Bonjour s'il vous plait quelqu'un qui a la gentillesse de m'aider pour demain 28/01/2014 à commenter ce document :
Commenterez ce document en montrant les difficultés dans la mise en oeuvre de villes durables (difficultés liées à l’organisation territoriale des villes comme aux modes de vie des citadins). Vous comparerez ensuite les politiques mises en place pour parvenir à des villes durables dans les pays du Nord, pour souligner les différences entre États-Unis (Amérique duNord) et Europe.
« La surconsommation énergétique américaine est aussi liée à l’étalement démesuré desaires urbaines, qui accroît la consommation d’énergie, démultiplie les infrastructures etles déplacements, et contribue à l’artificialisation des sols. Il n’y a là aucune nécessité,mais, au contraire, une facilité née de l’habitude, d’un héritage culturel et d’une manièrede réguler les rapports sociaux par la mise à distance des communautés que l’on ne veutpas côtoyer. Les Américains ont été longtemps opposés à la densification de leur quartier.Toutefois, l’évolution du prix de l’énergie a aiguisé la perception des limites du modèled’urbanisation américain en soulignant ses faiblesses essentielles. Le public se sensibiliseà la montée de la congestion routière. On observe même des signaux faibles de retourau centre. Le dégonflement [des prix immobiliers] affecte en priorité les banlieues les pluséloignées, les plus mal pourvues en services de proximité et dénuées de desserte en transportcollectif. Au contraire, les prix immobiliers augmentent encore dans les quartiers pluscentraux qui disposent de ces [réalités]. »
Commenterez ce document en montrant les difficultés dans la mise en oeuvre de villes durables (difficultés liées à l’organisation territoriale des villes comme aux modes de vie des citadins). Vous comparerez ensuite les politiques mises en place pour parvenir à des villes durables dans les pays du Nord, pour souligner les différences entre États-Unis (Amérique duNord) et Europe.
« La surconsommation énergétique américaine est aussi liée à l’étalement démesuré desaires urbaines, qui accroît la consommation d’énergie, démultiplie les infrastructures etles déplacements, et contribue à l’artificialisation des sols. Il n’y a là aucune nécessité,mais, au contraire, une facilité née de l’habitude, d’un héritage culturel et d’une manièrede réguler les rapports sociaux par la mise à distance des communautés que l’on ne veutpas côtoyer. Les Américains ont été longtemps opposés à la densification de leur quartier.Toutefois, l’évolution du prix de l’énergie a aiguisé la perception des limites du modèled’urbanisation américain en soulignant ses faiblesses essentielles. Le public se sensibiliseà la montée de la congestion routière. On observe même des signaux faibles de retourau centre. Le dégonflement [des prix immobiliers] affecte en priorité les banlieues les pluséloignées, les plus mal pourvues en services de proximité et dénuées de desserte en transportcollectif. Au contraire, les prix immobiliers augmentent encore dans les quartiers pluscentraux qui disposent de ces [réalités]. »
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