Texte :Un mariage d’amour, Zola QUESTIONS I /LECTURE ( /15.5) Le narrateur, la mise en place de l’action 1. Identifiez l'auteur de la nouvelle, le titre, la date de publication. (/0,5) 2. À quelle personne le narrateur mène-t-il le récit ? Est-il personnage? (/0,5) 3. Relevez un passage dans lequel le narrateur fait un commentaire. À quelle personne le fait-il? (/0,5) 4. Quelle est la situation initiale? Quel est l'élément qui lance l'action ? (/2) L'action, la conduite du récit 5. Quelle est la chute de la nouvelle ? (/1) 6. Quelle est la durée approximative de l'action ? Appuyez-vous sur les indications temporelles. (/1) 7. Sur quelles scènes principales le narrateur s'arrête-t-il ? Pourquoi ? (/2) Les personnages 8. Analysez l'évolution des sentiments entre les deux amants. Appuyez-vous sur des termes précis. (/2) 9. Montrez que les amants sont en proie à des hallucinations. (/1) 10. En quoi la morsure faite au meurtrier présente-t-elle un caractère inquiétant? De quoi cette morsure est-elle la marque ? (/2) Le sens de la nouvelle 11. Quel effet le narrateur a-t-il cherché à produire sur le lecteur? Quelle leçon a-t-il voulu donner? (/2) 12. Quel sens donnez-vous au titre de la nouvelle? (/1) II/ LANGUE ( /4.5) 13. lisez la phrase suivante : Ils attribuèrent cette sensation pénible à la peur, à l'âpre désir qu'ils avaient d'en finir avec cette funèbre histoire, en se mariant et en goûtant enfin les douceurs de leur amour. a) relevez la proposition subordonnée relative(/0.5) b) Indiquez sa fonction(/1) c) Indiquez la fonction du pronom relatif(/1) 14. lisez la phrase suivante et donnez la fonction des mots ou groupes de mots soulignés (/1.5) Suzanne regretta Michel, le pleura tout haut, vanta au meurtrier les vertus de sa victime, et Jacques dut vivre en entendant toujours parler de cet homme qu'il avait jeté à l'eau et dont le cadavre était si horrible sur une dalle de la Morgue. Il avait souvent des heures de délire, et il accablait sa complice d'injures, la battait, lui répétait avec des cris l'histoire du meurtre, et lui prouvait que c'était elle qui avait tout fait, en lui donnant la folie de la passion.