- Question : Transformer le texte ci-dessous en dialogue de théâtre :
Un paysan bat sa femme : elle est décidée à se venger. Aussi, lorsqu'elle rencontre des soldats du roi cherchant un médecin pour guérir la princesse, elle n'hésite pas à leur croire que son mari est un grand médecin mais qu'il ne l'avoue que si on le bat. Les soldats, après avoir bien battu le faux médecin, le présentent au roi et lui expliquent la situation.
Le roi : Quel drôle de médecin c'est là ! Jamais je n'ai entendu parler d'un tel homme.
Un sergent : Puisqu'il en est ainsi, battons-le bien. Je suis prêt : il suffit de m'en donner l'ordre et je lui réglerai son compte !
Le roi (en approchant le paysan et lui parlant) : Maître, prêtez-moi attention. Je vais faire venir ma fille qui a grand besoin d’être soignée.
Le paysan (en lui demandant grâce) : Sire, au nom de Dieu qui ne mentit jamais, et puisse-t-il me secourir, je vous certifie que je n'ai aucune connaissance en médecine. Jamais je n'en ai appris le moindre mot.
Le roi (en criant) : Vous me dites des sornettes. Battez-le-moi.
Ses gens s'approchèrent et administrèrent une raclée au paysan avec grand plaisir. Quand celui-ci sentit les coups pleuvoir, il se tint pour fou.
Le paysan (en criant) : Grace, je vais la guérir sur-le-champ.
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Réponse en explications étape par étape :
- Question : Transformer le texte ci-dessous en dialogue de théâtre :
Un paysan bat sa femme : elle est décidée à se venger. Aussi, lorsqu'elle rencontre des soldats du roi cherchant un médecin pour guérir la princesse, elle n'hésite pas à leur croire que son mari est un grand médecin mais qu'il ne l'avoue que si on le bat. Les soldats, après avoir bien battu le faux médecin, le présentent au roi et lui expliquent la situation.
Le roi : Quel drôle de médecin c'est là ! Jamais je n'ai entendu parler d'un tel homme.
Un sergent : Puisqu'il en est ainsi, battons-le bien. Je suis prêt : il suffit de m'en donner l'ordre et je lui réglerai son compte !
Le roi (en approchant le paysan et lui parlant) : Maître, prêtez-moi attention. Je vais faire venir ma fille qui a grand besoin d’être soignée.
Le paysan (en lui demandant grâce) : Sire, au nom de Dieu qui ne mentit jamais, et puisse-t-il me secourir, je vous certifie que je n'ai aucune connaissance en médecine. Jamais je n'en ai appris le moindre mot.
Le roi (en criant) : Vous me dites des sornettes. Battez-le-moi.
Ses gens s'approchèrent et administrèrent une raclée au paysan avec grand plaisir. Quand celui-ci sentit les coups pleuvoir, il se tint pour fou.
Le paysan (en criant) : Grace, je vais la guérir sur-le-champ.
Voilà