June 2021 1 194 Report
1.DE " puisque j' étais traaé douée il allait" jusqu’à" et les
macaronis saccagés" relevez les marques de  personnes. que constatez-
vous?
2.  quels role joue, l' argumentation, le passage cité dans la question1; il repousse un argument? il justifie une position? c' est une conclusion?





Dans cet extrait
du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle
entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin.
Elle se souvient des raisons pour 
lesquelles  elle avait choisi d’être
femme au foyer.


J’ avais  pourtant choisi de faire  des études 
encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient
encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour
apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue
scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une
part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait
pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours
contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel
de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je
prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma
réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes
brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne
demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la
relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré
par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas
d’ une bien improbable catastrophe.


 Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par
son mari  -O la pauvre elle doit
travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt
pas comme chacun le  sait. S’il doit
laisser les siens dans le  besoins .quant
au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc
apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de
confiance .manifeste en l’v avenir une injure à mon père et à mon futur mari un
égocentrique mesquin du gaspillage la facilité a la dernière mode.






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9 Quel est l’intérêt de ce portrait au  sein du roman.La scène se déroule un dimanche d’avril 1813. Les troupes de Napoléon, à la veille de partir en campagne, viennent effectuer une parade au milieu de la cour des Tuileries à Paris. Napoléon en personne assiste aux manœuvres. Parmi la foule de spectateurs se trouve Julie, accompagnée de son vieux père. Elle est éprise de l’officier Victor, comte d aiglemont                              Les manœuvres commencèrent. Si jusqu’alors la jeune personne avait partagé son attention entre la figure impassible de Napoléon et les lignes bleues, vertes et rouges des troupes, en ce moment elle s’occupa presque exclusivement, au milieu des mouvements rapides et réguliers exécutés par ces vieux soldats, d’un jeune officier qui courait à cheval parmi les lignes mouvantes, et revenait avec une infatigable activité vers le groupe à la tête duquel brillait le simple Napoléon. Cet officier montait un superbe cheval noir, et se faisait distinguer, au sein de cette multitude chamarrée, par le bel uniforme bleu de ciel des officiers d’ordonnance de l’empereur. Ses broderies pétillaient si vivement au soleil, et l’aigrette de son schako étroit et long en recevait de si fortes lueurs, que les spectateurs durent le comparer à un feu follet […]            Quand les manœuvres furent terminées, l’officier d’ordonnance accourut à bride abattue, et s’arrêta devant l’empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en face du groupe impérial, dans une attitude assez semblable à celle que Gérard [1][4] a donnée au général Rapp dans le tableau de la Bataille d’Austerlitz. Il fut permis alors à la jeune fille d’admirer son amant dans toute sa splendeur militaire. Le colonel Victor d’Aiglemont à peine âgé de trente ans, était grand, bien fait, svelte ; et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui. Sa figure mâle et brune possédait ce charme inexplicable qu’une parfaite régularité de traits communique à de jeunes visages. Son front était large et haut, ses yeux de feu, ombragés de sourcils épais et bordés de longs cils, se dessinaient comme deux ovales blancs entre deux lignes noires. Son nez offrait la gracieuse courbe d’un bec d’aigle. La pourpre de ses lèvres était rehaussée par les sinuosités de l’inévitable moustache noire. Ses joues larges et fortement colorées offraient des tons bruns et jaunes qui dénotaient une vigueur extraordinaire. Sa figure, une de celles que la bravoure a marquées de son cachet, offrait le type que cherche aujourd’hui l’artiste quand il songe à représenter un des héros de la France impériale. Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie ; et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur. En voyant son amant si occupé de saisir les regards de Napoléon, Julie éprouva un moment de jalousie en pensant qu’il ne l’avait pas encore regardée.   
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c)  relever les termes de caractérisation physique. Classer- les ensuite selon qu’ils  concernent des formes  ou des couleurs d) relever les ternes de caractérisation morale.La scène se déroule un dimanche d’avril 1813. Les troupes de Napoléon, à la veille de partir en campagne, viennent effectuer une parade au milieu de la cour des Tuileries à Paris. Napoléon en personne assiste aux manœuvres. Parmi la foule de spectateurs se trouve Julie, accompagnée de son vieux père. Elle est éprise de l’officier Victor, comte d aiglemont                              Les manœuvres commencèrent. Si jusqu’alors la jeune personne avait partagé son attention entre la figure impassible de Napoléon et les lignes bleues, vertes et rouges des troupes, en ce moment elle s’occupa presque exclusivement, au milieu des mouvements rapides et réguliers exécutés par ces vieux soldats, d’un jeune officier qui courait à cheval parmi les lignes mouvantes, et revenait avec une infatigable activité vers le groupe à la tête duquel brillait le simple Napoléon. Cet officier montait un superbe cheval noir, et se faisait distinguer, au sein de cette multitude chamarrée, par le bel uniforme bleu de ciel des officiers d’ordonnance de l’empereur. Ses broderies pétillaient si vivement au soleil, et l’aigrette de son schako étroit et long en recevait de si fortes lueurs, que les spectateurs durent le comparer à un feu follet […]            Quand les manœuvres furent terminées, l’officier d’ordonnance accourut à bride abattue, et s’arrêta devant l’empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en face du groupe impérial, dans une attitude assez semblable à celle que Gérard [1][4] a donnée au général Rapp dans le tableau de la Bataille d’Austerlitz. Il fut permis alors à la jeune fille d’admirer son amant dans toute sa splendeur militaire. Le colonel Victor d’Aiglemont à peine âgé de trente ans, était grand, bien fait, svelte ; et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui. Sa figure mâle et brune possédait ce charme inexplicable qu’une parfaite régularité de traits communique à de jeunes visages. Son front était large et haut, ses yeux de feu, ombragés de sourcils épais et bordés de longs cils, se dessinaient comme deux ovales blancs entre deux lignes noires. Son nez offrait la gracieuse courbe d’un bec d’aigle. La pourpre de ses lèvres était rehaussée par les sinuosités de l’inévitable moustache noire. Ses joues larges et fortement colorées offraient des tons bruns et jaunes qui dénotaient une vigueur extraordinaire. Sa figure, une de celles que la bravoure a marquées de son cachet, offrait le type que cherche aujourd’hui l’artiste quand il songe à représenter un des héros de la France impériale. Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie ; et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur. En voyant son amant si occupé de saisir les regards de Napoléon, Julie éprouva un moment de jalousie en pensant qu’il ne l’avait pas encore regardée.   
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1.quels mots organisateurs introduisent;2 .l' exposé des gouts et aptitudes de la narratrice?justifiez vos réponseaidez moi si vous plait  je n arrive pas je bloque merci de pouvoir m aiderDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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1.quels mots organisateurs introduisent;2 .l' exposé des gouts et aptitudes de la narratrice?justifiez vos reponseDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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1.relevez les marques de personnes de"' mais d' autre part"  a même pas en théorie" que constatez- vous?2. même question pour le passage cité dans la question 1.; il oppose un tous vos réponses devront être justifiezDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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