June 2021 1 224 Report
1.      
Relevez

dans le texte deux subordonnées conjonctives circonstancielles exprimant l’hypothèse


2.      
 Relevez maintenant une proposition subordonnée

complétive, puis donnez sa fonction grammaticale précise.


3.      
Relevez

deux propositions subordonnées relatives, puis donnez leur fonction grammaticale

précise.


4.      
 Quels sont les modes et les temps  employés dans le premier paragraphe ?



Vous donnerez un exemple du texte pour chaque mode et temps relevés



Cependant je vous vois tous les jours, et je m’aperçois que, sans y songer,

vous aggravez innocemment, des maux que 

vous ne pouvez plaindre, et que vous devez ignorer.  Il  est

vrai, le  parti que dicte en pareil cas

la prudence au  défaut de l’espoir ;

et je me serais efforcé de le prendre, si je pouvais accorder en cette occasion

la prudence avec l’honnêteté ; mais comment me retirer décemment d’une

maison dont la maitresse  elle- même m’a

offert l’entrée, ou  elle m’accable de

bontés, ou elle me croit de quelque utilité à ce qu’elle a de plus cher au

monde ?


(---) si la commisération naturelle aux âmes bien nées peut vous attendrir

sur les peines d’un infortuné auquel vous avez témoigné quelque estime, de  légers changements dans votre conduite

rendront sa situation  moins  violente, et lui feront supporter plus

paisiblement et son silence et ses maux. Si sa retenue et son  état ne vous touchent pas, et que vous voulez

user du droit de le perdre, vous le pouvez sans qu’il murmure ; il aime

mieux encore périr par votre ordre que par un transport indiscret qui le rendit

coupable un espoir téméraire ; et si vous avez lu cette lettre, vous avez

fait tout ce que j’oserai vous demander, quand même je n’aurais point de refus

à craindre.


 


 



