Juste une sieste … J’ouvrais les yeux et m’apercevais que je n’étais plus dans le monde que je connaissais… Tout était si glacial, hostile . Devant moi ce trouvait un hublot qui m’attirait. Mes mirettes s’écarquillèrent aussi grandes quelles le peuvent lorsque je vis tout cet espace noir avec ses touches de brillances qui étaient sans aucun doute des étoiles. Après un moment de réflexion, je compris que je me trouvais dans un vaisseau au milieux de l'espace . Que m’était-il arrivé ? Si je clignais des yeux, reviendrais-je dans mon monde avec ma famille autour de moi ? Remettrais-je une fois les pieds sur la terre ferme ? J’avais peur … Très peur … Soudain, des bruits inconnus vinrent de ce long couloir derrière moi, et sans que je n’aie pu faire le moindre mouvement, quatre robots m’encerclaient. L’un d’eux fit un pas vers moi et m’attrapa le bras en me disant : « qui es-tu misérable individu ? ». Aucune réponse ne pu sortir de ma bouche. Je me plongeais dans une peur tellement profonde que je restais statique, pétrifié, et bouche-bée. Je nageais en plein cauchemar. Comment m’avaient-ils détecté ? Mon regard balayait aussi vite qu’il pouvait le couloir et je vis caméras, lasers et autres détecteurs infrarouges. Personne ne pouvait m’aider a part mon seul et unique courage, qui n’était pas au maximum de ses capacités à cet instant précis. Ma main se glissait machinalement dans le fond de ma poche et je sentais la montre à gousset de mon grand-père qui, après tâtonnements avec mes doigts, indiquait treize heure vingt. Les droïdes m’emmenèrent dans une salle aux allures de chambre d’hôpital. Tout y était d’un blanc immaculé et une forte odeur de mort y régnait. Je me stoppais lorsque je vis les deux crochets qui étaient fixés au mur. Je tentais de me m’échapper en me balançant d’avant en arrière pour leur faire perdre l’équilibre mais leurs corps tout en titane et fibre de carbone ne bougeaient pas d’un centimètre. Le chef s’approcha de moi et me dit : « Tic tac, tic tac, jeune humain … ». Il m’ouvrit la bouche de force et m’enfonça avec ses doigts robotisés et glacials une petite pilule orange que je m’efforçais de recracher mais en vain … Mon heure était arrivé et j’essayais du mieux que je pouvais de me souvenir de ses instants magiques que j’avais vécu avec mon grand-père. Je frôlais avec mon doigt cette montre à gousset qui ne m’avait pas quittée. Je pleurais et finis par fermer les yeux comme pour capituler face à cette nouvelle ère qui me figeait de peur et j’entendis la douce voix de mon grand-père qui me parlait. Je rouvris les yeux et visualisa cet homme penché au-dessus de moi qui me caressait le visage d’une main et de l’autre tentait de remettre mes cheveux en ordre en me murmurant que la sieste était finie et que le kouign-amann de mamie m’attendait sur la table.
j'ai changer quelque mots afin que sa rendent mieux a la prononciation mais sinon c'est parfait
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feyth92
Merci infiniment pour le temps que tu y as passé !
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Juste une sieste … J’ouvrais les yeux et m’apercevais que je n’étais plus dans le monde que je connaissais… Tout était si glacial, hostile . Devant moi ce trouvait un hublot qui m’attirait. Mes mirettes s’écarquillèrent aussi grandes quelles le peuvent lorsque je vis tout cet espace noir avec ses touches de brillances qui étaient sans aucun doute des étoiles. Après un moment de réflexion, je compris que je me trouvais dans un vaisseau au milieux de l'espace . Que m’était-il arrivé ? Si je clignais des yeux, reviendrais-je dans mon monde avec ma famille autour de moi ? Remettrais-je une fois les pieds sur la terre ferme ? J’avais peur … Très peur … Soudain, des bruits inconnus vinrent de ce long couloir derrière moi, et sans que je n’aie pu faire le moindre mouvement, quatre robots m’encerclaient. L’un d’eux fit un pas vers moi et m’attrapa le bras en me disant : « qui es-tu misérable individu ? ». Aucune réponse ne pu sortir de ma bouche. Je me plongeais dans une peur tellement profonde que je restais statique, pétrifié, et bouche-bée. Je nageais en plein cauchemar. Comment m’avaient-ils détecté ? Mon regard balayait aussi vite qu’il pouvait le couloir et je vis caméras, lasers et autres détecteurs infrarouges. Personne ne pouvait m’aider a part mon seul et unique courage, qui n’était pas au maximum de ses capacités à cet instant précis. Ma main se glissait machinalement dans le fond de ma poche et je sentais la montre à gousset de mon grand-père qui, après tâtonnements avec mes doigts, indiquait treize heure vingt. Les droïdes m’emmenèrent dans une salle aux allures de chambre d’hôpital. Tout y était d’un blanc immaculé et une forte odeur de mort y régnait. Je me stoppais lorsque je vis les deux crochets qui étaient fixés au mur. Je tentais de me m’échapper en me balançant d’avant en arrière pour leur faire perdre l’équilibre mais leurs corps tout en titane et fibre de carbone ne bougeaient pas d’un centimètre. Le chef s’approcha de moi et me dit : « Tic tac, tic tac, jeune humain … ». Il m’ouvrit la bouche de force et m’enfonça avec ses doigts robotisés et glacials une petite pilule orange que je m’efforçais de recracher mais en vain … Mon heure était arrivé et j’essayais du mieux que je pouvais de me souvenir de ses instants magiques que j’avais vécu avec mon grand-père. Je frôlais avec mon doigt cette montre à gousset qui ne m’avait pas quittée. Je pleurais et finis par fermer les yeux comme pour capituler face à cette nouvelle ère qui me figeait de peur et j’entendis la douce voix de mon grand-père qui me parlait. Je rouvris les yeux et visualisa cet homme penché au-dessus de moi qui me caressait le visage d’une main et de l’autre tentait de remettre mes cheveux en ordre en me murmurant que la sieste était finie et que le kouign-amann de mamie m’attendait sur la table.
j'ai changer quelque mots afin que sa rendent mieux a la prononciation mais sinon c'est parfait