût, je repartis vaquer à mes occupations, elle répondit seulement par un soupir et un ricanement atrocement sadique. Ce que je pouvais détester les dimanche chez ma grand-mère !
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Une fois que je passais le dimanche chez ma grand-mère, la faim me prit. Mais c'est une faim très spécifique qui cible les enfants en manque de bonbons. Alors, comme à mon habitude lorsque cette irrépressible envie survenait, j'allais dans la cuisine chercher l'objet de tous mes désirs. Ce jour-là, ma grand-mère qui cuisinait me vit me servir dans la boite à bonbons. Avant même que j'en puisse mettre un dans la bouche, ma grand-mère avait attrapé la boite et le bonbon sucré. Elle me regarda avec défi. Regard auquel je répondis en fronçant les sourcils. Elle ne dit qu'un mot : NON. Avec calme mais cependant autorité, elle le répéta : non. Je pris un air outré pour lui répondre que Maman, elle, voulait bien. Ce à quoi elle me répondit avec un léger sourire qu'elle n'était pas Maman.
J'en avais presque mal au ventre tant la colère était intense. J'ai eu peur que mes sourcils, à force de les froncer restent comme ça pour toujours.
Puis, en signe de désaccord et d'exaspération, je me mis à taper du pied, les bras croisés. Elle ne me rendrait, définitivement pas mon dû !
Avec dégoût, je repartis vaquer à mes occupations, elle répondit seulement par un soupir et un ricanement atrocement sadique.
Ce que je pouvais détester les dimanche chez ma grand-mère !