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9 Quel est l’intérêt de ce portrait au  sein du roman.La scène se déroule un dimanche d’avril 1813. Les troupes de Napoléon, à la veille de partir en campagne, viennent effectuer une parade au milieu de la cour des Tuileries à Paris. Napoléon en personne assiste aux manœuvres. Parmi la foule de spectateurs se trouve Julie, accompagnée de son vieux père. Elle est éprise de l’officier Victor, comte d aiglemont                              Les manœuvres commencèrent. Si jusqu’alors la jeune personne avait partagé son attention entre la figure impassible de Napoléon et les lignes bleues, vertes et rouges des troupes, en ce moment elle s’occupa presque exclusivement, au milieu des mouvements rapides et réguliers exécutés par ces vieux soldats, d’un jeune officier qui courait à cheval parmi les lignes mouvantes, et revenait avec une infatigable activité vers le groupe à la tête duquel brillait le simple Napoléon. Cet officier montait un superbe cheval noir, et se faisait distinguer, au sein de cette multitude chamarrée, par le bel uniforme bleu de ciel des officiers d’ordonnance de l’empereur. Ses broderies pétillaient si vivement au soleil, et l’aigrette de son schako étroit et long en recevait de si fortes lueurs, que les spectateurs durent le comparer à un feu follet […]            Quand les manœuvres furent terminées, l’officier d’ordonnance accourut à bride abattue, et s’arrêta devant l’empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en face du groupe impérial, dans une attitude assez semblable à celle que Gérard [1][4] a donnée au général Rapp dans le tableau de la Bataille d’Austerlitz. Il fut permis alors à la jeune fille d’admirer son amant dans toute sa splendeur militaire. Le colonel Victor d’Aiglemont à peine âgé de trente ans, était grand, bien fait, svelte ; et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui. Sa figure mâle et brune possédait ce charme inexplicable qu’une parfaite régularité de traits communique à de jeunes visages. Son front était large et haut, ses yeux de feu, ombragés de sourcils épais et bordés de longs cils, se dessinaient comme deux ovales blancs entre deux lignes noires. Son nez offrait la gracieuse courbe d’un bec d’aigle. La pourpre de ses lèvres était rehaussée par les sinuosités de l’inévitable moustache noire. Ses joues larges et fortement colorées offraient des tons bruns et jaunes qui dénotaient une vigueur extraordinaire. Sa figure, une de celles que la bravoure a marquées de son cachet, offrait le type que cherche aujourd’hui l’artiste quand il songe à représenter un des héros de la France impériale. Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie ; et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur. En voyant son amant si occupé de saisir les regards de Napoléon, Julie éprouva un moment de jalousie en pensant qu’il ne l’avait pas encore regardée.   
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c)  relever les termes de caractérisation physique. Classer- les ensuite selon qu’ils  concernent des formes  ou des couleurs d) relever les ternes de caractérisation morale.La scène se déroule un dimanche d’avril 1813. Les troupes de Napoléon, à la veille de partir en campagne, viennent effectuer une parade au milieu de la cour des Tuileries à Paris. Napoléon en personne assiste aux manœuvres. Parmi la foule de spectateurs se trouve Julie, accompagnée de son vieux père. Elle est éprise de l’officier Victor, comte d aiglemont                              Les manœuvres commencèrent. Si jusqu’alors la jeune personne avait partagé son attention entre la figure impassible de Napoléon et les lignes bleues, vertes et rouges des troupes, en ce moment elle s’occupa presque exclusivement, au milieu des mouvements rapides et réguliers exécutés par ces vieux soldats, d’un jeune officier qui courait à cheval parmi les lignes mouvantes, et revenait avec une infatigable activité vers le groupe à la tête duquel brillait le simple Napoléon. Cet officier montait un superbe cheval noir, et se faisait distinguer, au sein de cette multitude chamarrée, par le bel uniforme bleu de ciel des officiers d’ordonnance de l’empereur. Ses broderies pétillaient si vivement au soleil, et l’aigrette de son schako étroit et long en recevait de si fortes lueurs, que les spectateurs durent le comparer à un feu follet […]            Quand les manœuvres furent terminées, l’officier d’ordonnance accourut à bride abattue, et s’arrêta devant l’empereur pour en attendre les ordres. En ce moment, il était à vingt pas de Julie, en face du groupe impérial, dans une attitude assez semblable à celle que Gérard [1][4] a donnée au général Rapp dans le tableau de la Bataille d’Austerlitz. Il fut permis alors à la jeune fille d’admirer son amant dans toute sa splendeur militaire. Le colonel Victor d’Aiglemont à peine âgé de trente ans, était grand, bien fait, svelte ; et ses heureuses proportions ne ressortaient jamais mieux que quand il employait sa force à gouverner son cheval dont le dos élégant et souple paraissait plier sous lui. Sa figure mâle et brune possédait ce charme inexplicable qu’une parfaite régularité de traits communique à de jeunes visages. Son front était large et haut, ses yeux de feu, ombragés de sourcils épais et bordés de longs cils, se dessinaient comme deux ovales blancs entre deux lignes noires. Son nez offrait la gracieuse courbe d’un bec d’aigle. La pourpre de ses lèvres était rehaussée par les sinuosités de l’inévitable moustache noire. Ses joues larges et fortement colorées offraient des tons bruns et jaunes qui dénotaient une vigueur extraordinaire. Sa figure, une de celles que la bravoure a marquées de son cachet, offrait le type que cherche aujourd’hui l’artiste quand il songe à représenter un des héros de la France impériale. Le cheval trempé de sueur, et dont la tête agitée exprimait une extrême impatience, les deux pieds de devant écartés et arrêtés sur une même ligne sans que l’un dépassât l’autre, faisait flotter les longs crins de sa queue fournie ; et son dévouement offrait une matérielle image de celui que son maître avait pour l’empereur. En voyant son amant si occupé de saisir les regards de Napoléon, Julie éprouva un moment de jalousie en pensant qu’il ne l’avait pas encore regardée.   
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1.quels mots organisateurs introduisent;2 .l' exposé des gouts et aptitudes de la narratrice?justifiez vos réponseaidez moi si vous plait  je n arrive pas je bloque merci de pouvoir m aiderDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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1.quels mots organisateurs introduisent;2 .l' exposé des gouts et aptitudes de la narratrice?justifiez vos reponseDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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1.relevez les marques de personnes de"' mais d' autre part"  a même pas en théorie" que constatez- vous?2. même question pour le passage cité dans la question 1.; il oppose un tous vos réponses devront être justifiezDans cet extrait du roman, une jeune femme mariée se trouve brusquement confronté à sa  condition de femme au foyer lorsqu’elle entend ce reproche de son mari ;< je trouve  que tu aurais pu ranger mon pull ce matin. Elle se souvient des raisons pour  lesquelles  elle avait choisi d’être femme au foyer.J’ avais  pourtant choisi de faire  des études  encouragée dans cette voie par mes parents tout comme ils avaient encouragé mon frère cependant entre le garçon et la fille  subsistait une différence lui étudiait pour apprendre un bon métier tandis que moi j’étudiais  parce que j’ étais  douée traaé douée avait dit le psychologue scolaire ce serait vraiment dommage de ne pas situation délicate car d’ une part puisque j’ étais traaé douée il allait de soi que ma vie future ne s’ arrêterait pas à celle de mes hypothétiques rejetons j’ avais d’ ailleurs toujours contesté comme instinctivement depuis ma plus tendre enfance le rôle traditionnel de l’ épouse- mère –confiture maison- rôti- de- bœuf pour être  sure de ne jamais tomber dans le piège je prenais de très haut toutes les taches mènagères.et a dix-huit ans ma réputation n’ ‘tait plus à faire dans les raccommodages monstrueux les tartes brulées et les macarons saccagés .mais d’ autre part dans notre famille on ne demandait pas aux femmes de gagner leur vie les pères étaient là pour  ça et les maris prenaient joyeusement la relève une femme libérée était une femme aimée libérée de tout travail rémunéré par l’amour de son mari ni plus ni moins pour elle  un métier né tait à envisager que dans le cas d’ une bien improbable catastrophe. Un père dénaturé la guerre ou l’abandon par son mari  -O la pauvre elle doit travailler. Même le veuvage ne posait pas problèmes car un bon mari ne meurt pas comme chacun le  sait. S’il doit laisser les siens dans le  besoins .quant au divorce pas la peine d’en parler il n’existait même pas en théorie donc apprendre un métier était pour moi totalement hors de propos. Un manque de confiance .manifeste en l’avenir une injure à mon père et à mon futur mari un égocentrique mesquin du gaspillage la facilité à la dernière mode.
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