Voilà, voilou ma nouvelle ! À vous de corriger maintenant, merci !

« Aujourd'hui je vais vous raconter pourquoi j'ai cette morsure à la cuisse, et par l'occasion comment j'ai rencontré votre mère.

J'avais 25 ans, et je venais d'hériter d'une immense maison, en Irlande. Elle avait appartenu à une lointaine cousine que je ne connaissais point, et qui me l'avait légué. Avant d'y installer, le notaire me dit que j'avais encore le temps de refuser cet héritage. Quand je lui demandais, pourquoi il me répondit que la demeure se situait près du bois de Covy. Ce dernier était connu pour sa légende, qui disait que cette forêt abritait des loups-garous et des fées. Bien sûr, c'étaient des balivernes mais n'empêche que la nuit, les villageois entendaient des hurlements à glacer le sang. Et les rumeurs affirmaient que la mort de la vieille dame, avait aussi un rapport avec cette légende.
Je lui dis que je ne croyais pas en ces choses, et que ce n'était pas une raison d'avoir peur.
Le lendemain, je fis mes bagages et partis vers cette partie d'Irlande, presque inconnue. Quand, j'y arrivai, je constatai que ce bois avait vraiment quelque chose de mystérieux, de magique.
La maison comportait deux étages, et une cave où même le diable en personne n'aurait pu dormir.
Je déballais mes bagages, soudain j'entendis un jappement. Je sortis dans le jardin, et je vis un dogue. Autour de son cou, il y avait un collier où était écrit le prénom de ma cousine décédée. En effet, ce chien nommé Brutus lui avait appartenu. Je décidais donc de le dresser.
Le jour prochain, la vie quotidienne recommença. Je me levai le matin de bonne heure, emmenai Brutus avec moi balader dans le bois de Covy. Les jours passèrent et la vie était toujours morne.
Quand, un jour, ma vie ne fut pas la même. Je me réveillai le matin, de très bonne humeur. Mais, je m’aperçus que Brutus avait disparu. Il n'était ni dans son panier, ni dans le jardin où il passait normalement ses journées. Je m'inquiétais, mais je me dis que peut-être il préférait rester seul pour le moment.
Je partis vers la bibliothèque du village, histoire de me divertir jusqu'à ce que Brutus soit d'humeur à causer. Au bout de cinq heures, je rentrais à la maison. Mais, il était toujours absent. Je cherchais partout dans la maison, Alors, j'eus une idée ! Je descendis à vitesse G jusqu'à la cave.
Pour une fois, je ne me trompais guère. Sauf, que ce que je vis n'était pas … tout à fait, ce que je cherchais. Brutus avait grandi jusqu'à devenir un loup, mais en plus dangereux. En me voyant, il hurla et me mordit. Exactement, il me mordit, là, à la cuisse. Il était prêt à me dévorer sans pitié, jusqu'à ce que j’entende un hurlement.
Par chance, ça attira l'attention du loup, qui s'enfuit.
Terriblement blessé, je boitai jusqu'à la salle de bain, et mis des bandelettes sur ma blessure. Heureusement, que je gardais toujours une canne avec moi, qui me permit de marcher vers le lit. Je m'allongeai et songeai à la journée qui avait été riche en émotions. Cependant, la fatigue fut plus forte et je sombrai dans un sommeil sans rêve.
Quand je me réveillais, une lumière aveuglante m'éblouis. Je regardais vers l'endroit d'où elle venait, et vit que c'était la pleine lune. Qu'est-ce que je faisais dehors ? J'essayai de bouger, mais j'eus l'impression d'être lourd. D'avoir grossi. Mes mains étaient hideuses et poilues. Je criai, mais ce fut un hurlement que j'entendis. Pareil à celui que Brutus avait émit, à celui que j'avais entendu après. J'étais terrifié. Je commençai à courir, sur … quatre pattes. Des larmes coulèrent sur ma joue.
Soudain, j'eus une envie de manger. De manger de la chair ! J'étais affolé, je ne comprenais rien. Peu à peu, je devenais un animal. C'était l'horreur !
Quand, tout à coup, j’aperçus de la lumière. Brune, aux yeux marron noisette, très mystérieux, et des lèvres couleur prune. Elle était tellement belle, que j'en tombai amoureuse. Jusqu'à ce que je me rappelle, que je devenais une bête.
« Qui êtes-vous ? Où sommes-nous ?
-Je suis Camille. Et on est devant votre maison.
En effet, on était devant la maison, que j'avais héritée. Je le regardais tristement, quand j'eus l'impression de redevenir « normal ». Mes mains étaient de nouveau ... humaines. Je fus tellement content, que je commençai à sauter de joie, à crier. Jusqu'à ce que je me rappelle que Camille me regardait. Quel idiot étais-je, à l'époque !
N'empêche, elle n'était ni surprise, ou autre chose, elle me contemplait avec un léger sourire. Je me calmai et lui dit merci sans savoir pourquoi.
-Je viendrai vous voir, demain. Bonne nuit ! »
Et elle disparut. Le lendemain, lorsque je sortis de la maison, je la revis, telle qu'elle était hier. Elle me proposa de faire un tour dans le bois de Covy, que j'acceptai.

Le texte est long, et 5000 caractères c'est le max. Je poste la suite après :)
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